Murasaki Kuroichi avait disparu de la ville de Londres durant 3 ans et 6 mois. En soit c’est une période assez longue ou beaucoup d’événement c’était dérouler. En outre, la mort ou plutôt le meurtre de ses parents et la naissance a de sa fille Kisara. La gamine était semi démone. Et souvent Murasaki se disais qu’heureusement qu’elle avait un caractère très dur et froid sinon elle s’en sortirait jamais. SI déjà a 3 ans, elle avait presque du mal a s’en sortir. Quant serait il quant la petite aurait 10, 15 ou 18 ans ? Elle imaginait bien un jour sa fille allant pour sortir et lui dire : «  maman, je sors je vais tuée quelque personne  »

Le soir tombait lentement, Kisa était au lit, une nourrice était venu. Juste faire acte de présence. On ne sais jamais, si elle restait plus longtemps il y avait de forte chance que la femme deviennent barge. Murasaki eu un demi-sourire a cette pensée. C’était assez étrange de voir son évolution. Maintenant, elle était capable de sourire sans vraiment avoir d’arrière pensée. Surtout quant elle imaginait les actions de sa petite fille.

Habillée d’un Kimino vert  mettant en valeur  sa peau d’un blanc de neige, ses longs cheveux blanc cristallin attachés en chinions serrer a l’aide de deux baguette et dans son dos se trouver ses deux sabre, son âme, l’extension d’elle-même qui fait coulé son sang. Elle poussa un soupire tandis qu’elle passée les portes de son manoir alors que la nuit était enfin tombé et Murasaki respira un grand coup l’air  du soir qui entra dans ses poumons. La nuit était sombre et de nombreuses étoiles éclairaient le ciel, tout comme la lune, pleine et brillante éclairant avec fascination le petit jardin zen de l’avant jusqu'à la sortie. Car bien sur, Murasaki n’avait point voulu imposer d’éclairage dans sa demeure à l’extérieur.  Elle commença à marcher, chaque muscle de son corps roulant avec fascination à chacun de ses pas. Elle était féline, elle était tueuse. Elle était Murasaki Kuroichi.

Elle arriva dans les rues de Londres les parcourant, croisant avec étrangeté des gens qu’elle aurait pu il y a quelque temps tuée pour différente raison. Pourtant a ce jour, leur âmes ne l’atteignait pas. Toute trace de rancune et de haine n’avait point disparut de son être, elle était juste d’une certaine manière plus calme et plus sereine, elle n’avait plus a tuée chaque personne qu’elle croisait dans la rues. Elle ne voulait plus que la mort de personne la méritant.

Elle laissa ses pas la guidait marchant au grés de son envie, son kimono volant autour de ses jambes révélant parfois un morceau de sa peau blanche douce et qui semblait si fine. Puis elle le vit. Un homme au long cheveux noir, a l’allure déranger, a l’allure indescriptible. Et elle su au plus profond d’elle qu’il était tant pour elle de le suivre. Elle ferma les yeux humant l’air. Sa sentait l’homme, sa sentait l’odeur de sanitaire mal entretenu, sa sentait le sang. IL sentait le sang. Silencieusement, elle se mit a le suivre parcourant les lieux et là, elle vu un bar, miteux et elle le suis, de l’entrée elle l’écouta, et ferma les yeux.

Et puis il commanda un verre, puis il se mit à parler seule. Comme c’était étrange. Elle vint a s’asseoir a côté de lui et commanda a son tour un verre un verre d’alcool fort, elle ne dit rien alors qu’elle c’était installée a ses côté mais ses yeux rouge se plongèrent dans les siens et un sourire ironique vint s’installée sur ses lèvres de la couleur d’une rose pur.