Sujet: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%] Mer 9 Juil - 1:42
Présentation de
Thursday
SOMEDAY THIS WORLD WILL BE MINE
Nom :Aucun. Prénom :"Zayn" peut-être. Surnom :Thursday, just Thursday. Date de naissance :03/06. Lieu de Naissance :Alger (Algérie). Age :28 ans Statut :Eternel célibataire. Métier :Trafiquant. Groupe :Civil & Humain Poste Vacant :Nop'.
Feat. Masrur
(C) MAGI : The labyrinth of magic
Les apparences sont trompeuses
MIRROR, MIRROR, TELL ME...
Si les morts pouvaient parler, sûrement que ses victimes auraient pu le décrire...A l'exception près de quelques cas particuliers, comme par exemple mademoiselle de Férudy.
Imposant. C'est le mot qui venait en tête la première fois qu'on pouvait le croiser, une hauteur presque inhumaine, avoisinant le deuxième mètre, peut-être un peu moins ou un peu plus : C'est ce qui concédait prioritairement le sentiment de crainte aux personnes qui le regardaient, le dévisageaient et s'étonnaient de cette taille titanesque. Cependant, la stature de cet homme n'était pas le seul motif qui médusait les gens. Cela était aussi dû à sa musculature saillante qui semblait donner vigueur à l'ensemble de son corps. Sa morphologie générale de mésomorphe rendait un atout charismatique à cet homme qui, d'un naturel musclé pouvait tailler son corps de sa seule volonté par les heures quotidiennes d'entretien physique auxquelles il s'adonnait.
Seulement, comme l'humain aime le détail, ce n'était pas seulement cette généralité corporelle qui lui octroyait cette allure imposante. De son visage, la première chose qu'on remarquait restait ses yeux : D'un doré-rougeâtre semblable aux bijoux orientaux de son pays natal qui, déjà percevait de ses pupilles légèrement ovales le moindre détail, mais qui en plus de leurs grandeur et de leurs forme en amande, ne pouvaient qu'être difficilement dissimulés. Ce regard se trouvait cependant être malheureusement sévère et, à la manière d'un psychopathe ne semblait se mouvoir de sentiments, rendant son regard sombre. Ses sourcils donnaient, eux, le caractère encore plus réfractaire à la sociabilité à son visage et, d'une forme droite et presque toujours froncés, n'inspirait aucunement la sympathie.
On pouvait continuer par sa chevelure, bien que courte descendait tout de même dans sa nuque et couvrait son front cependant peu large. Sa couleur se mariait pourtant assez bien avec ses yeux grâce à la couleur carmine légèrement rousse dont elle était pigmenté, formant comme une cascade sanglante autour de son crâne. Légèrement cachées, ses oreilles, elles, étaient tout simplement accordées au reste de son visage, d'une grandeur raisonnable et d'une finition presque pointue. On pouvait ainsi repartir sur ses joues, dont les pommettes peu développés donnait de la platitude à son profil, mais aussi sur son nez, droit, fin et qui accordait un air tout aussi impitoyable. Pour parfaire son visage, on pouvait voir sa bouche, peu colorée comparé à sa peau d'un typé oriental, seulement d'une teinte au dessus.
Ensuite, en descendant on pouvait remarquer son cou semblable à celui d'un buffle, dont la nuque assez large continuait sur un dos accordé au reste de sa morphologie, cependant marqué de cicatrices parfois profondes au même titre que ses bras, eux longs et musclés pouvaient montrer certaines bosselures à cause de mauvaises régénérations passées, tout comme ses jambes dans le même état. Seulement ces anciennes marques du passé, devenant souvent douloureuses constituait l'un des défauts majeurs de son corps, l'empêchant certains mouvement et réduisant sa dextérité physique bien que celle-ci soit surtout misée sur la force brute. Mais même si on pouvait dénoter une certaine agilité, son adresse elle se résumait à la métaphore de l'éléphant dans un magasin de porcelaine.
Un détail peu commun ornait cependant le dessous des lèvres beiges-rosées de l'individu qui, non loin d'aimer les choses originales avait percé sa lippe au milieu pour y placer un bijou doré. C'est ce qui augmentait son charme atypique accentué notamment par son style vestimentaire.
On pouvait ainsi le voir le jour où il tua mademoiselle de Férudy, jeune bourgeoise française, vêtu d'un pantalon assez serré et souple pour pouvoir combattre, aussi noir que le charbon pour que si le sang atteignait de façon involontaire ce vêtement qu'il n'en soit pas remarqué, contourné de quelques lanières de cuir aux cuisses afin d'y accrocher deux armes cachées par un long manteau. D'une couleur rougeâtre presque noir, il possédait en plus une capuche gardée rabattue, couvrant son crâne et ombrant son visage. Le vêtement atteignait facilement ses chevilles, les manches restaient remontées jusqu'à ses biceps et l'avant ouvert pour laisser découvrir un habit fait d'une sorte de cuir refermé par une fermeture à glissière presque jusqu'en haut, laissant observable le début de ses pectoraux. Quant à ses chaussures, de simples bottes lui avait suffit, où était caché une dague d'à peu près vingt centimètres.
Bien sûr, la belle demoiselle n'eut pas réellement le temps de contempler son agresseur ainsi que sa tenue à sa juste valeur, car dès qu'il l'avait attrapé, l'homme lui avait crevé les yeux et, comme toute ses victimes, elle avait été torturé puis mise à mort. C'est comme cela qu'on retrouva les ossements de mademoiselle de Férudy un beau matin de janvier, dans un fossé où était tombé une petite fille qu'on récupéra vivante. Cependant, les ossements semblaient avoir été mordu, comme si on avait mangé préalablement le corps...
[HRP : Celui qui trouve à qui appartient la tenue...Je lui tire mon chapeau !]
A la découverte de votre esprit
HOW I AM ? IT'S SIMPLE...
L'homme parfait est sans doute un homme...Beau, fort d'esprit comme de corps, intelligent, sympathique, affectueux, avec du sens de l'humour et qui sache ce que veulent les femmes. L'homme parfait, sans doute, les respecte et les aime comme si sa vie était voué à elles, qu'il puisse deviner comment les combler et les satisfaire de toute les façons. Qu'il soit aussi riche, puissant et ambitieux, avec un air dominant tout à fait appréciable, sans oublier ce petit air fier et hautain qu'il saurait dissimuler avec sa compagne. Aussi, il serait sensible, mais sans réellement le montrer, et généreux, ne l'oublions pas, sans parler du charisme fou qu'il devrait montrer. Egalement, il doit savoir rassurer sa dulcinée en la protégeant et en étant doux sans trop l'être tout en étant fidèle.
Donc, nous sommes d'accord, Thursday est très loin d'être l'homme parfait.
Pour la beauté, qui est d'ailleurs subjective, il pourrait sans doute concurrencer les meilleurs mannequins s'il n'était pas couvert d'immondes cicatrices. Et, bien que certains pourraient juger que cela ne se verrait pas tant que ça, ces personnes n'auraient alors sûrement jamais vu son dos dénudé, parce que le résultat n'en est que plus effrayant.
Fort, nous sommes à peu près d'accord sur cela. Sa taille et sa musculature lui permet de conserver une force physique mieux qu'acceptable et son passé lui a permit au fil du temps d'acquérir une force mental aussi respectable qu'admirable que par son infaillibilité.
Son intelligence, elle, est à discuter vaguement. Bien que grand stratège dans l'âme et aussi débrouillard qu'un sans abri, Thursday est loin de posséder une intelligence digne d'un mathématicien ou d'un philosophe (ou plutôt il ne veut pas s'en servir). Brute, il préférera sans doute mettre les points – ou les poings – sur les i en comptant simplement sur cette force là, ce qui le fait passer d'ailleurs pour un retardé bien qu'il n'en soit pas réellement un.
Dire que cet homme est sympathique, ce serait sans doute rire au nez de dieu en prônant son attachement au diable en étant un ange. Cet homme est froid, glacial et aussi méchant qu'un démon, n'hésitant pas à répandre le sang des gens sur son passage, après tout, il s'en fiche, ce n'est pas le sien.
Affectueux est encore une grande blague. Autrefois, enfant, il savait montrer une certaine affection à l'égard de son maître mais il semblerait que tout se soit envolé avec les dures épreuves qui l'eurent mener dans le fond. Sa seule preuve d'affection pourrait se résumer à un simple coup d'oeil sans rancune et, si vraiment vous avez eu la chance d'avoir fait quelque chose d'extraordinaire ou de finir sous sa lame il pourrait – éventuellement – vous adresser un demi-sourire forcé.
Du sens de l'humour...Que dire à propos de ça. Thursday n'en a pas du tout. Enfin, si. Quand il s'agit de détruire une personne ou de la traîner dans la boue avant de la tuer, il sait montrer une certaine dérision très désagréable à la limite de la moquerie et de la torture mentale et dans ce type d'humour, il est, croyez moi, très doué.
Ce que veulent les femmes ? Un couteau dans la gorge, c'est tout pour lui qui ne les considère que bassement au même titre que les hommes d'ailleurs. Il n'a rien contre elles, mais le son de la musique classique sied bien mieux au douceâtre hurlement féminin, égorgé dans une ruelle sombre, donc il préfère chasser la gente féminine.
Il ne respecte et n'aime personne. Femmes, hommes, personne d'autre que Weasel n'a jamais attiré son attention. Sa haine envers le genre humain est quasiment inchangeable et, bien qu'il déteste tout le monde, son amour pour la souffrance revit aux sonates et aux réquiems de façon presque automatique et se met subitement à aimer les cris et corps humains. De plus, il ne comble et ne satisfait personne, sauf peut-être sur le plan sexuel, qui apparaît comme l'une de ses seules qualités, d'ailleurs...
Riche, pas encore. Mais sa puissance est son ambition montent en flèche depuis ses vingt ans et il possède la ferme conviction de devenir un jour le maître suprême, celui qu'on respectera et qu'on adulera sous la peur de se faire trancher la gorge. Egalement pour le côté fier, dominant et hautain, ça il n'y a pas de problème, il regarde tout le monde comme ça, mais de façon totalement démesuré et il ne le dissimule à personne – sauf peut-être à Weasel, encore une fois – Personne ne sait pourquoi il agit comme ça, mais tout le monde sait que c'est très désagréable d'être dévisagé ainsi.
Sa sensibilité, également est au point le plus bas. Tuer un nouveau-né ou une femme enceinte l’enchanterait presque, mettre fin aux jours du sauveur d'une population entière le ferait jouir d'un immense plaisir ou même encore détruire un enfant qui croit encore que tout le monde est gentil pour ensuite froidement l'assassiner est pour lui une source d’apaisement incommensurable. Vous l'aurez compris, Thursday est au point de psychopathie le plus haut.
Cependant, son charisme se joue vaguement sur son apparence physique. Bien qu'acerbe, beaucoup de personnes savent reconnaître qu'il est séduisant à premières vues, même si tout ce charisme est le plus souvent détruit par sa franchise exécrable.
Soyons ainsi clair, Thursday n'est aucunement rassurant, protecteur, doux et fidèle. Puis, il n'y a pas à contester, on sait tous qu'il n'est pas un homme parfait ! Cela se voit à des kilomètres.
C'est un connard sans nom, car il n'y a pas d'autres mots pour qualifier une personne pareille. Vous ne pourrez trouver en lui que de la pourriture et s'il ose montrer une once de sympathie à votre égard c'est que c'est totalement faux – et anormal venant de lui – et vous feriez mieux de vous en aller avant de vous faire tuer. Il n'a aucune pitié et n'agit que selon ses pulsions meurtrières et sadiques. Après...Si vous le côtoyez et sachez l'apprécier, peut-être vous tuera-t-il avec moins de douleur...
THURSDAY N'EST PAS UN HOMME POUR VOUS.
My life before come the Apocalypse
FROM SLAVE TO MASTER
« C'était un jeudi »
Je sentais la brise sinueuse de la nuit caresser mon visage de façon si pure...Je revoyais encore ce qui me paraissait un désert, me faisant face alors que mes yeux perdaient leur chemin dans la pénombre douceâtre des ténèbres. De l'espoir qui venait en moi, je construisis une conviction soudaine : Je serais libre. Mon cœur qui battait au rythme d'une danse effrénée où les tambours résonnaient me criait de partir loin, de courir à jamais ou jusqu'à ce que mon corps ne puisse plus le supporter. Je courrais dans l'obscurité alors que personne ne m'empêchait plus d'avancer ; mes jambes me menaient à la sainte liberté et de ce mielleux appel, j'obéissais à mes instincts d'homme affranchi par sa seule volonté.
Alger, 1862.
C'était le trois juin, un jeudi. Lorsque des cris de douleurs alertèrent les gardes de l'un des hauts placés de la ville de l'époque, en cette soirée là on découvrit l'une des esclaves pleurer, mettant au monde un enfant, enchaînée dans les cachots. Ce n'était qu'alors une jeune femme descendant d'une lignée d'esclaves blancs qui avait plût à l'homme sus-cité et, bien que sa position lui permettait d'entretenir plusieurs relations infidèles, avoir engrossé une esclave mettait cet homme dans une position atrocement délicate. C'est ainsi que cette femme se retrouvait enfermée pour ne pas qu'on la connaisse, pour que personne ne pose ses yeux sur cet être qui n'était pour eux rien de plus qu'un animal au service des plus grands. L'enfant né, il fut retiré à sa mère qui hurlait de tout son soul pour qu'on lui rende le fruit de ses entrailles, pour qu'on la libère pour qu'elle puisse vivre aux côtés de sa descendance de façon paisible. Mais bien sûr, cette jeune femme n'était rien d'autre qu'une moins que rien et personne ne prêta oreille à son désespoir.
Lors des jours suivants, on lui administra oralement du poison et seul quelques gouttes suffirent pour la rendre souffrante et la tuer d'une lenteur inimaginable. Quinze jours sans manger, juste forcée à boire deux verres d'eau par jours dans les cachots où s'alternaient chaleur extrême et fraîcheur à enrhumer une chamelle. Après ces quinze jours, la demoiselle rendit l'âme dans la douleur la plus insupportable, tant elle pleurait qu'on lui donnait des coups pour la faire taire, l'intérieur de son corps la brûlait et sa tête lui tournait tant qu'elle hallucinait et développait une folie qui la poussa à frapper son crâne contre les murs de pierre jusqu'à ce que mort s'en suive. Son enfant, lui, fut nourri au sein d'une nourrice qui put l'allaiter grâce à sa récente grossesse et il fut traité avec la même douceur qu'un vrai noble, cet enfant était cependant destiné à être élevé dans le plus grand des secrets.
Ce garçon fut nommé Zayn. Zayn de traduction voulait dire « beauté », et de son typé légèrement arabe et de ses origines européennes on lui trouva une beauté exceptionnelle.
Alger, 1870.
Voilà que huit années ont passé depuis la naissance du gamin et pas un seul jour depuis qu'il savait marcher l'enfant n'a montré de signes de résistance. On pourra toujours se souvenir du bruit craquant de ses os s'affaissant sous le poids du pieds de son maître ou encore le claquement du chat à neuf queues contre son dos nu et fragilisé par ses précédentes punitions, mais pas une seule réminiscence ne mène aux caprices et aux pleurs de ce dernier. Droit, le regard vide, chaque tâches qu'on lui demandait était effectuée avec le plus grand soin et même s'il avait fait ce qu'on lui avait demandé exactement comme il le fallait, on le punissait pour le simple amusement de celui à qui il appartenait.
A genoux ou penché sur les pieds de son maître pour les lui lécher, il vivait comme son maître le choisissait et ne se plaignait en aucun cas et supportait la douleur comme le bon jouet qu'il était, comme si ce garçon était né pour servir de défouloir. On ne comptera plus le nombre de jours où il avait pu rester enfermé sans manger pour être ensuite frappé jusqu'à ce qu'il perde conscience juste pour le bon divertissement de son sir, et se demander combien de fois ses os avait pu se briser ne serait qu'indénombrable car bien trop de fois ces derniers avaient rompu sous l'importante force de l'homme qui le dominait.
Plus les jours passaient et plus ce qu'on lui demandait devenait dur. Bientôt il fallut lui apprendre à combattre parce que lui aussi un jour défendra les biens du Grand Maître et il fallait que, quand ce jour arrivera, qu'il soit prêt. Alors on le força à combattre. Au crépuscule, on l'empêchait de s'endormir et on l'emmenait dans une cour pour commencer à lui apprendre les bases du combat. Cela pouvait durer des heures et des heures sans jamais s'arrêter, et le lendemain il lui fallait reprendre ses activités de loufiat sans broncher de sa fatigue, mais pourtant il travaillait jusqu'à l'évanouissement où là, on lui accordait quelques heures de repos. Et tout cela continua...
Alger, 1875.
Ce souvenir se déroula le dix-sept janvier, jour de l'anniversaire de son propriétaire. Son maître lui réclama un présent. Mais pas n'importe quel présent. De cette intense soif d'interdictions il ordonna à son petit serviteur de lui offrir sa virginité. L'étonnement eut atteint tout d'abord ses yeux, qui s'ouvrirent de façon médusée, puis ses lèvres qui se mirent à trembler après cette annonce, puis enfin ses joues, qui rougirent tant cette demande lui paraissait bien trop abusive. Deux minutes passèrent alors qu'il fixait son sir presque dénudé dans son lit avant que ce dernier ne commence à s'impatienter, le sommant d'une voix froide de venir le rejoindre et le menaçant de mille tortures s'il refusait. Il s'exécuta alors en tremblant, d'une obéissance qu'il commençait à vouloir déchirer et d'une hésitation qui lui flanqua les larmes aux bords des yeux.
Ces larmes coulèrent au moment où l'humiliation se trouvait être à son comble, la souffrance qui prenait son corps lui semblait tout bonnement atroce, l'envie de mourir triturait son esprit à la façon d'un bourreau. Tout ceci n'était qu'une torture bien plus douloureuse que celles que lui promettait à l'habitude son maître et l'enfant aurait sans doute préféré ces autre punitions. Il sentait en son intérieur aller et venir cet être qui semblait le tirer dans un gouffre pour le faire sombrer avec lui dans la débauche. Le corps perlé de gouttes de sueurs, la respiration anarchique et la salive, le sang, les larmes et cet étrange liquide collant qui coulaient sur les draps, il le sentit se repentir dans un râle rauque qu'il étouffa dans son cou en une profonde morsure. Alors qu'il se retirait, l'enfant attendit un instant pour se laisser choir dans les draps, comme si le creux béant qui formait son cœur depuis des lustres s’agrandissait par cet acte qu'il jugeait sans en connaître le mot de barbare. C'est alors que quelque chose naquit dans son esprit : une lueur de rébellion.
Alger, 1878.
Trois ans ont passé depuis cette fameuse nuit, et pourtant, rien n'a changé. Bien qu'atteignant maintenant les hauteurs des plus grands hommes d'armées, cet homme qui n'avait plus rien d'enfant ne pouvait être considéré qu'à l'égal d'une pute. Les longues nuits qu'il passait maintenant dans le lit royal creusait de plus en plus son âme jusqu'à en atteindre la haine la plus profonde. Il ne restait de de son honneur que des ruines d'après-guerre, et dans son cerveau demeurait la plus atypique des réactions. Zayn se nourrissait de cette haine, il transformait cette haine en narcisse et intérieurement reconstruisait briques par briques l'amour qu'il avait pour sa personne. C'est ainsi qu'il décidait de s'enfuir. C'était encore une soirée, où son propriétaire abusait sans vergogne de son corps, de son âme et où il profitait de ses gémissements qu'il étouffait maintenant. Lorsque ce dernier se repentit, son esclave resta sage et il put se retirer tranquillement pour se laisser tomber dans les draps.
L'adolescent quant à lui, se tourna pour contempler la fenêtre, dans le même état que la première fois, à l'exception près que son corps était cette fois couvert de blessures et que la douleur n'en était que plus forte parce que l'autre ne se retenait plus depuis longtemps, mais il s'était habitué. Cela entretenait sa rage et la rage constituait la meilleure des adrénalines. Et plus les heures passaient sans qu'il puisse fermer l'oeil, plus le jeune homme trouvait raison à écouter ses instincts primaires : Ceux de se battre pour sa délivrance. Bientôt, plus personne ne le retiendra, parce que même l'air ne pourra être aussi libre que lui. C'était son ultime conviction, sa voie, son destin. La nuit était belle ce soir, les étoiles brillaient et la lune était aussi blanche que du lait, formant un sublime croissant dans le bleuté obscur du soleil absent. Son cœur, lui aussi, lui criait de partir.
Alger, 1881.
Je sentais aujourd'hui ce jour arriver. Je ne tenais plus, je ne tenais vraiment plus. Alors que je muais ma souffrance en jouissance face au cuir frappant contre ma peau pour la énième fois de ma vie, je laissais vibrer mes cordes vocales au rythme des coups pour faire plaisir à mon maître. Dans ma tête, je pris le seul plaisir d'énumérer le nombre de claquements qui s'abattaient contre mon dos. C'était un jeudi. Un jeudi où lorsque mon maître cessa son activité, je feinta la docilité en m'inclinant de façon respectueuse devant ses pieds. Je sentis sur ma nuque s'écraser son pied et je résistais pour ne pas qu'elle craque. C'est alors qu'il me compta le sort de ma mère, une pauvre esclave tué dans la longueur qu'il s'était fait une joie de déflorer et de mettre enceinte pour ensuite la torturer jusqu'à ce qu'elle se suicide. J'apprenais alors que celui qui m'avait détruit n'était pas n'importe qui, celui qui avait tout simplement piétiner mon honneur, ruiner mon amour propre et salit mon nom n'était autre que mon paternel.
Au fil de ses paroles, je ne pus m'empêcher de pleurer, les dernières larmes que j'aurais laissé coulé dans ma vie vinrent alors de là, je le pense. Je serrais les dents, le dos contracté alors que j'écoutais les titubations de mon père, de mon maître. L'odeur d'alcool me parvenait au nez depuis qu'il m'avait approché, la liqueur qu'il avait du ingurgiter le rendait alors faible, c'est ce qui motiva mon envie sanglante, ce qui créa en moi un puissant besoin de sang, un sadique besoin de meurtre. C'est lorsqu'il retira son pied que je forçai mon corps à se relever, et c'est sur ce moment que, debout, je concentrai ma force pour venir écraser mon poing contre son nez, qui craqua sous ma puissance. J'ouvris grand les yeux et sentis comme un plaisir fulgurant m'atteindre, alors je recommençai. Une fois, deux, trois, bientôt une rouée de coups s'enchaînèrent alors que j'entendais les grognements de celui que je dominais, se débattant comme un beau diable.
Je n'allais bien sûr pas m'arrêter là. Le désir m'envahissait, la salive me montait à la bouche et je me levais pour attraper les chaînes qui me tenaient normalement, lui nouant autour des poignets pour qu'il arrête de bouger. J'agrippai alors son arme habituelle, cette fois-ci, ce ne sera pas moi qui aurait mal. Je m'enquis alors de venir déchirer ses vêtements et le mis complètement à nu avant de le regarder de haut. Ce qu'il me paraissait soumis, cela me fit rire. Je riais pour la première fois de ma vie, d'un rire franc, éclatant, le regard vainqueur et l'arme en main, cette fois ce sera moi qui ferait souffrir et cette souffrance le mènera à la mort. Glissant ma main sur son torse, je contemplais mon cadeau avec délectation. Mon maître devenait alors mon esclave, et les tortures que je pourrais lui faire endurer pendant les heures suivantes me semblaient exquises, peut-être même aurais-je pu les entendre m'appeler au travers de mes tympans qui me laissaient ouïr des menaces que je trouvais à présent de ma position, tout simplement futiles. Je commençai.
Je touchais alors son sexe après avoir descendu suffisamment ma main, les yeux remplit d'amusement et de victoire. Je le vis gémir, bouger un peu, peut-être même aurais-je pu sentir ses frissons. Pour débuter, je traçais de mon arme des pointillés le long de son torse sans réellement appuyer, juste pour dépigmenter la peau à la manière d'une griffure, continuant à bouger ma main contre son membre qui commençait peut-être sans le vouloir à se dresser sous mon contact. Alors que je marquais davantage les griffures, je pus contempler son sang s'extirper de la blessure que je lui faisais, prenant plaisir à voir ce liquide rougeâtre se dégager du corps de mon esclave. Je le trouvais beau, si beau que je voulais le rendre laid. Je me levais alors pour aller déposer le métal du kriss que je tenais en main dans le brasier encore incandescent pour la faire chauffer...
Je revenais donc jusqu'à mon maître pour me pencher et l'embrasser, doucement, il semblait alors se calmer. Je l'embrassais un instant, venant lui mordiller la langue...Je lui mordillai puis lui mordit d'un seul coup pour tirer, tirer jusqu'à la sentir s'arracher entre mes dents, se déchirer pour laisser le sang couler, céder sans plus de résistance. Et c'est comme ceci que je me délectais de ses cris, me relevant pour aller chercher ma lame. Chauffée à blanc, je la ramenai près de ma proie pour lui glisser dans la bouche. De la fumée grisâtre s'échappa et j'entendis dans sa bouche si ce ne fut pas ses cris, le crépitement des vaisseaux se cautérisant sous la chaleur de la lame.
Pour continuer, je glissais sous chaque dent la même lame pour les déloger des gencives qui elles aussi commençaient à saigner mais s'arrêtait très vite de la même manière que sa langue. Je vidais sa bouche alors de toutes ces armes naturelles qui auraient pourrait me blesser dans de futurs contacts et continuait. Je vins ensuite amuser le métal contre son sexe pour venir le perforer afin d'ensuite le séparer en deux, me délectant alors des hurlements à moitié étouffés de mon sir qui pleurait sa souffrance, mais je me vengeais, et voir ça fit battre mon cœur comme si je devenais addictif à la douleur des autres. Ce petit manège dura à peu près cinq heures et lorsque je décidais que ça devenait suffisant, je l'achevais. Regardant son cou, je lui fis doucement relever la tête. Et, en posant doucement ma lame contre sa gorge, j'exécutai un mouvement vertical, sentant ce liquide rougeâtre sauter sur mon visage...
J'étais vengé.
Paris, 1882.
Ce jeudi là, on pouvait voir un grand homme typé oriental arpenter les rues de la capitale de France, le crépuscule envahissant cette dernière. D'un air morne, vêtu de nippes abîmées, et encapuchonné sous une cape sombre, on pouvait discerner que vaguement un air sérieux et imposant, presque chaque personne qui entrevoyait ses yeux s'écartait de son chemin pour le laisser passer. Cet homme inspirait de la crainte, mais sa grandeur inspirait également du respect et de l'estime. La tête penchée vers le sol pour que personne ne remarque son visage, il se dirigea en bord de Seine alors qu'une douce musique se faisait entendre. Ce genre de musiques, jamais au grand jamais il ne l'avait entendu et son intrigue pour celle-ci le poussa à aller voir. Lorsqu'il arriva, ce dernier remarqua un grand rassemblement de bourgeois et bourgeoises, de nobles et de personnages importants. Il n'en saisit le nom que lorsque quelqu'un passa en en parlant : Le Requiem de Mozart.
Se doutant de son interdiction à s'approcher, il pu entendre la plus douce des musiques, ainsi qu'une voix. Une voix portante, féminine, agréable, qui chantait en latin. L'homme se prit alors à fermer les yeux et à boire ce concert mélodieux pendant près d'une heure alors que les voix changèrent, des chœurs s'ajoutant, se modifiant...De longues minutes passèrent où dans son esprit s'animait de doux songes rêveurs où la souffrance et les cris étaient mêlé à cette symphonie agréable, à ces instruments à cordes, à vents ou à percussions...Il s'imaginait alors une hymne sanglante où les actes les plus barbares s’adouciraient dans la grâce de cette musique, dans l'harmonie de cette caresse auditive...Lorsque les dernières notes retentirent, ce dernier rouvrit les yeux pour écouter les derniers applaudissements retentir. Quelle beauté.
Il finit par s'en aller lorsque les premiers parfums boisés qui annonçaient l'approche de la noblesse parisienne embaumèrent la rue. Attendant caché dans une ruelle non loin de là, il attendit le passage d'une belle æschne. Lorsque son vœu se réalisa, il eu à peine le temps d'apercevoir ses beaux yeux émeraudes et sa chevelure rousse que celui-ci se mit déjà à la suivre sur quelques pas dans le silence le plus complet, le temps qu'elle s'engouffre dans l'obscurité. Ce fut chose faite et d'une façon sournoise, il la tua d'un seul coup. D'un geste presque violent, en la maintenant par la bouche, sa main couvrant à la fois son nez et sa cavité buccale, l'air siffla. Il siffla sous la lame métallique qui vint transpercer la peau, qui vint séparer deux os, les premières vertèbres de la nuque. Le bruit craquant lui rappela son enfance, et lorsqu'il fit levier de la garde pour que la lame les sépare complètement, la victime était déjà morte et le visage pâle de l'homme se tinta d'une pigmentation carmine...Et il savait déjà quel sort était réservé à son cadavre. Après tout, cela faisait déjà six jours qu'il n'avait pas mangé...
Londres, 1886.
Voilà déjà un an qu'il avait quitté Paris, après avoir passé quatre ans dans les bas-fonds français et après avoir épongé le sang de déjà trente-huit victimes, Zayn, ou plutôt Thursday, comme il se faisait appelé maintenant, était devenu londoniens. Sa vie maintenant était rythmé au son de la musique classique et chaque écoute était suivie de tortures, qui traînait sur la longueur ou non, mais qui toujours avait la même finalité : La mort. La plupart de ses victimes furent des jeunes femmes nobles et on entendit parler aux journaux et sur les murs de Paris étaient placardé des annonces visant à déconseiller les jeunes damoiselles qui désireraient sortir non accompagnées de le faire. Les corps, ou plutôt les ossements résultant du repas anthropophage de l'homme étaient à chaque meurtres éparpillés dans les bas-fonds. Maintenant, ce sera les jeunes filles de Londres avec lesquelles il irait s'amuser sous les sonates et les symphonies des grands compositeurs.
Ses premiers temps en Angleterre se résultèrent d'une rencontre bien particulière. Cette rencontre bien particulière se faisait appeler Weasel. Il se faisait appeler comme cela pour ses services. C'était ce que l'on pouvait appeler une fouine. Payé pour revendre des informations, on pouvait toujours le trouver dans les bas-fonds et tout le monde le connaissait. Également drogué et halluciné, il était parfois dur de comprendre ses délires paranoïaques et ses paroles que lui seul comprenait parfois, mais lorsque l'on avait besoin de lui, il était toujours présent. C'est comme ça qu'il se noua d'amitié avec Thursday, à qui il donna le gentil surnom de « Hedgehog » : Le Hérisson, celui qui pique quand on s'approche trop et qui a des relations sexuelles seulement le printemps. Oui, Thursday n'était pas friand de sexe et c'était comme cela que Weasel le lui reprochait, parce qu'en plus d'être allumé, ce dernier était aussi particulièrement pervers.
Londres, 1890.
Quelques temps plus tard, l'ancien esclave rencontra de nouvelles têtes au fur et à mesure qu'il apprenait la langue britannique. Des dealers, des malfrats, des bandits et tout autres synonymes de personnes peu fréquentables, quelques mois passèrent jusqu'à ce qu'il se fasse un nom dans le métier de trafiquant. Bientôt, une bonne partie des bas-fonds additionna le nom de Thursday à leur panel de connaissances et il monta en puissance et après quatre années, son visage fut connu dans tout les bas-fonds de Londres. Aujourd'hui est un beau jour de printemps. Thursday a maintenant vingt-huit ans et décompte maintenant plus d'une centaine de victimes. Maintenant, en bas, on reconnaît le nom de cet homme presque à la première syllabe si on ne parle pas de jour de semaine. Cependant, un dernier but lui restait à atteindre.
Le but de pouvoir indiscutable, le statut de roi, de maître, de dieu. Un jour, de son ancien statut de laquais il deviendra maître du monde et quinconce s'opposera à sa puissance mourra dans d'atroces souffrances, perpétrées au doux son de la musique classique. C'était son souhait le plus grand et dans son esprit, ce rêve deviendra un jour réalité irréfutable. Ce désir de pouvoir développé comme cette ancienne convoitise de liberté brûlait son corps, son cœur et son esprit. Son destin était tracé : au rythme du requiem, il deviendra le plus grand, le plus reconnu mais surtout...
Un jour, il deviendra maître incontesté.
Il devient fou au son de la musique classique mais il adore ça. Il déteste les animaux et les humains. L'anthropophagie, ne le dérange pas. Il ne tue la plupart du temps que les femmes haut placées. Il est allergique à l'anis et à la menthe. Il est chatouilleux des côtes et des pieds. Il te déteste. Toi, oui toi, même s'il ne te connait pas. Il n'aime pas du tout le sucre. Il n'aime pas le sexe et l'alcool. L'héroïne calme ses pulsions. Il ne croit ni aux démons, ni aux anges, ni aux shinigamis.
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Dernière édition par Thursday le Mer 16 Juil - 14:32, édité 17 fois
Antoine Valérient
Noble
Messages : 87 Date d'inscription : 25/02/2012 Age : 26 Localisation : Son manoir
Sujet: Re: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%] Mer 9 Juil - 21:31
Et bah... Re-bienvenue ! o/ Pour la énième fois ! Et bonne chance pour la fin de ta fiche /O0O/
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Sujet: Re: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%] Ven 11 Juil - 14:19
Merci beaucoup jeunes gens ! C'est donc avec grand plaisir que j'ai finie ma fiche ! Rindo, mon amour vieux et ridé (ahah, non je plaisante, ne me tue pas !), je te laisse le plaisir de me corriger si quelque chose ne va pas. Bisous bisouuuuuuuuuus.
J.Thursday
Invité
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Sujet: Re: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%] Ven 11 Juil - 19:58
Hey heya!! Rebienvenue /o/
J'avertis le tout ridé qu'il faut lire ta fiche ^^
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Sujet: Re: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%] Mer 16 Juil - 1:28
Wow. c'était... harsh; j'ai pas d'autres termes.
je constate que tu as fait un personnage des plus intéressants et profond, et j'en suis très satisfait. le fait qu'il ignore totalement le surnaturel pourrait donner des trucs intéressants. mais une chose me dérange cependant: ses victimes.
ce ne sont même pas des bourgeois, ce sont carrément des nobles. laisse-moi te demander juste une chose: sachant que tu te balade avec une lame dans les mains généralement, ou tout du moins que tu sais le manier. Penses-tu vraiment pour être "tranquille" après avoir tuer? de fait, en rapport avec cela, généralement ce genre de crime noble (sans même parler de l'anthropophagie) à Londres, ca implique généralement avoir le toutou de la reine sur le dos et la moitié de Londre qui recherche les meurtriers. Pour Weasel, c'est OK, mais y a un énorme soucis en rapport avec cela: ce qui est dans les bas-fond reste dans les bas-fond. Hors, vu comment tu a fait ta fiche, j'ai l'impression que tu continue te victimes naturellement... c'est un coup a balancer soit le chien de la reine, Ciel, a ta recherche -et généralement ca veut dire fait une nouvelle fiche dsl-, soit si je suis très gentil une durée de vie très très limitée, j'espère que tu en as conscience.
Sur ce, j'attend tes commentaires avec impatience pour résoudre ce... menu problème. A la fois, si ce n'était pas aussi dangereux, les nobles seraient tout le temps assassiné à Londre à l'époque... c'ets vraiment un risque à prendre. Et la reine plaisante pas dessus.
PS: en fait, la prochaine fois que tu me traites de ridé, je t'écartèle avec amour <3
Invité
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Sujet: Re: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%] Mer 16 Juil - 14:29
Eeeeeeeh ! Je le comprends ! En réalité je pense que j'ai surtout - avec la fatigue d'écriture (tout ça à du être écrit pendant la nuit) - confondu grandement et je visais plus par là, la haute classe sociale (donc bourgeoisie et autre). Je change donc les termes pour en mettre de plus généraux, je m'en excuse ! Cependant, je peux me défendre en disant que Thursday - qui est un abruti, on ne s'en cachera pas - considère la noblesse par la façon "bien habillée", "jolie" et "airs grands et fiers" surmonté d'un "bourré de fric" et même si ce n'est pas son propre avis qui est exposé dans la fiche, j'ai plus essayé de me mettre à son niveau de façon à mieux faire entrer le lecteur dans le contexte. Bon, même si donc les termes de noble a été mal choisi (shame on me), je devais avoir la tête ailleurs ^^
Par contre, je pense que la noblesse française a du prendre cher dans sa race (si je puis me permettre) car l'importance du rang dans notre beau pays a été largement écrasé par la disparition de la royauté depuis le siècle dernier, donc il est fort possible qu'il ai réussi à s'en sortir après s'être fait un dîner de la chair haute classée du pays du vin et du pain ! (Surtout s'il s'est carapaté ensuite !)
Qui plus est, ses meurtres ne sont en aucun cas réguliers et surtout il s'arrange pour que ceux-ci soient fait dans des endroits plutôt sombres et si ce n'est pas le cas, des endroits reculés et/ou à la frontière de la ville aux bas-fonds de façon à ne pas avoir à se coltiner un corps dans les bras au milieu de Londres !
Pour ma défense du continue des meurtres, je pense en réalité que Thursday pourrait s'en sortir en modifiant ses techniques de meurtre - qu'ils soient longs ou courts - en se débarrassant également des corps de quelconque façon (en le mangeant par exemple...) pour que très peu voir aucun ne soit retrouvé (qui irait chercher par exemple des ossements enterrés dans un village voisin et se douterait que le meurtrier puisse être le même que celui qui a assassiné Mlle de Férudy et autres richemans de l'époque !) et ainsi faire penser à de simples disparitions qui pourraient que plus tard être supposées liées à un meurtre !
Pour revenir au meurtre des nobles, je pense alors n'ajouter que des nobles (et non des meubles comme j'ai failli l'écrire) français et exclusivement français pour ne pas avoir Mr. Chien-Bleu sur le dos et ne pas troubler la reine ! Aussi, la bourgeoisie pourrait donc être éliminer que peu fréquemment (à raison de la régularité de ses écoutes de sonates et de symphonies. - Bref. De musique classique quoi - qui s'étend sur quelques mois) ou, si plusieurs se regroupe dans le même, qu'il fasse en sorte de masquer son identité avec d'autres meurtriers (Par exemple avec des attributs sexuels arrachés qui feraient sans doute penser que Mr. Jack The Ripper ai subitement décidé de s'attaquer à des riches), bref, brouiller les pistes quoi !
Qui plus est, Thursday ne tue pas QUE des bourgeois (donc) mais aussi certains pauvres, cela dépend de ce qu'il trouve et si la proie est facile !
Vàlà vàlà, donc je change le terme et tu peux me dire si ma défense est bonne, Mr. Schizophrène ! :D
+ Et si l'écartèlement m'était adressé, y a pas que moi qui t'ai traité de de ridé èwé (Mais j'veux bien que tu m'écartèle si c'est avec amour, du coup :D)
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Sujet: Re: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%] Ven 18 Juil - 19:24
ma foi, soit, je peux te valider. cela dit, rend-toi bien compte que, vu que il n'y a aucune raison que tu ai arrêté pour l'instant, tu auras, je le crains, bel et bien Ciel sur le dos. je te rassure, ce ne sera pas pour tout de suite (il recevra un mp quand ce sera le cas), parce que l'air de rien, ca reste non négligeable et a ce niveau hors de la police quand celle-ci arrive pas à vous chopper.
Sur ce, tu es validé :)
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Sujet: Re: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%] Lun 21 Juil - 13:05
Grawr ! Merci grand Rindo :D
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Sujet: Re: Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%]
Thursday - SOMEDAY, I SHOULD BE KING [-18] [100%]
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