Sujet: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Jeu 23 Mai - 21:32
LES CROCS DECHIRAIENT LA CHAIRE DE MON BRAS. Mon poing frappa la gorge de mon adversaire ; celui-ci ,souffle coupé, relâcha la pression de sa morsure , me permettant de dégager mon bras meurtri. Bien joué, petit. Je me redressa rapidement pour faire face à mon adversaire de cette nuit et des précédentes.Il s'agissait d'un jeune mâle, d'environ 1m65 pour une soixantaines de kilogrammes.Ses yeux jaunes étincelaient dans l'obscurité de la forêt , où il y était quasi-invisible grâce à son pelage d'un brun sombre. Il claqua sa mâchoire en ma direction , signe d'amusement ,d'après ce que j'avais remarqué au cours de nos batailles passées ; en retour, je lui sourit dévoilant, à mon tour mes crocs, blancs. Notre combat dura encore jusqu'au début du matin. A un moment, le loup fonça droit sur moi ,qui l'imita. Au dernier moment, il me bondit dessus. J'esquivai par le bas et frappai son poitrail de mon pied nu. Le bref contact avec la douce fourrure était agréable. Mon adversaire roula pendant quelques mètres avant de s’arrêter puis il se redressa un peu difficilement. Profitant de ce moment de répit , je récupéra ma montre dans la poche de mon manteau noir. Déjà heures 7h30, faut que je rentre. M'approchant du canidé , je lui dis ,d'un ton joyeux, « Tu est toujours OK ? » N'attendant pas de réponse de l'animal , je continuai « Je doit rentrer à la maison avant que ma maîtresse se lève. On remet cela dès que je peux » Je caressai la tête de mon compagnon de jeu ,puis je remit mon manteau noir ,cachant mon torse nu.
Je pris le chemin que je parcourrai souvent ces dernières nuits, passant tantôt par les rues , tantôt par les toits. Le matin, les quelques londoniens ne me prêtaient que peu d'attention. Ils étaient, pour la plupart, des ouvriers ou des dockers allant au travail. Ou bien , des artisans et commerçants allant ouvrir leurs commerces. Londres s'éveillait vraiment avec les usines et les commerces, voilà ce que j'ai remarqué depuis le mois passé dans cette cité. J'avais appris rapidement le chemin jusqu'à cette forêt rapidement : forêt trouvée en étudiant une carte des environs à la librairie. Un mois que j’étais lié par le pacte à Mademoiselle Lane. Un mois aussi depuis le petit incident qui m'a permis de contempler sa nudité. D'ailleurs , cette vue venait hantée, ou devrais-je dire charmée, par moment mes rêves. Délicieuse contemplation éphémère. Je soupirai avec un sourire en coin. Quelques minutes plus tard , la face arrière de la librairie était en vue. Arrivant par les toits , je sauta sur le haut de la boutique puis me glissa par la fenêtre ouverte de ma chambre. C'était le chemin le plus court et le plus simple pour éviter de réveiller la jeune femme. Que dirait-elle si elle savait que je sortais, quasiment ,toute les nuits pour aller me défouler en forêt avec des fauves ? De toute façon , je devais occuper mes nuits comme je pouvais, car j'ai constaté que je n'avait besoin que deux-trois heures de sommeil pour être en forme.
Les quelques tâches de sang sur mon corps partirent, avec l'eau que j'utilisai pour me rincer. Mes blessures de mon combat nocturne avaient disparues, effacées de ma chaire. Après avoir enfiler une chemise d'un blanc propre ainsi qu'un gilet gris comme à mon habitude , je me dirigeai vers la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Ce dernier se composa de muffins au chocolat , qui finissaient de cuire dans le four , de quelques fruits saisonniers ainsi qu'une tasse de café chacun. Entendant la libraire se levait , je disposa sur la table, l'assiette de muffins, les tasses, le pichet de lait et le sucrier. Je m'assit sur la chaise la plus éloignée de la porte et attendit tranquillement Mademoiselle Lane. Soudain , je me rappela d'un léger détail qui pourrait me trahir. Mon apparence démoniaque laissa place à celle d'humain. Du bleu glace au gris terne , mon œil vira de teinte.
Dernière édition par Grent Geinmiin le Lun 10 Juin - 18:49, édité 1 fois
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Sam 25 Mai - 2:12
ÉCOUTANT LES BRUITS DE LA DEMEURE, je devinai que la jeune fille était occupée à faire sa toilette matinal. J'aime bien voir ses tenues, jours après jours. Le demoiselle avait toujours bon goût pour cela. La plupart du temps , ses vêtements étaient, souvent, sobres car elle ne devait pas avoir l'air vulgaire devant les clients. Les seuls jours, où elle se lâchait en terme vestimentaire, c'était pendant ces jours de congés. Me levant pour aller admirer le ciel nuageux, à travers la fenêtre, je réfléchis. C'était l'une de ses petites habitudes que j'avais appris en un mois. Quelques petites habitudes de la jeune humain apprise tel que ce qu'elle buvait le matin. Un café avec lait et sucre. Ou bien encore son heure de levé et de coucher, cela me fut rapidement utile pour mes petites escapades nocturnes. Enfin, ce genre de menus détails, rien de bien intéressant. D'ailleurs, aujourd'hui, c'est son jour de congé. J'entendis les pas souples de la jeune fille se rapprochaient de plus en plus ; je me tournai vers la porte de la pièce et patienta jusqu'à ce qu'elle rentre dans la pièce. La poignée de la porte tourna et cette dernière laissa entrer ma maîtresse.
Mon œil gris scruta attentivement sa tenue, de bas en haut. Elle en portait une des plus agréable à l'oeil. Tout d'abord et en partant du bas, une longue jupe des plus simples, lui allant jusqu'aux chevilles ;de couleur marron foncé, elle était rehaussée par de fins fils de couleur cuivre. Ensuite, son haut était un magnifique corset ,d'un brun plus clair que la jupe, avec pardessus un léger châle, dont la couleur tendait à se confondre avec les boucles de la libraire; il lui servait à dissimuler ses épaules mis à nues par le corset. De nouveau, la couture avait été réaliser avec des fils couleurs cuivres. Une paire de gants, recouvrant en grande partie ses bras, compléta la tenue. Enfin pour seul bijou que je vus, la jeune demoiselle portait un ras-le-cou des plus splendides bien que sobre. Il était composé d'une dentelle très fine ainsi que du pierre, au milieu du cou, cerclé par le cuivre. Ses yeux verts, dans lesquels j’appréciai me perdre, étaient mis en valeur grâce aux teintes marrons et cuivres de la tenue. Je trouvai que ces vêtements lui donner un style....hmm...classe. Je souris.
En guise de tout salut , elle me remercia pour le petit déjeuner que j'avais préparer. Cela n'en valais pas peine car j'avais pris plaisir à le faire et puis cela est un peu mon travail, en tant que son majordome. Elle est ma maîtresse après tout. Si elle avait lue mes pensées à ce moment précis, elle aurait hurler et m'aurait lancer des regards meurtriers. Savez-vous, Mademoiselle, qu'on ne peux tuer d'un regard ? sauf si vous êtes la gorgone Médusa. Après le court remerciement , elle me réprimande. Je ne cherche à rien obtenir d'elle, sauf à la fin de notre contrat. Chassant cette dernière pensée, je resserrai mon cache-oeil et m'assit face à elle, après qu'elle m'y est invité. Je la fixa dans les yeux et lui d'un ton chaleureux « Hell'o Mademoiselle Lane? Avez-vous bien dormis ? » Je me servit en muffins et en café puis continua d'un ton amusé « Je ne cherche pas à obtenir une quelconque faveur ou autre. J'ai fait cela car j'étais éveillé. Et vous avez raison , je ne suis pas votre esclave, je suis juste un démon à votre service. D'ailleurs avez-vous prévue quelque chose pour votre jour de congé ? » Je lui souris en croquant dans un muffin. Mon œil gris reflétait le vert des siens.
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Dim 26 Mai - 19:20
UN SOURIRE ILLUMINA LE DOUX VISAGE de ma maîtresse. Ce sourire dégageait une réelle chaleur, qui emplit la pièce et me réchauffa. Ces sourires là ,qu'elle m'adressait de temps en temps, me faisaient pétiller intérieurement. On pouvait lire sur les délicates lèvres étirées de la jeune libraire une certaine complicité. Cette dernière s'était installée peu à peu durant ce mois malgré nos statuts et nos races que presque tout oppose. Je pense que cela se voit surtout lors de nos joutes verbales où la demoiselle me hurle dessus que je ne suis pas son domestique et que je ne suis pas forcé de réaliser les corvées et que je soutient le contraire. Un jeu entre nous où des sourires s'échangent. J'aime la voir sourire véritablement, pas comme elle sourit à ses clients. Ces derniers ne remarquaient pas que face à eux se tient une femme, qui les hait énormément. Ils sont aveuglaient sûrement par leurs mœurs, qui leur font penser que tout sourire est réel. Je réprime un soupire face à ce constat et finis mon muffin.
Mademoiselle Lane répondit à ma question;dans sa voix, de la fierté résonnait. Effectivement les placards commençaient à être vides, en grande partie par ma faute. Je mange toujours plus que les gens normaux et puis la cuisine de la jeune brune me préparer est toujours succulente. Cela m'aide pas à me limiter pour la nourriture. Je souris intérieurement et répondis ,entre deux gorgées de café:
« C'est sûrement que votre nouvel arrivant trouve vos plats délicieux, dis-je d'un ton un peu enjoué. Pour ce qui est de la sortie, j'aimerai vous accompagner. Cela fait un petit moment que je ne suis allé dehors. »
Voyant le regard de la jeune femme de nouveau face au mien, j’étirai mes lèvres en un sourire. Il y a une chose que j'aimais chez elle, plus encore que son sourire : ses yeux. Elle possédait la paire d'yeux des plus étincelants et fascinantes que j'ai vu jusqu'à présent. Ils étaient le lieu de perdition préféré de mon regard. Je me ressaisit et entama un second muffin. Les mots suivants sortirent de ma bouche :
« Avant qu'on y aille, je souhaiterai prendre une bouche car je commence à sentir un peu » déclarai-je d'un ton amusé.
Une fois le petit déjeuner terminé, je me saisit de la vaisselle, la débarrassa et la lava pour éviter que ma maîtresse est à le faire. Je sorti de la pièce pour me diriger vers la salle de bain. La pièce d'eau était d'un blanc immaculé à l’exception de deux bandes noires horizontales qui coupaient les murs en deux. La baignoire était une cuve en céramique, couverte par le même carrelage qu'au sol, d'où sortait les poignées ,pour régler la température de l'eau( l'eau courante quelle superbe invention!), le robinet ainsi que le pommeau de douche. Elle était accolée au mur gauche près de la fenêtre. En face se dressait en grand miroir, cadré par de l'argent finement travailler, avec en dessous un lavabo de la même matière que la baignoire. Le tout était d'un luxueux qui me surpris. Comment une simple libraire peut avoir une telle salle de bain ? Après mettre mis entièrement à nu, je rentra dans la baignoire et fit tourner l'une des poignées, déversant ainsi un flux d'eau chaude sur ma peau. Je tressaillit du même plaisir que j'éprouvais quand j'allais me baigner dans les sources chaudes islandaises après les entraînements. L'eau coula le long de ma peau pâle avant de chuter lorsque qu'elle arriva à mes extrémités. Penchant la tête en arrière, je savourai la sensation de l'eau sur mon visage aux yeux fermés. Je stoppai le débit pour me savonner le corps, frémissant lorsque ma main passa sur l'une ou l'autre de mes cicatrices. Une fine buée avait recouvert le miroir et les vitres. Je sortis de la cuve en céramique, après mettre rincer, et chercha une serviette pour me sécher.
Effroi constat que je fis en découvrant que la seule serviette dans cette pièce était la petite qu'on utilise pour les mains. Je ne peux me sécher avec cela et ni me rhabiller mouillé avec des vêtements sales de surcroît. Où sont les serviettes ? La réponse me vint d'un coup:j'avais mis les serviettes sécher hier et la seule sèche se trouve dans ma chambre, située à cinq mètres de l'autre coté de la porte. Je soupira. Bon je vais devoir y aller en espérant ne croiser personne, je n'ai d'autre choix. Je pris mon courage et la petite serviette pour cacher ma virilité, puis j'ouvris la porte et tentai d'écouter les bruits aux alentours. Rien, je peux avancer. Un pas après l'autre je me dirigeai vers ma chambre et m'y introduit rapidement dans cette dernière. Une fois tranquille, je me séchai avec la serviette de ma chambre puis enfila une tenue identique à celle de tout à l'heure. Comme seule touche de couleur, que je portait, une petite pierre rouge fermant ma lavallière noire. Je récupéra ma montre à gousset et sortis de la pièce. Dans mon œil, on pouvait y lire mon soulagement de ne pas avoir était vu.
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Lun 27 Mai - 17:55
JE SENTIS LA ROUGEUR MONTER JUSQU’À MES JOUES. Calme toi, Grent m'ordonnais-je mentalement. J'avais compris que la jeune fille m'avait vu en tenue d'Adam, tout d'abord en la voyant rougir aussi violemment à ma vue. Puis elle cherchait à m'éviter du regard, le dirigeant au loin. Enfin, lorsqu'elle s'adressa à moi, sa voix était à peine inaudible, je dus repasser le son dans ma tête pour comprendre. Je tâcha de me ressaisir et tourna le regard de la jeune fille. Légèrement tremblant, des mots quittèrent ma bouche à travers l’espace de mes lèvres :
« Je...j'ai oublié quelque chose d'important dans ma...ma chambre. » bégayais-je à moitié.
Sans attendre, je me précipitai dans celle-ci et fermai la porte à clé derrière moi. Une fois dans la pièce, je me dirigea vers le miroir Mon reflet donnait une image de moi où le visage était rouge et le regard plein de gène. Voilà ce que doit ressentir ma maîtresse depuis un moi. Je m'en veux maintenant de lui avoir fait subir cela. D'ailleurs que doit-elle penser de moi à présent ? Une petite voix au fond de mon esprit me susurra qu'elle a sûrement apprécier la vue. Je secouai la tête pour enlever cette possibilité de mes pensées. Fermant les yeux, je me détendis du mieux que je peux en pensant à des choses calmes, comme l'art de la composition florale que j'avais un peu appris pendant ma formation. Le miroir m'indiqua sue me suis tellement détendu que je me suis vêtu de ma véritable apparence. Oups, je ne peux sortir ainsi. Le bleu de mon iris brillait ardemment. Souffle calme et posé, je sentis mes crocs, mes griffes ainsi que mes cornes se rétracter dans ma chaire. Le bleu redevint gris. C'est mieux ainsi ; bon cherchons les objets que j'avais besoin,car oui c'était une vraie excuse pour m'éclipser. Je chercha rapidement la lettre pour ma mère, un peu d'or et ma fidèle compagne que je glissa dans ma botte. Dans la lettre que j'avais écrite hier, je donnai à mère de mes nouvelles, lui disant que je me plais en Angleterre, que j'avais trouver un travail de majordome assez bien payé, sans lui dire la partie concernant le pacte et autre chose étrange et enfin, je lui demanda si elle pouvais faire venir Marie et Lullaby à Londres. Bien que cela peux paraître étrange, leurs présences me manquais un peu. Une fois tout en poche, je sortis de ma chambre et me dirigea vers Lane. Elle était restée à sa place , presque la même place que celle où je l'avais vu nue. L'image de son superbe corps dévêtu me revint en tête, se superposant avec l'image de la jeune fille actuelle. Je me concentra pour enlever cette fascinante pensée de mon esprit. Je lui présenta mon bras en déclarant, d'un ton où s'entendait un poil de gène :
« Nous pouvons y aller, j'ai tout pris. »
Au contact du bras, je pris d'une quinte de toux, qui emplit ma bouche d'une bile métallique. Encore ? Cela devait être ma quatrième depuis que je suis devenu un démon. Nous guidant d'un pas un peu rapide, je nous amenai à l’extérieur. Il faisait plus chaud que ce matin et les nuages commencèrent à s'estomper un peu , dévoilant des morceaux de ciel bleu. It's was a good day, to day.
[ellipse pendant les courses. Envoyez-moi un pv pour savoir ce qu'on a acheté ^x ]
Quelques heures après être partis, nous rentrions déjà, les bras chargés de provisions diverses et variées. J'avais hâte de goûter aux plats que la jeune brunes ferait avec cela. Par ailleurs, j'avais pus m'acheter un petit paquets de diverses sucreries que j'avais aussi hâte de dévorer. Je souris et tournai à droite pour couper par une ruelle, que je traversai par les toits habituellement. Une quinte de toux, plus violente que les autres me prix me forçant à me plier en deux. Le sang recouvra par de petites tâches le sol crasseux ; son goût ne m'avais lâché durant toute la sortie. Je tâchai de le cacher à ma maîtresse mais elle avait du s'en rendre compte. Me redressant, je lui souris et déclara d'un ton rassurant :
« Je vais bien. Rassurez-vous, Mademoiselle. En rentrant, je tâcherai de me soigner », dis-je alors qu'un peu de sang perlait sur ma lèvre inférieure.
En parlant de soin, j'avais découvert au bout de ma troisième crise que tuer quelqu'un semblait les calmer. Découverte faite en rentrant tard un soir et en me faisant agresser par un homme alors que je toussais du sang. J'observai la ruelle mal éclairée malgré un peu de soleil. Les murs des maisons étaient de couleur sales et, pour la plupart, lézardés par endroit. A environ une dizaine de mètres devant nous se dressaient trois hommes en train de discuter. Leur allure me fit confirma l'impression qu'ils cherchaient les ennuis. Le plus larges des trois, se trouvant le plus proche de nous, nous fixa avec un sourire en coin des plus mauvais ; s'adressant à nous, la voix plein d'assurance et fierté arrogante, il dit :
« Hé vous deux, vous allez venir tranquillement nous donner votre or, sans discuter »
Son acolyte à sa droite, dégainant un long couteau rouillé, lui chuchota une chose que le troisième larron, qui tenait un bouteille d'alcool, au vue de la couleur jaune sale de son œil, semblait approuver. Je compris le dire du second en voyant le premier dévisageait Lane et rajoutait à ses mots précédents :
« Ah , petit, tu va nous laissez aussi ta copine et joue pas au héros. On te la rendra après avoir jouer avec »
Désespérant devant autant d'idioties et de bas-instincts, je soupira et enleva mon manteau, qui chut au sol avec un bruit étouffé. Je me tournai, en relevant mes manches, vers Mademoiselle Lane en plongeant mon œil, devenu bleu, dans les siens fait d'émeraudes :
« Bon changement de programme, je me soigne avant de rentre, déclarai-je amusé par la situation. Me tournant vers les trois bandits, je continua. « Je vous déconseille de prendre cette jeune femme, elle est un peu froide avec l'Homme,si vous voyez ce que je veux dire. »
Sans attendre une réplique de leurs parts, je me mouva, en un battement de cœur, pour me retrouver dans le dos de l'alcoolique, le moins dangereux et le plus éloigné de nous.
Spoiler:
J'enfonçai mes mains dans sa chaire dorsale avec vitesse et violence. Mes mains s'agrippèrent à ses côtes, les brisèrent aux niveaux de la colonne vertébrale et les tirèrent en arrière afin de les faire sortir comme une paire d'aile de sang [cette méthode de mise à mort est inspiré de l' Aigle de sang ]. Me saisissant de la bouteille d'alcool, je la fracassai contre le portail du chef,qui soufflé coupé, s'agenouilla puis s'étala après que sa face eu vu de très près mon pied. Au suivant, le type armé. Dans ses yeux apparu la douce terreur que j’instaurai. Il referma sa prise sur le couteau et le brandit à la fois comme pour me menacer et pour se défendre. Vaine tentative, humain. Entre deux de ses battements cardiaques, je me retrouva presque contre lui et me saisis de son poignet pour lui enfoncé l'arme ,entre la mâchoire et la gorge. Le mouvement, que j'insufflai à sa main, ouvrit une large ouverture où je passa ma main pour récupérer sa langue que je sortit. Ainsi se forma une bouche souriante et ensanglantée qui tirait la langue comme amusé par cette mort.
(scène pas jolie à voir) Je souris en voyant mes deux œuvres. Je m'approcha du dernier vivant, à savoir, le chef. M'asseyant à califourchon sur son dos et relevant sa tête, je tourna alors vers la jeune libraire, dont les yeux étincelaient de plaisirs :
« Que fais-je de celui-ci ? », demandais-je, d'un ton qui montrait que je prenait plaisir à ce carnage. L'éclat de mon œil confirmait ce qu'on entendait dans ma voix.
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Mar 28 Mai - 21:23
DES APPLAUDISSEMENTS RETENTIRENT, amplifiés par l'étroitesse de la ruelle. Je cherchai du regard la source de ce bruit, devenue mélodie par écho. Que ne fut pas ma surprise en découvrant que c'était les mains de Mademoiselle Lane qui produisait le clappement. Elle bouillonnait de plaisir et de sadisme malgré son visage d'ange : c'était flagrant que le spectacle lui avait plu et elle, en bon public, m'acclamait. Elle me répondit d'une voix douce, empreint d'innocence. Que souhaitez-vous faire de lui ? Soudainement, ses lèvres se déformèrent en un sourire qu'elle adressa à ma seule victime vivante....pour l'instant. De ce sourire se dégageait une telle envie de faire souffrir, de torturer, de malmener cet homme, que je fut un peu pris de pitié pour lui. Ce coté de la gentille libraire, je ne l'avait jamais vu et pourtant, en un mois, je l'avais vu froide envers ses clients, énervée contre moi car je venait de faire une corvée, complice et cinglante lors de nos batailles orales, heureuse mais aussi triste. Ce coté, que je venait de découvrir, me surprit, voir me choqué ; certes, elle détestait le genre humain dans sa globalité mais je pensait pas à ce point. Vous êtes vraiment intrigante, jolie demoiselle. Je soupira en mon for intérieur. Le choc et la surprise laissèrent place à une sorte d'attirance ; elle semblais apprécier, voire comprendre, la sauvagerie dont je venais de faire usage.
Mes lèvres se changèrent en un sourire ravi par sa proposition et laissèrent s'échapper les mots que j'use pour validé un ordre :
« Que votre volonté soit faite, Mademoiselle »
Elle ne m'avait pas entendu, ni attendu d'ailleurs, et s'était précipitée vers la libraire. Je me relevai du corps du voyou, qui tremblait de Terreur -ce qui le rendre terriblement inconfortable- puis m'en saisis avec facilité ,pour le déposer sur mes épaules. Sa position le faisait ressembler à un blessé de bataille ; par ailleurs , il l'était : la rencontre avec ma botte lui avait fait recracher l'un de ses dents en or. Avançant d'un pas rapide ,malgré mon fardeau, je tenta de rattraper la belle libraire qui m'avait devancée, de plusieurs minutes, récupérant mon manteau en passant.
Passant par dessus le mur de la cour arrière, je me rendis à l'arrière-boutique. La pièce, se situant sous les marches, était sombre malgré le chandelier posé sur la petite table ronde. Je me déchargeai du bandit sur une chaise usée par le temps, l'humidité et la poussière et l'attachai comme je pu -le bougre se débattait- avec une cordelette sale. Fendant la fibre du bois, Rosa se planta dans la Table. Mon œil bleu se détourna du brun de l'homme pour aller se loger dans le vert pétillant de la femme.
« Je vais chercher deux-trois objets qui pourrait nous être utile», lâchais-je d'un ton neutre avant d'ajouter pour moi-même Et de quoi grignoter
Je sortis de la pièce, laissant ma maîtresse et le chef en tête à tête, et montai l'escalier en bois. Dans la cuisine, pièce qui devait sûrement contenir ce que je pourrai avoir utilité, une partie des sacs de provisions avait vidés et leurs contenus rangés dans les divers placards. La jeune femme, aux courbes sensuelles et au sadisme dévoilé, les avait rangés prestement. Après plusieurs minutes de fouille, j'observai mon butin composé d'une tige en bois -dont j'avais eu une idée pour son emploi-, une cuillère, une pique à bout en acier et c'est tout. Ah dommage qu'on n'a pas une forge avec tout ses pinces et autres outils. Je soupira et ouvrit la sucette à l'anis, que j'avais subtiliser dans un sac encore plein. Le goût de l'anis sur ma langue m’évoque un paradis sucrée. Je fit demi-tour et me dirigeai, de nouveau au rez-de-chaussée. Une fois en bas, l'odeur de sang frais emplit mon nez, de légers gémissement mes oreilles . Qu'est ce-qui passe ? Je me déplaçai sans bruit jusqu'à la porte entrouverte de l'arrière-boutique et observa l’intérieur. Mon œil bleu s'écarquilla légèrement face à cette scène.
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Jeu 30 Mai - 23:15
LA SCÈNE, SE DÉROULANT SOUS MON REGARD, est troublante mais en même temps attirante. J'observai attentivement la situation qui avait changée depuis que j'étais parti. L'homme, toujours ficelé mais dans la position inverse à celle de départ, commençait à devenir rouge et était bâillonné par un mouchoir de Mademoiselle Lane. Quand à elle, elle riait en fixant sa proie, car oui étant donné qu'elle avait sous son joug , il était à lui. Son rire fluet résonnait lugubrement dans la pièce, l'emplissant ,bizarrement, d'innocence. Elle abandonna sa contemplation pour aller prendre en main Rosa. L'argent de la lame reflétait le cuivre et brun de sa tenue malgré le faible lueurs des bougies. Revenant sur sa proie, elle semblais réfléchir à quels tourments lui infliger. Soudain, ses lèvres s'ouvrirent laissant sa délicieuse voix sortir imprégnée par le bonheur, Un bonheur que je n'avais jamais vu -enfin plutôt entendu- Faire souffrir vous rend si heureuse que cela, Maîtresse ? Je tâchai de réprimer un soupire, elle lui mentait clairement ; il devait en être conscient, si la jeune femme le laisserait partir, son étrange serviteur l’abattrait avant qu'il ne fasse un pas au dehors de cette pièce. La voyant tâter le cou du bandit, je devine qu'elle cherche sa carotide. Au vue de son sourire et de la lame ouvrant la chaire, je devine qu'elle a trouvée son but. Le sang commençait à s’écouler, en un petit flot, par la plaie légère : elle n'est pas suffisamment grande pour tuer rapidement. Elle veux le garder en vie le plus longtemps possible, pour le plus grand malheur de la victime. Sa main vint caresser le visage de cet individu ; je senti une étrange picotement désagréable au fond de moi. De la jalousie à la vue de cette caresse ? Peut-être, je n'en sais vraiment rien, La jeune libraire scrutait l’œil de l'homme, moi c'est elle que je scrutait.
Spoiler:
Elle enfonça son doigt dans l’œil, tentant de le crever. Peine perdue ; il faut une pique ou une lame pour crever cette organe. Le mien m’élança un peu au vu de cette torture. D'un coups ses muscles du bras, qui tenait ma dague, se contractèrent,, ou se relâchèrent cela dépend du muscle. La pointe d'argent brilla d'un sinistre éclat avant d'aller se loger dans l'organe optique. Le liquide transparent, de l'humeur vitrée, coula le long du métal. L'homme hurlait de douleur dans son bâillon. Le sourire innocent de Lane devint que pur sadisme ; elle se retenait d'éclater de rire devant ce spectacle. L'ancien chef, qui devait se sentir tout puissant dans les rues, était devenu un simple jouet entre ses mains. Il s'agitait dans ses liens, diminuant sa durée de vie. Une mare de rouge sanguin s'était formée au sol et grossissait au fur et à mesure. Elle soupira comme ennuyée par cette vaine tentative de s'évader et approcha Rosa de la joue. Un sillon se traçait lentement, sous la pointe, dans la chaire. L'homme laissa une larme s'échappait de son œil valide. C'est pitoyable. Tu tente d'attendrir ton bourreau, ? Tu as peu de chance, elle est devenue violence et torture. Apparemment, le sourire que je vis sur le visage de ma maîtresse me donna tort, plus ou moins. Elle lui sourit tendrement avant de lécher de façon désinvolte la lame. Cela me rappelait la fois où moi je goûta au sang de quelqu'un sur le bout de Rosa ; la personne en question était celle qui léchait la dague actuellement. Je souris à la vue de cette scène des plus.....Hmm....sensuelle. Le bandit faisait des bruits digne d'un animal à l'agonie, en plus bruyant. Faites le taire Mademoiselle, ses cris m’insupporte. Même les animaux ont plus de dignité à l'approche de leurs morts. Soudain, la jeune fille eut le visage recouvert par le liquide vital de sa proie. La cause de cela était la dague, qui en déchirant le muscle d'un des bras, avait entraînée son éjection.
J’observais la libraire couverte de sang, devenue amante de La Faucheuse à ce moment. Non je me trompe, elle n'était son amante mais son incarnation pure et simple. Elle était La Mort, qui provoque souffrance, malheur et terreur. Elle me devait m'avoir remarquée car je la vis s'agiter avant de se tourner et s'avancer vers moi. Elle semblait à la fois confuse et en même temps gênée de me voir, à tel point que Rosa chute au sol avec fracas. Elle ouvrit la bouche pour tenter de se justifier. Ce n'est pas peine, je ne suis pas dérangé par votre comportement. Bien au contraire. Après une profonde respiration, elle avoua son action et m'invita, d'un geste et d'un sourire, à regarder son œuvre qui gémissait encore. Elle plongea son regard, d'un verre ardent dans le bleu froid du mien avant de m'ordonnait d'en finir et s’assit.
Je lui adressai un sourire à moitié heureux et à moitié amusé et m'approchais de l'homme. Dans son dernier œil, la terreur augmenta à ma vue. Me saisissant d'une épaule et des pieds, je le mit à l'endroit et étudiai la cavité avec l’œil crevé dedans. Je me tournai vers ma sublime maitresse, le sang qui la couvrait lui donner une sorte d'aura sublimement attirant :
« Vous êtes différente des autres humains car vous accepter votre mauvais, si on peux dire cela, coté et vous avouez cela »déclarais-je d'un ton neutre.
Après avoir perdu mon regard sur ses courbes, je me ressaisis et me tournai vers l'homme qui pleurais. Je soupirai à cette vu et revint la fixer droit dans les yeux :
« Vous savez pour retire un œil ou le crever sans objet, il vous faudrait des ongles ou des griffes »,dis-je d'une voix où s'entendait un certain sadisme « Je fais vous en faire exemple »
Spoiler:
Trois de mes doigt s’approchèrent de l'organique optique et se positionnèrent contre la peau et la paupière. Je souris de plus belle en sentant mes griffes sortirent et s'enfonçaient dans la chaire ; je sentit qu'elles entouraient bien le globe oculaire et je l'arrachai d'un geste preste, en prenant soin de ne pas couper le nerfs optique. Le cri de l'homme résonna fortement malgré son bâillon, son œil pendait contre sa joue. Bon maintenant, il y a plus qu'à le finir. La tige de doigt, qui ne m'avait pas quittée des mains, tournait entre mes doigts, comme impatiente de son prochaine emploi. C'est maintenant le moment d’exécuter mon idée, cela va être drôle. L'une de mes griffes vint commençait à creuser la chaire et l'os du crâne, juste au milieu du crâne, jusqu'à atteindre le cerveau. Au tour de la tige maintenant. Je l'enfonçait lentement dans le cerveau de l'homme, qui hurla de douleurs et se débattit plus violemment : d'abord le lobe frontal, puis le corps calleux et enfin le lobe occipital. La tige ne dépassait de la tête que d'un ou deux centimètres, l'homme, quant à lui, était déjà mort avant que je termine mon travail.
Je me tourna vers Mademoiselle Lane et m'inclinai comme pour une référence au théâtre :
« Votre volonté a été faite » ; déclarais je joyeux avant de demander « Cela vous a plus ? »
Mon œil bleu pétillais de plaisir.
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Mar 4 Juin - 21:01
SON VISAGE CHANGEA SUBITEMENT. L'amusement avait disparu, laissant place à une certaine froideur comme au début de notre rencontre ; j'en frissonnai un peu. Dans son regard, plus aucune émotion ne se lisait, le vert est devenue anormalement neutre. Ni joie, ni tristesse ne s'en dégageait. Quelque chose vous a déplu dans mon action, Mademoiselle ? Fus-je tenté de dire mais abandonnai vite l'idée. La jeune fille s'avança vers moi, calmement. Le sang coulait en une sorte de serpent le long de son doux visage. Ce dernier se trouva à quelques centimètres du mien lorsque qu'elle s'immobilisa en m'adressant un sourire. Lane était à présent si proche que j'étais tenté de lui déposé un baiser sur ses délicates lèvres. Cette pensée disparut en voyant son sourire. Il y avait une chose étrange derrière celui-ci que je ne saurai expliqué que grâce aux événements futurs. Sa bouche laissa s'échapper des mots qui me donna un frisson. Elle me contredisait comme d'habitude mais cette fois, ce n'était pas un jeu. Les mots, qu'elle ajouta fébrilement, eurent du mal à sortir puis elle raffermit sa voix et me donna l'ordre. Il résonna dans toute la pièce, dans mon esprit et encore parfois dans mes cauchemars. Cet ordre me terrifia. Que je vous tue ? Mais, je peux pas:vous êtes ma maîtresse, un majordome ne peux pas tuer celle qui sert. Et puis....et puis, il y a ses picotements au fond de moi qu'en je l'a vois. Je la fixa, hésitant sur ce que je devais faire. La jeune libraire s'était à nouveau adossée au mur, les bras décroisés et le sourire toujours présent. Que dois-je faire ?
Elle a du me voir hésiter car de nouveau l'ordre emplit l'air. Cette fois-ci, sa voix était chargée d'une sorte impériosité, l'ordre était clair et non-discutable. Je frémis : elle ordonne et j'obéis, voilà ce que ressortait de cette voix. Hochant la tête, je me tourna vers elle
« Si telle est votre volonté, je me doit d'obéir » déclarais-je d'une voix dont je tentai de maîtriser le tremblement.
Je traversai les quelques mètres qui nous séparés et vint la cueillir du sol par le cou. Mon œil devenu gris terne plongea dans les siens avant de les quittés. Je sentais son pouls battre sous mes doigts, n'osant les serrer de peur de précipiter sa mort. Mon esprit était embrouillé. Tout les souvenirs de ce dernier mois défilaient dans ma tête. Le contrat, l'accident qui m'avait dévoilé son corps, mes sorties nocturne , le carnage de tout à l'heure et la découverte de son vrai caractère furent des parties qui passèrent rapidement contrairement à d'autres : ses sourires, nos échanges de regards, ses habitudes apprises, notre complicité....Au fonds de moi, je sentis une boule se changeait en une vague d'émotion que je ne connaissait. Comment décrire cela ? Je ne sais pas. C'est un mélange de bonheur, de joie, de plaisir et de bien de choses encore. Le tout réchauffait mon âme, si les démons en possédant. Une voix en moi me susurra que cela était impossible entre un serviteur et une maîtresse et encore moi entre un démon et une humaine. Cette voix avait raison, malheureusement.... Le lavant mon poing pour en finir, j'observai une dernière fois le visage de la belle jeune femme. Adieu, Maîtresse.
Mon poing fusa en direction du visage de l'humaine avec vitesse. Un lourd craquement se retentis quand il rentra en contact avec le mur, à une dizaine de centimètres de sa tête. Je sentis que mes phalanges s'étaient brisées et ma peau se déchirait sous la force de l'impact. Je resta ainsi plusieurs secondes avant d'inspirer profondément :
« J'en...j'en suis incapable, Mademoiselle », dis-je avant de rassemblais mon esprit pour ajoutais « Je ne peux vous faire de mal car je v... »
Les mots resteraient dans ma gorge et je relâchai la sienne. Puis, je l'a pris dans mes bras, entendant ses battements de cœur contre les miens, qui s'étaient emballés. Mon courage s'assembla en une vague qui me permit de faire passer les mots suivants :
« Je t'aime, Mackayla. Je t'aime et je souhaite rester près toi, quoiqu'il advienne » avouais-je avec un certain soulagement d'avoir mis des phrases sur ce que je ressentais.
Puis je me cueillis ses lèvres en baiser emplis de passion. Une vague de chaleur s'empara de moi. Mon œil se tourna vers ses pupilles vertes en virant au bleu de glace.
Dernière édition par Grent Geinmiin le Lun 10 Juin - 18:49, édité 1 fois
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Jeu 6 Juin - 20:59
LE CONTACT CHARNEL ENTRE NOS LÈVRES dura plusieurs secondes. Que dis-je, plusieurs minutes, heures, jours,.... Un temps infini et immobile, où nous ne somme qu'un. Je pensa à une formule, tirée de quelques vers du romantique La Martine. OH ! Temps suspend ton envol ! Voilà ce que je voulais hurler mais je ne voulais rompre ce délicieux contact. Les lèvres de la jeune femme avait un goût sucré et délicat. L'odeur du sang frais, fusionnée à celle de la libraire, me faisait tourner la tête, je m'en enivre comme du goût des lèvres. Les lèvres se détachaient peu à peu des miennes. Réprimant l'envie de prolonger le baiser, j'écoute attentivement mon amante. Puis-je la nommer ainsi maintenant ? Oui je crois ; pour ce genre de chose, je débute encore. Sa réponse m'emplit de bonheur, nous partageons les mêmes sentiments. Une nouvelle vague de chaleur monte en moi, je me sentis totalement en paix et détendu. Les cornes pourpres et mon aspect sauvage le prouvèrent. Je rendis à MacKeyla son magnifique sourire en dévoilant mes crocs. J'aime la voir sourire ainsi. Une larme serpenta, se mélangeant au sang de notre victime. Je la récupéra du bout de ma griffe :
« Vo...tu devrais peut-être nettoyer ce sang » dis-je d'un voix suintant le bonheur, avant de me souvenir du cadavre « Je me débarrasse de l'autre et je reviens auprès de vous »
Je me tourna vers le corps torturé, ramassant ma compagne de bataille au passage, et l'essuya dans un pan de son vêtement encore « propre ». Le poids du corps me pesa pas lorsque je le posa sur mes épaule, avant de me diriger vers la sortie arrière. La journée arrivait bientôt à son terme, le soleil donna au ciel un teinte orangé. D'un bond, je passai du sol au mur de la cour, puis du mur à un toit. Autant coupé un peu. Merde mon aspect ! Me changeant en humain, je me posa dans la ruelle éloignée, qui abritée la maison. Cette maison abritait déjà le couple de la dernière fois ; la porte grinça et laissa s'échapper les même odeur de la dernière foi avec une odeur de pourriture et de mort. Le Temps faisait son office en ce lieu. J'entrai dans la pénombre et jetai le corps, loin de l'entrée;il s'écrasa avec fracas. En sortant et refermant la porte, je remarquai que ma main était de nouveau intact. Cela reste surprenant quand même. J'avais presque pas sentis la douleur, sûrement à cause de mon esprit embrouillé à ce moment là mais j'avais pu lire de la panique dans les yeux de la jeune femme. Avait-elle eu peur pour moi ? Peut-être. Je retourne vers notre demeure d'un pas rapide. Tel un courant d'air, je passe de toit en toit avant de redescendre dans la cours.
La porte de la boutique s'ouvrit me permettant d'entrée ; je m'introduit dans la librairie en tendant l'oreille pour repérer la propriétaire des lieux. En haut, fut ce que je déduit du bruit et d'une légère odeur de nourriture. Elle doit être en train de faire le dîner, les événements ont dû la mettre en appétit. Les marches grinçaient légèrement sous mes pas. Manger ou se laver ? La seconde idée est la préférable car je serais de nouveau présentable pour manger.Je me dirigeai vers la salle d'eau en déboutonnant ma chemise et jetant mon gilet devant la porte. J'entrai dans la pièce aveuglé par le blanc de mon haut qui passa devant mon œil.
« Je vais me doucher, Mac' » fus-je les mots que je dis avant de m'immobiliser face à la baignoire.
La raison de cela est simple : le blanc avait laisser place à une scène qui ne m'était pas inconnue. Sauf que la scène était tout droit sortie de mes fantasmes oniriques. Dans l'eau, teinté en rouge par le sang, se trouvait la demoiselle de mon cœur. L'eau et le savon couvraient une bonne partie de son intimité mais je devinais facilement le reste de ses courbes sous le liquide. Mon œil profita de ma stupeur pour se balader, de haut en bas sur ce corps. Un courant tiède parcourant mon dos meurtri me ramena à la réalité. Je me ressaisis et fit volte-face, le visage légèrement empourpré :
« Je...je croyait que vous...tu était à la cuisine. Je n'ai rien vu » bégayais-je en ajoutant dans mon esprit De plus que je n'ai déjà vu.
Mon œil redevint bleu glace, emplis de bonheur et de gène. [center]
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Lun 10 Juin - 21:52
UN FRISSON PARCOURA MON ECHINE, partant de mon cerveau et finissant dans mon bassin. Le sang monta à mes joues pour les colorer en pourpre. La jeune fille devait, aussi, être sûrement rouge de honte par ma faute. Soudainement, j'entendis les clapotis de l'eau ce qui m'indiquais qu'elle était sortie du bain. Elle doit m'en vouloir pour l'avoir mit de nouveau dans cette situation , oh combien, gênante et venait sûrement me gifler comme la dernière fois. Je la sentais juste derrière moi. Son corps dégageait une certaine chaleur attirante et sensuelle. Mon esprit ce joua de moi en me la présentant, mentalement, dans le plus simple apparat. Mon cœur s’emballa un peu plus. Calme toi, Grent ! Me préparant mentalement à ne pas parer puis répliquer avec un coup par réflexe, j'attendis le choc de sa main contre ma joue. L'attente dura plusieurs interminables secondes avant que ce choc se produit. Ce n'était pas celui auquel je m'attendais, celui de sa main sur ma joue mais un d'une tout autre nature, je n'allais pas m'en plaindre après tout. En effet, la jeune femme entoura ma taille de ses bras délicats. Je frémis en sentant, par la suite, sa poitrine se pressait contre mon dos. Quelques gouttes descendirent le long de ma cicatrice dorsale. Son cœur tambourinait dans sa cage thoracique. A quoi penses-tu, Mac ? Elle répondit à ma question muette. Je ne sais si c'est l'atmosphère, mes sentiments avoués à MacKayla, mes oniriques fantasmes, sa déclaration ou tout cela en même temps mais j’acquiesçai de la tête :
« Oui, laisse moi juste me dévêtir » dis-je d'une voix à peine plus audible que la sienne, tentant aussi de couvrir nos cœurs battant la chamade.
La dame de mon cœur se détacha de moi afin de retourner dans l'eau rouge. Je lança un rapide coup d’œil en la voyant s'éloigner, me donnant une vue sur ses fines épaules, sa sensuelle échine puis enfin son superbe bassin prolongé par de gracieuses jambes. Quelle splendide scène ! Je me retournai vite, un halo rouge sur mes joues et calmai ma respiration qui s'était emballée. Que faire maintenant ? Je ne peux pas la rejoindre dans l'eau. Même si je l'aime, je ne peux faire cela. Pendant que je réfléchissait à cela, mes mains s'étaient portées, inconsciemment, sur la fermeture de mon pantalon et l’ouvrirent. Celui-ci glissa le long des mes cuisses et tomba sur le carrelage de la salle de bain. Faisant volte-face, je me dégageai du tissu puis, d'une marche semblable à une trance, je me rapprochai du bain. Mes lèvres s'étiraient en sourire qui dévoila mes crocs ; s’effaçant au profit de la vraie, mon apparence se changea :
« J'espère que cela ne vous dérange pas que je soit ainsi » demandai-je d'un ton qui se voulait calme.
Le dernier vêtement que je portais chuta au sol, tandis que je me glissa dans l'eau chaude. Sa couleur gagna en teinte de rouge à mesure que je m’immergeais. Belle couleur qu'elle avait prit. Presque aussi vive que celle du sang. Mon regard se tourna vers ma maîtresse, assit face à moi et alla se loger dans les siens. Pendant quelques instants, j'eus l'impression de courir dans une plaine aux couleurs verdoyantes. Je me ressaisis et revins à la réalité. Cette réalité si enivrante, si attirante et tellement séduisante que j'eus l'impression d'être pris dans une étrange transe chamanique. Ce rite païen et luxurieux, que, actuellement, moi et mon amante pratiquons, se dénomme Amour. Pris par l'élan de ma transe, j'approchai mon visage et mon corps de celui de la délicieuse humaine, pour venir chercher une fusion charnelle de nos lèvres. Deux-trois mèches noires et humides barraient les traits de celle-ci, je les dégageai du bout griffu d'un de mes doigts.
Soudain, je me figeai surpris de ce que je voyais devant moi. C'est impossible. Que fait-elle ici ? Je la croyais issus de mes rêves. La raison de mon désarroi était que Mackayla ressemblait à ce moment-là à une jeune femme qui hantais souvent mes nuits et apparaissait, apparaissait, en flashes sous mes yeux. La femme en question avait quasiment les traits identiques à ceux de ma demoiselle ; les cheveux plus clairs mais tout aussi trempés que les siens. La vision se déroulait dans une ruelle sombre, battue par une pluie orageuse Elle tentais de me dire quelque chose mais sa voix était couverte par le bruit des éclairs déchirant le ciel et mon rire déchirant l'air proche. Je frémis à cette dernière pensée. Observant le visage de la jeune libraire, je vis l'autre fondre dessus ; cela me figea sur place. Je sentais le souffle chaud de mon amante contre mes lèvres et son parfum attirantt s'engouffrant dans mes narines pour embrumer mon cerveau. Après plusieurs secondes d'immobilités, je me recula de celle-ci, plaquant mon dos contre la paroi de la baignoire et pencha ma tête en arrière afin de soustraire à son regard la vue de mon œil droit. Ce dernier s'était emplis de tristesse, sa couleur était gris-bleu.
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Mar 25 Juin - 8:14
LA PLUIe S'ABATTAIT AVEC FRACAS, tombant sur le visage légèrement floue de la jeune inconnue. Son regard, d'un vert plus dorée que celui de Mackayla, implorait la piète de son agresseur mais celui-ci ne semblait pas le voir. La jeune fille hurla de terreur mais son cri disparu au moment où sur sa gorge apparu une béante ouverture , libérant un flot de sang. Celui-ci se mêla à l'eau de pluie et ruissela jusqu'au sol. Ma main rabaissa l'argent ensanglantée alors que je m'enfuyais dans la nuit. Qui était cette jeune fille si semblable à mon amante ? Est-ce vraiment moi qui la tuais froidement ? Pour cette seconde question, la réponse était oui mais pourquoi ai-je fais cela ? Pourquoi je me souviens de rien ? Et les autres personnes de mes visions , est ce mon œuvres aussi ? Ces questions résonnaient dans mon crâne, le vrillant de l’intérieur.
Je secoua ma tête pour les chasser. Retour à la réalité. Le froid de la nuit d'averse laissa place à la chaleur du bain. Devant mes yeux plus de visage de jeunes femmes apeurées, plus de sang, juste un carrelage d'un blanc immaculé. Combien de temps suis-je rester ainsi ? L'eau encore chaude autour de mon corps me rassura sur la durée. Je sentis un vide, un manque près de moi et remarquai alors que la jeune femme n'était plus là. Elle avait du voir mon regard emplis de tristesse et prendre peur. Je devais sûrement avoir l'air de quelqu'un de bientôt mort alors que normalement je devrais pétiller de bonheur et de joie. Je comprend sa réaction de recule... Je ne savais pas quoi faire ou répondre à cela. Que lui dire ? En tout cas, pas toute la vérité de peur qu'elle s'enfuit ou qu'elle me rejette. Et je voulais pas l’inquiéter avec mes histoires de flashes ; certes je lui en avais un peu parlé mais là je préférais me taire sur le contenue de la dernière. Je tourna mon regard vers la jeune humaine. Elle hésitait sur ce qu'elle devait faire. Rester ou partir ? Si tu pars , je ne t'en voudrais pas, Mac. Elle prit la deuxième solution et retourna, de nouveau dans l'eau en se penchant moi. Je frissonna en entendant sa question. Je ne savais quoi répondre :
« J'ai encore eu...une vision....à l'instant » dis-je d'une voix tremblante.
La jeune femme vint se blottir contre mon torse nu, sa peau délicate contre la mienne plus épaisse à cause des combats. Elle semblait écouter mon rythme cardiaque. Ce rythme que je tentais de faire revenir à la normale,non pas parce qu'il était rapide mais bien au contraire, il était lent terriblement lent. Il semblais suivre le rythme d'une marche funèbre ; un battement lent et profond. J'en frissonnai intérieurement. Mon bras vint s'enrouler autour de la taille de Mackayla, l'attirant contre moi. Je ne voulais plus qu'elle s'éloigne ; je voulais la garder près de moi pour toujours ; je voulais rester ainsi pour l'éternité. Même si au fond de moi, je savais que l'un de nous deux ne pourrai pas rester pour l'éternité. Oh ! Cruel de sort du destin que d'avoir rendu l'immortel et la mortelle éperdument amoureux l'un de l'autre. La direction de mon œil, à la couleur vacillant entre le bleu glace et le gris terne, se posa sur les courbes tendres de l'humaine. Je souris légèrement et j'attirai son doux visage vers le mien. Nos lèvres fusionneraient à nouveau en une étreinte délicieuse qui ranima le feu au fond de mon être, avant de qu'elles se séparent à nouveau. Je dégageai une nouvelle mèche humide de son visage. Elles sont si semblables.......Ses yeux verts me permirent de m'évader à nouveau dedans. Comme pour répondre à une question muette, ma bouche s'ouvrit pour me permettre de lâcher les mots suivant :
« Je ne souhaite en parler de nouveau....Je souhaite juste resté près de toi » déclarai-je d'un ton ton calme avant d’ajouter « Désolé de t'avoir inquiéter »
Mon esprit se sentait de nouveau apaiser, grâce au contact de la jeune femme. J'étais en paix et heureux.
Mon œil décida que le bleu était la meilleur des deux couleurs entre lequel il vacillait.
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28
Sujet: Re: Amant et Maitresse (pv MacKayla Lane) Jeu 25 Juil - 21:29
LE CONTACT DE SA MAIN CONTRE MOI me réchauffa. La vague de chaleur envahit mon esprit et s'étendit aux quatre coins de ma raison, chassant au passage tout once de tristesse et de désespoir. Cette chaleur apaisa encore plus mon mental. Le sourire que mon amante m'adressa me ravis et je lui en adressa un empli de bonheur. La belle approcha son visage du mien avec lenteur, je n'osais la quitter des yeux de peur de voir la vision à nouveau. Lorsque nos lèvres s'unirent en un délicieux baiser, je sentis un torrent de lave s'écoulait en moi. Ce feu liquide se déversait, brûlant l’intérieur de mon corps, mais ce n'était pas douleur ; c'était agréable , voir même envoûtant et enivrant. Soudain, le désir de Mackayla me parvint comme une invitation de Luxure à mes oreilles. Mon esprit passe de la mer calme qu'il était devenu à un océan déchaîne par la tempêtes de mes fantasmes inavoués. Je frémis à l'idée qui venait de germer dans cet esprit....
Partie Érotique du rp ( + 16 ans ):
Ma main glissa le long de l'échine de ma maîtresse, caressant sa peau nue du bout de mes doigts. Je laissais mon instinct les guider jusqu'à ses hanches, puis les faire remonter sur son bassin, dessiner des courbes sur son ventre délicat. Mes mains s’attardèrent en caresse au niveau de sa poitrine, y dessinant des cercles langoureux. Mon cœur battais une chamade saccadé par des battements lents puis rapides, se succédant sans logique absolue ; mon sang se mouvait en moi avec fouge, se concentrant au niveau de mon intimité . J’observai l’émeraude scintillante des yeux de l'humaine , m'y plongeant. Je cru y discerner quelques reflet d'or mais cela du être une illusion car je ne les revis plus. L'aire de la pièce commençait à devenir de plus en plus lourd à mesures que j’exécutais mes caresses sur son corps. Nous échangeâmes plusieurs baisers, certains sensuels, d'autres doux et délicats et d'autres, encore , torrides. Soudain, mon envie atteint son paroxysme :
« Puis-je ? » fusent les mots qui sortirent de ma bouche en un souffle chaud.
Au regard de mademoiselle Lane, je compris que j'avais son consentement et sans attendre , je me saisis de ses hanches pour les placer au dessus des miennes. L'union de nos chaires déclencha une explosion de plaisirs en moi si puissante que j'en gémis longuement. Ce plaisirs se déversait en moi alors que j'entrepris de légers mouvements de bassins. A cet instant , tout autour de nous étaient inexistant ; il n'y avait que nous deux, unis dans une étreinte qui se voulait éternelle. Mon regard se tourna vers mon amante. Celle-ci semblais danser sensuellement au dessus de moi. Je me redressa pour déposer un baiser dans son cou. Contre mes lèvres, je sentis sa jugulaire battre aussi vite que son cœur. Chaque fibre de mon être , chaque muscle, chaque organe étaient, à présent emplis d'un feu puissant et plus doux que n'importe quelle matière. J'en tressaillais de jubilation. La température de la pièce avait crue jusqu'à provoquer évaporation de l'eau , formant une brume légère autour de nous. Ce moment dura un temps qui me sembla infini, où je restai contre la peau du cou de mon amante. Ma mâchoire s'ouvrit , soudainement , pour laisser s'échapper quelques soupires de bonheur mais ils évanouir contre la chaire de la délicieuse enfant ; mes crocs enfonçaient dans cette dernière , mais sans l’entamer profondément. Est-ce un instinct animal enfoui au fond de moi qui m'a poussé à agir ainsi ? Je ne sais point.....Une explosion de plaisir ébranla ma psyché et mon être charnel. Elle parti de mon bassin et son souffle se propagea à travers ma chaire ; Arrivant dans mon larynx, il fit basculer ma tête en arrière et sortit de mon corps sous la forme d'un long râle de jouissance, qui se répercuta contre les murs de la pièce. Le bleu étincelant de mon œil devint si claire qu'on aurait pu le confondre avec le blanc de son jumeau. Je restai contre mon amante encore plusieurs dizaines secondes et fermai mes yeux.
En rouvrant mes paupières, j'eus l'impression de m'éveiller en plein rêve ; allongée contre mon torse se trouvait ma douce amante. Mon cœur battait encore comme un tambour de guerre ; mon souffle est encore haletant. Je n'avais saisis tous ce qui s'était dérouler durant ces minutes d'intenses émotions. Je souris, dévoilant au passage mes crois blancs. J’étais à nouveau en paix. Mon œil repris sa démoniaque couleur bleu.
MacKayla Lane
Noble
Messages : 416 Date d'inscription : 21/04/2013 Age : 28