Le ciel était bleu et le soleil brillait sans que les nuages puissent venir le cacher, il faisait très chaud environ 35°C mais cela était normale puisse que c'était une belle journée du  mois de Juillet. La température ne dérangeait pas la jeune fille aux cheveux violets car elle venait des enfers et la-bas il faisait bien plus que 35°C. Cela ne la gênant en rien elle marchait dans la ville de Londres cherchant un indice sur le meurtrier de ses parents ne jetant aucun regard sur les personnes qu'elle croisait où elle les regardait avec froideur ce qui croisait son regard s'empressait de partir. Mais soudainement une main l'attrapa et ce qui fit qu'elle se retourna vers la personne qui avait osé la toucher. C'était un homme d'environ une trentaine d'année ayant un manteau, un pantalon noir et que ses gants et sa redingote soit marron chocolat la regardait avec envie. Elle comprenait ce que voulait dire ce regard et elle lui sourit d'un air innocent, elle ne voulait pas se donner en spectacle devant tant de monde. Il pressa sa main sur la sienne et lui dit d'un air envouté:

Viens avec moi ma belle je veux te montrer quelques choses

Mais bien sur cher monsieur je vous suis avec plaisir.

L'homme l'emmena dans une petite ruelle sombre ou ne se trouvait aucune lumière et il commença à l'embrasser ne voyant qu'elle ne faisait rien il commença a lui faire des bisous dans le cou tout en voulant se déshabiller. Cependant elle l’arrêta en le prenant par la gorge tout en lui donnant un coup de pied dans les parties sensibles ce qui le fit crier mais personne ne pouvait l'entendre. Fujiko approcha son visage de celui de l'inconnu et lui susurra:

Désolée mais vous allez devoir vous passez de moi, il faut me mériter pour avoir ce genre d'honneur avec moi à part si vous voulez mourir.

N'ayant pas envie de se salir les mains pour un moins que rien, elle serra fort son coup et le lâcha. Il tomba par terre et s'en demander son reste courut comme un chien la queue entre les jambes. Elle avança dans la ruelle sombre pour disparaitre dans le brouillard de Londres qui hantait ses rues. Elle s’arrêta devant un petit chat d'à peine 5 mois avec un grand sourire au lèvres en s'adressant au chat:

Cela faisait longtemps qu'on ne s'était pas vu des années peut être. Que fais tu là Amate ? Tes parents vont s'inquiéter pour toi et tu n'as pas ta place dans ce monde en plus tu es trop jeune pour être ici.

Fujiko attendit une réaction de la part du chat.

Une goutte de sueur coula le long de ma nuque, je souriais à l’homme à côté de moi tout en l’aidant à porter une énorme caisse de matériel. Il me l’avait demandé si gentiment que bien entendue, je n’avais pas refusé. Bandant le peu de muscle que je possédais, je fis les derniers mètre jusqu’au bâtiment désigné avant de poser délicatement la caisse à l’intérieur. Un soupir de soulagement m’échappa et l’homme en face de moi éclata de rire. Nous étions quatre pour porter cette énorme caisse et cela avait prit du temps. Il tapota mon épaule et me remercia avant de me proposer à boire. On me servit un jus de fruit à peu près fraie, très agréable à consommé. En effet, cela me rafraichi d’un seul coup, m’offrant un contraste important ente l’intérieur et l’extérieur de mon corps. Je soupirais encore une fois de soulagement tout en lisant les conversations autours de moi. Dans cette pièce, tout le monde connaissaient mon états et cela ne dérangeais personnes. Je me levais tranquillement et fini par dire d’une voix douce.

-Bon, je vais y aller, passer une bonne journée.

Je souriais, pour moduler ma voix comme je le voulais, que sa soit sa puissance ou l’intonation, je me servais des vibrations provoqué dans ma gorge puis dans ma bouche. C’était assez difficile mais j’avais fini par m’y habitué. Tout en agitant la main pour dire en revoir, je sortis de la maison comme si de rien était puis me dirigeais vers les ruelles. J’avais suffisamment travaillé pour aujourd’hui, fatigué, je voulais me reposer un peu et pour cela, rien de tel que d’être un chat. Un chat est paresseux et lorsque l’on en voit un dans la rue, on ne l’embête pas. Du moins en général.

La chaleur était étouffante, j’avais perdue l’habitude des enfers et pour moi, cette température était faite pour dormir, non pour travaillé. Baillant un coup, je cherchais un endroit ou il n’y avait personnes, puis, optant pour le fond d’une ruelle déserte, à côté d’un tas d’ordure, je me transformais. Deux secondes plus tard, je me retrouvais en chaton. Sortant du tas de vêtement qui était désormais sur le sol et qui m’avais recouvert, j’en fis un petit tas que je cachais derrière un tonneau vide et sale. Oui, il s’agissait de ne pas me faire piquer mes seul fringue que je possédais. Acheter des fringue en étant nue n’était pas vraiment pratique et, voler des fringue en étant un chaton est encore plus dur.

Satisfaite par mon travail, je m’étirais un bon coup avant de me dirigeais vers la sorti de la ruelle. Il me fallait maintenant un endroit ou monter sur les toits afin d’être au soleil et de pouvoir dormir un coup tout en étant au chaud. Un léger brouillard permanent était présent dans les ruelles mais cela ne gêner presque pas mon excellente vision de félin. Je repérais donc rapidement une jeune femme qui s’avançait dans ma direction. J’avançais lentement regardant son visage. Elle me disait quelque chose et pourtant, je n’arrivais pas à me souvenir. Ce fût lorsqu’elle parla en citant mon prénom que je pus enfin mettre un nom sur ce visage. Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vue, depuis que j’avais quitté sans faire exprès les enfers.

Elle m’en fît d’ailleurs la remarque et suite à ses paroles, je repensais à mes parents. Je n’arrivais presque plus à mettre un visage dessus, il mettait arrivé tellement de chose depuis la dernière fois que je les avaient vues que mes souvenirs en étaient devenus floue. Je soupirais en regardant toujours Fujiko. Oui, cette démone avec qui j’avais déjà parlé plusieurs fois, enfin plutôt cette aigle démon. Un prédateur magnifique qui aurait pu être mon pire ennemi. Je lui répondis donc.

-Je sais pas comment je suis arrivé. Sa fait longtemps, j’ai jamais pu rentrer à la maison. Si tu veux me parler, prend bien garde à ce que je puisse voir ton visage. Je n’entends plus rien depuis longtemps.

Je m’approchais d’elle, pour la première fois, je rencontré quelqu’un que je connaissais et c’était rassurant, si rassurant.

-Et toi ? pourquoi tes la ?

Fujiko connaissait Amate car le chat était en fait un chat démoniaque qui venait elle aussi des enfers, elle savait que la jeune fille aimait jouer, dormir enfin tout faire sous sa vraie forme de chat. En enfer elle l'avait déjà croisé plusieurs fois et discuter avec elle bien que le petit chaton soit plus jeune que Fujiko de quelques vingt d'années en age démoniaque et que se soit un démon inférieur à elle. Elle avait sympathisé avec elle mais en pensant que plus tard cela pourrait devenir un démon ennemis pour elle mais elles avaient encore le temps pour cela. Cela l'étonna qu'elle était restait un chaton normalement elle aurait dû être un chat qu'il serai devenu plus grand depuis tout ce temps. Mais ce qui l'étonnais le plus c'est qu'elle était devenue sourde alors elle s’avança vers le petit chat noir et caressa son pelage noir charbon, elle savait qu'elle raffolait des caresses comme tout les chats d’ailleurs et les chats démoniaque ne faisait pas exception. Elle lui sourit avec gentillesse tout en lui racontant:

Il y a quelques mois en enfer pendant que je passais mon test, ma famille a été attaquée et assassinée de plus Rihito a disparu. J'ai trouvé une piste de sang qui me mena a la portes des enfers et même qui passait la porte mais je rentrais dans le monde des humains plus aucune trace cela pourrait être une ruse des autres saigneurs pour avoir mes terres mais je ne les laisserai pas faire. Mais tout d'abord je veux que ma famille soit vengé et part la même occasion retrouver leur honneur puis retrouvé mon cousin. Après si j'apprends que ce sont l'un d'eux, ils mourront comme des démons inférieur à leur rang. C'est comme cela que je suis arrivée ici dans ce monde infecte de faible. Je ne savais pas que tu étais ici, tes parents sont surement encore en train de te chercher en enfer mais dis moi comment étais tu devenue sourde ?

Elle m’expliqua pourquoi elle était la, elle ne parler pas trop vite et bien que sont discours soit long, je parvins à suivre le rythme comme n’importe qui d’autre. Son histoire était triste, une larme coula sur mon pelage tendit qu’elle me caressait. J’adore les caresses et malgré cette triste histoire je commençais à ronronner. J’aurais bien voulu l’aider mais avant de lui proposer, je me décidais a répondre à sa question. Toutefois, discuter en tant que chat devant des humains n’est pas vraiment très discret et pour éviter toute sorte d’embêtement, je lui dis doucement.

- Suis-moi.

Je fis demi-tour tranquillement et me mît à courir en direction de mes vêtement, je savais parfaitement que Fujiko n’aurait aucun mal à me suivre, après tout un chaton sa ne va pas très vite. Je n’avais pas parcourue une grande distance depuis que j’avais changé de forme et, renonçant à ma sieste, je me décidais à m’activé. J’aurais bien aimé dormir au soleil mais je voulais l’aider. Arrivée devant mes vêtement, je vérifié que Fujiko m’avais suivie. Cela se confirma puisqu’elle était juste derrière moi et je repris ma forme normale. Je me retrouvais nue devant elle, plus petite je souris avec un air d’excuse.

-Désolé.

Puis je me baissais et saisit mon paquetage de vêtement pour m’habillé. Principalement marron, il s’agissait la de vêtement approprié pour le sport, léger et résistant ils servaient pour toute sorte de chose, sauf. Attachant ma dague de 12 cm à ma ceinture, j’enfilais enfin mon manteau rouge bloquant mes longs cheveux dans mon dos. Je me retournais vers Fujiko afin de répondre à sa question.

-J’ai traversé l’eau sans faire exprès, après être retourné sur terre, quelqu’un ma agressé et emprisonné. Quand je me suis réveillé je ne voyais plus rien à cause d’un bandeau. Une lame à pénétré à l’intérieur de mes oreille et découpé quelque chose, puis on ma arraché ses chose dont j’ignore le nom. Depuis le son a disparu ducoups je lis sur les lèvres pour pouvoir comprendre les gens.

Une deuxième larme coula sur ma joue, lentement, je baissais les yeux devant elle. Je connaissais mon rang et après tout le temps qui était passé, je ne savais pas trop comment agir devant elle. Néanmoins, je finis quand même par poser la question qui me tarauder.

-Je peux t’aider ?

Oui, je voulais l’aider, j’ai toujours aimé m’aider même si cela m’attirer des ennuies. De toute façon au point ou j’en étais je doutais de pouvoir avoir encore plus de problème.

Fujilo l'avait suivit jusqu'a l'endroit où se trouvait les habits du jeune chaton noir qui se transforma devant elle pour s'habiller. La jeune fille brune qui s'était transformé sous la forme humains nue s'excusa pour son manque de pudicité mais Fujiko ne fit pas de reproche à sa cadette. Puis elle s'habilla en racontant son histoire depuis sa sortie des Enfers, L'heritiére de la famille Washi écouta attentivement ne disant toujours rien. Amate baissa les yeux et demandé timidement:

-Je peux t’aider ?

Fujiko ne fut pas surprise de la demande de la fille, elle savait d'après ses différentes rencontres qu'elle aimait aider tout le monde même si cela lui valait des ennuis. C'était rare qu'un démon en aide un autre et surtout si instinctivement ils étaient ennemis, normalement Fujiko aurait refusé car elle n'accepterai pas qu'un démon de rang inférieur l'aide mais elle fit une exception surtout qu'elle pouvait être utile à trouver des informations. Elle s’avança vers la jeune fille et lui toucha la tête en souriant:

Pourquoi pas tu me seras utile et puis tu pourra me raconter tout ce qui t'es arrivée et moi je te raconterai ce qui se passe en Enfers depuis ton absence. Et puis tu connais mieux Londres que moi donc tu pourra me guider, qu'en penses tu ? De plus tu a l'air seule un peu de compagnie démoniaque te fera le plus grand bien.

Fujiko ne voulait pas se l'avouer mais parmi tout ses êtres faibles se trouvait Amate qui ne se trouvait pas une humaine mais un démon extrêmement gentille qu'elle appréciait. Grâce à elle pourrait surement retrouver Rihito ou le meurtrier de sa famille qui sait.

Elle posa une main sur ma tête, je levais lentement les yeux et réussi à lire sur sa bouche ce qu’elle disait. Elle acceptait mon aide. Un magnifique sourire apparu sur mon visage. J’avais beau être de rang inférieur, elle m’acceptait a ses coté et de plus elle se souciait de ma santé. De plus elle avait raison, cela faisait un bon moment que j’étais à Londres et j’avais fini par connaître la ville presque en entière. Oui, j’allais la guider, le monde des humain est étrange si on n’a pas l’habitude. J’essuyais rapidement les traces de mes larmes.

-Oui, je veux bien.

Je réfléchie quelque seconde, dans ce monde, rare était les gens agressif en publique. Il valait mieux se cacher pour éviter d’être attrapé par la police ou autres. Je fis une légère grimace en devinant a qui il faudrait aller demander, poliment ou pas et je fini par dire.

- Les rares personnes qui ont sans doute la puissance pour cela ce sont les nobles. Et d’après les rumeurs qui coure un peu partout, certain noble font de temps en temps appelle à la mafia pour régler leur problème.

Je soupirais en la regardant droit dans les yeux, il s’agissait la de quelque chose d’important puisque cela pourrait peut-être régler son problème, si l’ont tombaient sur la bonne personne.

-Je pense qu’il faut commencer par la. Néanmoins ils sont réputé dangereux et parfois cruelle. Mais d’après moi, ce sont les seuls à avoir les moyens de réaliser ce genre de chose.

Je soupirais, la mafia était difficile à trouver, en effet, il faut avoir beaucoup de contact pour réussir à leur parler, ou tomber à un endroit ou ils font un crime. Cependant, en toute logique, pour les trouver il suffisait d’aller dans les endroits sombres et extrêmement peu fréquenté. Généralement appelé les égouts, il s’agissait la de souterrain parfois aménagé pour d’autre chose comme la contrebande ou les réunions secrète d’un gang ou un autre. Je soupirais, j’étais déjà allé dans ce genre d’endroit par unique curiosité et je devais avouer que l’enfer était bien plus beau.

-Je pense que pour les trouver, il faut aller explorer les égouts. C’est sale, c’est sombre et en règle générale personne n’y va. J’y suis déjà allé pour découvrir il y a un long moment et je sais que certaine salle ont était aménagé de façon à pouvoir abriter des chose ou des gens.

Fujiko écouta attentivement Amate qui faisait une analyse sur les gens qui pourrait nous aider à trouver des renseignements. Elle avait déjà entendu parler de la mafia part ses parents: un groupe d'assassin qui commettait des crimes et pas seulement des meurtres. Puis quand la jeune fille parla d'égouts, elle sentit qu'elle allait pas trop aimé d'après la description qu'avait faite Amate : sombre et sale. Ce n'est pas le genre d'endroit que Les nobles vivent même pour des Nobles démons et elle se demandait comment ils faisaient pour vivre dans ce lieu mais elle n'avait pas le choix. Elle devait laisser sa fierté bien trempé de coté et aller là-bas si elle voulait au moins débuter quelques part. Elle hocha la tête et dit:

Eh bien je te suis c'est toi qui est l'experte dans ce monde. Je sais mieux qui quiconque que tu ne me décevra pas petite Amate.

Je souris doucement, elle me faisait confiance pour la guider, malheureusement, je ne connaissais pas les égouts comme je connaissais la surface. Oui, cette endroit était sale et peu accueillant. Les rares moments où jy était allé, c’était pour me réfugier et me déplacer sous ma forme de chat. Uniquement par précaution. Bien entendus, aucun humain n’aurait pu soupçonner un chat, mais je trouvais stressant de voir l’autorité chercher un meurtrier partout. Moi qui adorer aidé aider les gens, dans ces cas la, j’avais du éviter et pour être sur que rien ne m’échappe je m’éloignais de façon à ce que je ne voye plus rien. Avisant une bouche d’égout un peu plus loin, je m’approchais d’elle à pas lent et dit tranquillement.

-Si tu veux me parler, tape sur mon épaule, sinon je ne te verrais pas.

Je soulevais la bouche dégout, tirant dessus de toute mes forces et la poser à côté. Une échelle se présentait directement en dessous afin de permettre à ceux qui entretiennent les lieux de descendre. Oui, il s’agissait que les égouts ne déborde pas en cas de tempête. Je m’enfonçais rapidement dans l’obscurité de la ville sans regarder au dessus de moi. Je voyais parfaitement dans le noir et par conséquent, je n’avais pas besoin de lampe pour me déplacer. Je ne pensais pas bien entendus que ce ne serait peut-être pas le cas de celle que je guidé. On entendait l’eau s’écoulait doucement, je la regardais quelques secondes avec un certain dégout. Celle-ci était sale et ne donnait absolument pas envie de se baigner dedans. Une odeur de puanteur agressa mes narines plus sensibles que celle des humains et je grimaçais. C’était aussi puant que dans mes souvenirs. Des débris jonchés le sol un peu partout, restant d’une précédente tempête.

Je commençais à avancer lentement, il fallait maintenant trouver la mafia, les égouts étaient encore plus grands que la ville et celle-ci était immense. Pieds nue, j’avançais sans hésiter, en restant silencieux, il serait facile de repérait le moindre éclat de voix. Vue la résonnance présente dans ces lieux, les voix s’entendrais facilement et identifié leurs propriétaire, savoir a qu’elle groupe il appartenait serait un jeux d’enfants.