Invité | Sujet: Lawrence Walker, respawn. Dim 12 Fév - 2:35 | |
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Présentation de Lawrence Lysander WALKER
Lawrence L. WALKER VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE
Nom : WALKER Prénom : Lawrence (Lysander) Surnom : Law. Date de naissance : 4/04. Lieu de Naissance : Aylesbury. Age : 18 ans. Statut : Célibataire. Métier : Dealeur. Groupe : Démon (Enfin, à présent oui ?) Poste Vacant : Nop'
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Les apparences sont trompeuses A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?
En général, quand on aperçoit le jeune dealeur de loin, on remarque déjà sa très grande taille avoisinant les un mètres quatre-vingt, en effet Lawrence détient cette grande taille de son père qui lui en faisait une dizaine de centimètre de plus. Pour sa taille, son poids est correct, atteignant la soixante-dizaine de kilogrammes. Une peau hâve et relativement effrayante souligne deux iris cuivrés virant vers le cramoisi, une couleur envoûtante et expressif pouvant divulguer une certaine et profonde émotion. A l’intérieur de ces yeux se trouve de noires pupilles exprimant ses excessivement ses humeurs, comme si à l’intérieur de cette obscure couleur l’ont pouvait voyager et savoir tout ce qu’il ressent, cependant c’est faux : Personne ne sait jamais ce que ressent le jeune. Ses traits fins jureraient la fragilité si son air masculin ne la trahissait pas, possédant des cils plus ou moins longs surmontés de sourcils d’une ligne régulière. Sur son crâne est fixée une chevelure semblant comme une cascade blet dégradée et restant en bataille, partant des tempes et descendant ensuite dans sa nuque enfin jusqu’à ses épaules. Repassons à son visage pour admirer un nez fin et légèrement remonté, restant au milieu de pommettes saillantes et agréables à regarder lorsqu’il rougit – Ce qui n’arrive pas souvent en fait –, accordé au reste de son faciès. Continuons avec une bouche rougie toute aussi mince que le reste de son visage, dissimulant deux rangées de dents blanches, deux grandes canines sur la rangée du haut rappelant sa nouvelle nature vampirique. En tout et pour tout, ce dernier possède un visage beau et étrangement agréable à observer, ainsi qu’effrayant, celui-ci conservant un air un peu étrange et psychopathe sur les bords. Par la suite, on descendra pour admirer un cou de taille normale, la trace de crocs vers le bas de celui-ci, mal cicatrisés et plus foncé que le reste de sa peau. Ensuite, ses épaules, assez carrées pour rappeler sa masculinité, pour poursuivre par des bras non marqués par la musculature mais n’en gardant pas moins une force indéfinissable, ensuite on verra ses poignets, poignets recouvert de tâches plus foncées rappelant un certain besoin masochiste pour passer sa douleur intérieur, ses mains surmontées de fins doigts dits de pianistes eux-mêmes surmontés par de longs ongles fréquemment peints de noir, rappelant sa nature dite ‘démoniaque’. On verra sûrement sur son bras quelques traces, rouge vif, ressemblant à des piqûres de seringue ou des brûlures du passé. Les jambes pas plus musclées que les bras, et des pieds d’une taille accordée avec le reste, il n’y a pas grand-chose à dire là-dessus sauf la présence de quelques cicatrices, la peau abîmée par les blessures et la maltraitance de son épiderme fragilisée. De nombreux signes ne trompent jamais, quand on le voit de dos, quasiment nu, on peut remarquer sa peau marquée, ne pouvant être touchée sans qu’un frisson lui parvienne. Sur son omoplate droite pourra-t-on observer un tatouage tribal doté de formes arrondies en devenant presque étrange. Ayant fait encré sa peau le lendemain de son départ, ou plutôt de son nouveau départ, il se jura ce jour de s’en rappeler à chaque fois qu’il le verrait. (cf. lien.) Sa garde-robe, si on peut l’appeler comme ça se résume à des nippes de qualité moindre, souvent recouvertes d’une cape foncée, le bas caché par des bottes mangeant les mollets. On le verra souvent habillé de tissus déchirés, abîmés, trouvés à l’occasion ou volés dans une boutique marchande. Aussi, porte-t-il toujours l’alliance de son père, prise après l’avoir tué, sur laquelle était gravé le nom complet de sa défunte génitrice. Il la porte au pouce, une alliance d’or blanc fin, entretenu avec soin par son nouveau propriétaire. Jamais Lawrence ne s’en sépare, sauf rares cas où il pourrait la salir. Il y tient comme à la prunelle de ses yeux, c’est un peu le secret caché d’un cœur doux derrière une armure…Le secret de Lawrence.
A la découverte de votre esprit QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ? Ange ou démon ?
Malheur de malheur, Lawrence L. Walker, du haut de ses dix-huit ans a toujours conservé un courage exceptionnel. Obéissant, serviable étant jeune, cela à totalement changé du jour au lendemain lors de ce fameux départ. Après avoir sombré dans une incongrue soif d’oubli, la drogue l’a fait devenir fou. Il n’est plus vraiment lui-même lors de ses consommations journalières et cela le détruit à petit feu, ce n’est plus un petit plaisir à présent : Mais ce damoiseau se nourri bel et bien de drogue. D'une fourberie inqualifiable, bizarrement, on observera certaines techniques pour le moins affreuses et sadiques.
Ayant sombré mentalement dans les lymbes, c'est un esprit démoniaque à la façade humaine, personne ne voudrait avoir comme ami cette loque dégénérée. Bref. A part cela, ont pourra compter ses goûts, celui-ci aimant, adorant, vénérant le rouge : Couleur du sang et de la souffrance mais aussi de la chaleur et de la sexualité, passion assez favorisée par Lawrence de ce côté là. Violant, tuant et torturant sans remord quiconque se dressera sur son chemin ou aura la maladresse d'être un peu trop excitant à son goût, on ne verra cette façade qu'une fois la nuit tombée, ne voulant pas être repéré par les autorités en pleine journée.
Pour son animal préféré ? Vous voulez vraiment le savoir ? C'est le chat. Et oui, cet animal gracile mais si agile et débrouillard, cela reste dans l'esprit de notre cher dealer l'animal qui le symbolise. Aimant également les serpents, fourbes et cruels, leur trouvant une grande noblesse. Sinon, cela reste vraiment un type infréquentable, sauf peut-être pour une créature d'autre monde tel un démon. D'ailleurs, sa meilleure amie en est un. Laurelin Arwen : Ce nom, simple nom d'une noble un poil trop vampirique lui évoque évidemment un profond respect, il l'apprécie, ça doit bien être la seule personne qui a cette chance d'ailleurs.
Après que pourrait-on dire d'autre ? Ah, oui. C'est un grand fanatique d'armes en tout genre et bien entendu il ne ratera jamais une occasion d'utiliser une arme autre que celle qu'il conserve déjà sur lui. Bien que l'ont puisse croire que le drogué n'a aucun sentiments, c'est complètement faux étant donné qu'il eut déjà éprouvé un sentiment amoureux à l'égard d'une belle ange. Et que cela paraisse ridicule ou non, il l'a aimé de tout son cœur. Mais la drogue à encore une fois jouer sur son mental, le dégradant encore plus qu'il ne l'était déjà et à tout détruit, d'un seul et même coup. Pouf, d'un jour à l'autre Lawrence n'aimait plus sa dulcinée. C'est devenue...Sa meilleure ennemie.
En bref, c'est un peu une personne...Originale, que l'ont ne croiserait pas à tout les coins de rue. Démente, sadique, presque insensible quelques fois à la douleur d'autrui, il ne perdra pas une occasion de voir la couleur qu'il chérie tant s'écouler de quantité suffisante des vaisseaux sanguins d'une personne qu'il vient de tuer. La première chose que l'ont pourrait penser de lui est qu'il est une personne calme, mais personne ne se doute des dessous de l'affaire avant de se faire lâchement trahir et ce plus ou moins douloureusement. Beaucoup de personnes ont succombé à cause des belles paroles de Lawrence, mais au final...Ce n'est rien d'autre qu'un manipulateur.
My life before come the Apocalypse MA VIE AVANT QUE TOUT BASCULE...
Naissance. Des hurlements se faisaient ouïr dans une ville non loin de Londres, plus précisément dans une maison petite et mal entretenue, les draps tâchés de sang et une demoiselle fatiguée à ne plus pouvoir en vivre. C’était un vingt-sept mai, un jour où le printemps émerveillait les lieux. Dans la petite maison, cinq frères et un père paniqués, la génitrice du nouveau-né perdant lentement conscience pour enfin rejoindre les enfers ou le paradis alors que le petit pleurait dans les bras de sa mère, c’était le sixième de la maison et le dernier. Une naissance mal venue, et une hémorragie mortelle, c’était ce qu’avait encouru la grossesse de Mme Walker. C’était une belle jeune femme qui mourrait aujourd’hui, épuisée après des heures de douleur intense. Le jeune garçon, lui n’en était que plus indifférent, respirant à un rythme effréné après être né, et on essaya de lui trouver un prénom, mais après. La demoiselle mère fut enterrée deux jours plus tard, dans un cercueil où l’on déposa des roses, une pierre tombale gravée à son nom. Et maintenant on réfléchissait à celui du nouvel enfant, de longues heures de réflexion pour aboutir à un prénom, plutôt beau, qui lui seyait fort bien : Lawrence. Pourvu d’un deuxième nom qui fut ‘Lysander’, prénom de sa mère bien qu’étant un prénom masculin. Six ans. De longues années de deuil, de longues années de douleur pour la famille qui se retrouvait destituée de mère. On en voulait au cadet qui lui, se posait pleins de questions, souvent il allait se percher dans un arbre pour regarder le ciel, allongé doucement sur le dos, pour somnoler par la suite, souvent dérangé par l’un de ses frangins qui l’appelait pour qu’il mette la main à la patte, ce qu’il faisait bien sûr. C’était sûrement celui qui travaillait le plus, on lui donnait des corvées dures et longues à exécuter. Les jumeaux – Oui parce que la famille était composé d’un ainé, un deuxième et un troisième, par la suite les jumeaux et le dernier, âgés respectivement maintenant de treize, douze, dix, sept et six ans. – étaient sûrement les plus flemmards, car ils trouvaient toujours un moyen de lui refiler leur travail. Evidemment, quand on est tenu responsable de la mort de sa mère, on est méprisé et rejeté par le reste de la fratrie, malheureusement d’ailleurs. C’était le plus souvent puni, battu, pour une petite faute peu importante, il servait plus de défouloir qu’autre chose. Et les jours passaient, de longs jours où les hématomes restreignaient ses mouvements, où les courbatures consumaient ses os et où les blessures le brûlaient et le piquaient. - Passages sensible, âmes sensibles s'abstenir:
Dix ans.
Sûrement une étape un peu plus douloureuse ? Dix années maintenant sur la terre, choppé par ses frangins qui rigolaient bien ensemble. Frappé, frappé si fort qu’il en perdait voix à force de crier, frappé si fort que les larmes n’arrivaient plus à couler, frappé si fort que les contusions apparaissaient déjà sur son corps. Il suppliait tant bien que mal mais rien n’y faisait, ils avaient décidés de lui faire passer un sale quart d’heure, y avait pas à dire. Après l’avoir peut-être frappé suffisamment, ils trouvaient sûrement que cela ne suffisait peut-être pas en fait ? Les pulsions sexuelles de cinq jeunes hommes déversées sur un gamin de dix ans, dénudé, humilié et salit. Cela dura une, voir deux heures. Heures longues, quand ils eurent fini ils le laissèrent recouvert de souillures infectes, blessé et gravement avili. Il ne bougeait pas, ou plutôt ne pouvait pas, ce dernier fixait simplement le soleil se coucher, le cœur blessé, la gorge nouée et le corps endommagé, il n’en pouvait littéralement plus. Les jours passaient, et il eut droit à des jours de répit, cependant cela recommençait, toujours un peu plus fort. De graves blessures apparaissaient jours après jours, il était sûrement destiné à mourir sous les pulsions violentes et incestueuses de la fratrie ? Lawrence ne savait pas, il voulait simplement que cela s’arrête.
Quinze ans.
En huit ans, il se passait toujours les mêmes choses, le plus vieux ayant vingt-deux ans, il était beaucoup moins présent mais rendait toujours visite au cadet qui, après plusieurs tentatives de fuites, restait maintenant enfermé à la cave pour éviter les mauvaises fugues. Et des actions sordides toujours répétés, maintenant, même on géniteur lui faisait subir ces choses. Toujours malmenant cet être qui n’éprouvait même plus la force de vouloir vivre, pendant l’uns des nombreux viols qu’il eut subit il décida une chose : C’en était assez. Une pulsion violente l’avait saisi et ce dernier craqua, de telle façon à ce que le jeune agrippa un canif – Qui avait été utilisé pour le blesser, et, pleurant, il planta violemment ce dernier dans le cou de l’ainée, faisant gicler un filet de sang qui précéda un jet hémorragique, du sang plein le visage et d’autres souillures, il se tourna vers les autres, ceux-ci les yeux grands ouverts alors que le plus vieux se vidait lamentablement de son sang en gisant de spasmes au sol. Lawrence conservait un air sérieux, sans aucun sourire, les yeux expressifs, montrant une haine si profonde que l’ont aurait cru qu’il aurait pu tuer d’un seul regard. Le couteau dans sa main coulait de fines gouttes carmines, celles-ci tombant au sol lentement.
Il esquissa un sourire puis entreprit de les tuer un part un, mais s’arrêta aux jumeaux, ces derniers avaient seize ans, et, dans les bras l’un de l’autre, leurs yeux restaient fermés en attendant la sentence, les cadavres derrière le cadet se vidant de leur sang, le père et les autres frères. Incapable de relever le canif, il les regardait, le corps recouvert de fluides sanguin, Lawrence lâchait tout bonnement son arme : « Dégagez » prononça-t-il d’un air sérieux alors qu’ils s’enfuirent en hâte, en pleurant. Le brun voyait partir les seuls qu’il avait laissés en vie. Montant en haut, dans une chambre, ouvrant une armoire pour en ressortir un caleçon, un pantalon blet à plusieurs poches, un tee-shirt et une grande cape. Enfilant tout ça il finit par enfiler des bottes lui grimpant à la moitié des mollet, coinçant un grand poignard à l’intérieur, et descendant par la suite, le meurtrier dans un violent mouvement fit tomber une lampe à huile sur le sol boisé, qu’il enflamma à l’aide d’une allumette qui commençait dès à présent à propager un immense feu. Et il sortit…
Dix-huit ans. Voilà trois ans qu’il vit comme un fugitif, vivant aux moyens du vol, de la tuerie et de la violence. Il prit bientôt part à un trafic, dans les bas-fonds londoniens, le trafic de drogue. Il commença d’abord par l’opium, ce dernier mélangea plusieurs drogues pour aboutir à un mélange qu’il nomma ‘The Sky’, la drogue d’une couleur bleu ciel. Ce liquide bleu étrange eu très vite atteint les sommets, intégrant le marché qui se disait noir, voilà que sa propre confection se rependait comme de l’eau sur une pente, le succès infernal lui tendait les bras d’un air de dire qu’il allait l’envoyer aux enfers. Peut-être était-ce ça sa destiné ? Cependant, ça l’aidait à oublier : Les cadavres, les jumeaux terrorisés, le sang et le feu propagé, les viols, les coups, les blessures, tout. Enfin il prenait ce que l’ont appelait un nouveau départ. Lawrence Lysander Walker…Allait revivre.
En suite à l'histoire, Law est devenu vampire - Donc...Démon, supposons ? - Par le biais de Laurelin Arwen, sa meilleure amie donc. - C'est donc devenu un suceuuuuuur...De sang !
En dehors du forum QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?
Pseudo : Kitsune...Ou Raphy ? Age : 14 ans. Comment avez vous découvert le forum ? Uhuh. Mystère. Votre avis sur le forum ? Il gère sa fougère. Votre présence sur le forum ? Ca dépend, uhuh... Code du règlement ? Je m'extasie devant les papillons !
Dernière édition par Lawrence L. Walker le Jeu 7 Mar - 1:02, édité 2 fois
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