Kuroshitsuji Dynasty RPG
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 [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]

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MessageSujet: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMer 6 Juil - 9:11

Alois avait passé une mâtiné horrible, tellement dévasté par l’ennui que j’avais demandé, une fois le repas du midi clos, d’aller s’aérer l’esprit dehors en allant au parc.
Sous ses ordres, Claude l’avait suivit, afin d’être là si par malheur quelque chose arriverait, ce que l'adolescent blond redoutait fort. N’ayant pas vraiment l’habitude de sortir dans Londres, il alla s’installer sur un banc, attendant avec envie un insecte imprudent sur lequel il pourrait se déchaîner. Bien qu’en position provocatrice car tout était à son honneur, il regarda les passants.
Quelques couples par là, quelques enfants par là…
Il devait admettre que quand il sortait, c’était principalement pour du repérage de ses futurs proies qui allaient devenir ses joujoux. A vrai dire, il n’avait pas l’occasion de le faire souvent. Et il était prêt à parier que parmi la foule traînait bien plus de démons des enfers qu'il le croyait.

Sans doute, avec un peu d’espérance, il tombera sur Sébastian.
Il ne cacherait pas que mon plaisir serait immense, mais il le serait encore plus quand il aura mit la main d’une quelconque façon sur Cielchounet d’amour.
Le découper en rondelles, l’abuser, l’enchaîner et lui donner aucunement à manger, l’humilier… ? Il avait beau être déterminé sur mon envie de se l’acquérir pour lui, il était très indécis dans ce qu'il allait en faire. Certes, il s’arrangerait pour que Sébastian croule sous les larmes et les suppliques, mais il voyait aussi mon intérêt personnel quand il aura Ciel.
Il regarda d’un coin d’œil Claude, qui apparemment, même en lisant mes pensées, n’avaient aucun commentaire à tirer. Alois soupira.
Il était passé d’un manoir toujours bruyant à un manoir vide.
Claude ne se daignait pas à lui parler, juste à lui obéir, les triplés, mieux fallait qu’ils ne parlent pas. Quant à Hannah… il aurait beau me déchaîner sur elle, à part « Oui, Maître » il n’en tirerait rien. Mais vu que cette demoiselle était son jouet, en même temps, de ce qu’elle pensait, il s’en contrefoutait. Bien que comparé à Claude, il pouvait voir une certaine attache à son égard. Claude, c’était comme ci comme ça.

Nouveau soupir. Ce n’était pas dans son ambition de resonger à ma vie lassante quand il repensait à ses buts envers Ciel qui d’un, lui faisait clairement tuer mon ennui rien que d’y penser, et de deux, allait changer radicalement l’ambiance du manoir en y mettant de l’action.
Sans se cacher, un de ses jours, il faudrait qu'il rentre dans le lieu où Ciel vivait afin de l’espionner, mais il faudrait que j’aille ses domestiques en complices.
Cela était-il possible ? Il n’en savait rien.
Se présenter devant son manoir et essayer d’être accepté, c’était assez peine perdue.
Vu sa réputation,il s’en prendrait plein la tête. Même s'il devrait tenter.
Dans le doute, il lui suffirait juste d’inventer une fausse histoire de crimes qu'il aurait préalablement préparés pour l’attirer dans ses griffes.
Seulement, une erreur, et son plan tombait à l’eau.

Il sortit de ses pensées, attendant véritablement l’attention de quelqu’un à part de deux gros yeux écarquillés et de quelques murmures à peine audible sur sa raison de sa présence en ce lieu. Il sentait que ça allait vite lui plomber les nerfs d’être ainsi seul.
Son regard se durcit en continuant de voir quels passants arriver, commençant à voir qui serait ses nouvelles cibles.


Dernière édition par Alois Trancy le Mer 6 Juil - 19:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMer 6 Juil - 10:20

C'était une belle journée qui commencer dans un endroit toute aussi magnifique, les feuilles des arbres, bruissaient légérement et les oiseaux chanter, percher dans les arbres ne laissant presque que sa comme bruit extérieur, mais bien sur il fallait aussi compter sur le bruit des passants piétinant l'herbe et des couples marchant main dans la main , se laissant des yeux doux en souriant, mais ce n'est qu'un détail, revenons a notre jeune fille . Assise contre un arbre, elle avait fermer les yeux, laissant un rayon de l'astre solaire éclairer sa peau pâle, ses cheveux rose au vent, voler et danser avec celui-ci partant pour une douce danse grâcile. Lentement elle ouvrit ses magnifique et grand yeux bleu océan sur le monde extérieur, regardant les gens passait ou s'asseoir, même si très peu s'assieyer .

Elle ne dis rien, assise au sol dans l'herbe fraiche et douce carresant avec delicatesse sa peau, le ciel étauit pure, aussi pure que l'eau limpide, il n'y avait aucun nuage a l'horizon et le soleil taper, mettant en valeur sa beauté pâle et ses cheveux bizarrement, quel était douce cette petite fille au passé tortueux . Ses pensées se perdait dans vieux passé disparut, elle était là, et pas là, assise les yeux dans le vague, brillant de mille éclat elle laissa enfin afficher sur ses lèvres rose et fine un petit sourire qui ne laisser afficher qu'une infinie tristesse et dans ses yeux, une inifini douceur se réveler tortueuse. Souvent, elle se demandait, pourquoi mais jamais elle n'avait voulu changer son passé, ce qui était fait et fait .

Se levant lentement elle se mit sur ses jambes et s'époussta, enlevant les reste d'herbe humide coller a ma mini-jupe rouge et punks et posant une main sur son ventre vide et plat elle se mit a marcher en chantonnant une petit air, inscouant au gens, au homme qui la regarder avec envie, après tout elle avait l'habitude, de toute façon, avez-vous déjà vu, une petite femme d'un mètre cinquante, faisant trente cinq kilos se promenez dans un parc avec une mini-jupe et un haut de maillot de bain, blanc ? Bien sur, elle n'avait pas que cela d'étrange, quand on l'observer o pouvait déjà voir que dans son dos ce tenait fièrement un sabre au manche assortie a sa main, qui n'était qu'à elle au manche blanc et doux dans un fourreau de la même couleur .

- London Bridge is failling down, failling down, failling down, London Bridge is failling down, my faire Lady ~

Continuant sa marche elle passa a côter d'un banc ou un jeune homme blond, a l'allure distinguer accompagnée d'un majordome se tenait, s'arrêtant un instant elle les regarda en souriant puis s'inclina, humblement, après tout ce n'était qu'une domestique en fuite et se pris de partie a repartir, ses yeux bleu, toujours aussi doux, toujours aussi triste et son sourire toujours aussi polie

HRPG:: J'espère que ce poste vous ira ^^
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMer 6 Juil - 17:21

La jeune fille qui l’avait salué l’attira du regard, rien que par sa beauté objective bien que cela le laissait complètement indifférent. Mais vu que c’était la seule demoiselle qui avait prêté gré de sa présence, son regard dur s’était changé dans un petit sursaut de surprise, ne s’attendant pas vraiment à ça. Il la regarda de la tête aux pieds tandis qu’elle s’apprêtait à partir : des cheveux roses qui convenaient parfaitement à son visage, des bleus yeux assez pétillants comme similaire au mien, une mini jupe et un maillot de bain comme haut.
Elle avait l’air tellement sensible, tellement vulnérable, même si les armes dans son dos lui indiquaient qu’elle n’était pas aussi douce qu’elle en donnait l’apparence.
Serait-elle une noble elle aussi ?
Le plus étrange était le fait qu’elle lui avait sourit, presque mécaniquement.
Chose qui ne lui arrivait presque jamais.
Il avait bien remarqué que ses yeux étaient remplis de détresse, mais il ne comptait pas vraiment savoir le pourquoi du comment.

Calmement, il lui harpa doucement le bras, la retournant très délicatement vers lui pour qu’elle voit ses yeux. Il ordonna à Claude de ne pas bouger.
Il avait oublié mon léger regard sadique et pervers quand il s’était empressé de la dévorer des yeux, ayant un large sourire presque heureux, et des yeux tout doux marqué par la solitude.
Vu qu’elle s’étonnerait de son geste, il prit les choses en main, disant tout doucement dans le vocabulaire « noble » qu'il exécutait à contrecœur :

- Bonjour. Ravie de faire votre connaissance, gente demoiselle. Je vois que vous êtes seule, et que vous semblez vous ennuyer pleinement dans ce parc. Serait-il possible de tuer cet ennui ensemble ?

Cet effort de vocabulaire lui était horriblement ennuyant. Ce n’était pas dans ses ambitions premières d’être polie avec le sexe féminin, dans aucune façon.
Il faisait juste cet effort de temps à autre pour tuer le temps quand franchement, il n’avait que ça à se mettre sous la dent.
De toute façon, il craignait d’office de se prendre des remontrances s'il prononçait son nom, et il se devait d’avoir des apparences dans le cercle de la société plus au moins dans les normes, bien qu'il les dépassait largement.
Il ne perdit pas mon temps, demandant peu après ma première question :

- Puis-je savoir votre nom ?

Sans doute, était-il trop trop entreprenant. Après tout, on n’a rien sans rien.
Il espérait grandement qu’elle lui le dirait.
Quant à lui, il allait graver l’apparence de cette demoiselle dans sa tête en tant que proie prochaine qui irait faire un tour dans l’antre de son manoir. Il lui devait bien ça.
Et puis, faire ça ici devant tout le monde lui serait trop risqué.
A en bien regarder, il était en position de faiblesse, et il ne voulait pas montrer sa vraie nature maintenant. Un peu de gentillesse ne faisait pas trop de mal, même s'il était le pire misogyne au monde qui adorait tirer dans la rue à chaque fois qu'il croisait une femme « bonjour putain ».

HRPG : très bien ^^
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMer 6 Juil - 20:08

Sans vraiment prévenir elle se fit arrêter et tirer par le bras alors qu'elle c'était remise a marche tranquillement, Niji aimait bien être seule, disons que sa lui changer d'avant, oui c'est ça, ça lui changeais de tout les jours qu'elle avait passé avec son maître de toute les fois . Et aujourd'hui loin de lui elle était tranquille, l'esprit en dérive elle pouvait être triste si elle le voulait elle pouvait être joyeuse si elle le voulait, qu'en avait a faire les gens? Tous indifférent du bonheur où du malheurs des gens, c'était comme ça, c'était ainsi. Alors la petite rose faisait comme eux, elle rester seule dans son coin, elle restait avec ses pensées et ses envie, profiter de la chaleur du soleil sur sa peau pâle et froide, profitant au chant des oiseaux a ses oreilles, profitant de l'indifférence des gens pour chanter sa tristesse, profitant de l'odeur des roses du parc, profitant des couleurs du ciel .

Elle regardait le jeune homme au yeux bleu parlait, c'était si facile de lire dans un regard quand on ne connaisait que le mensonge, les yeux des gens n'est-ce pas sont différent, ils parlent pour un corps, ils parlent pour le corps et l'esprit en l'occurance il menter et il s'en ficher, c'était ... méchant, mais bon, chaque passé forge les personnalité, qu'avait-il vecut pour être si mal ? Quelque chose d'horrible, sa se voyait, oui toute au fond de son regard .

Tout de même par politesse elle lui sourit, non pas qu'elle voulait être seule, la solitude st un poison de toute façon mais elle avait peur, peur de quoi ? Peur de lui, peur d'être manipulé, de toute façon, c'était une bonne sabreuse, elle savait se défendre au pire. Mais ... son regard se dirigea vers l'homme derrière, un homme a la haute stature droit et fière en queue de pie, oui c'est ça, un majordome alors il était noble ? A nouveau elle regarda le blond, plus grand qu'elle de quelque centimètre .

- Niji Obuto monsieur, humble domestique au chômage, et il semble que la solitude soit plus appreciable que les nobles menteur .

Niji était gentille, Niji était bizarre, Niji n'était pas naïve, et très perversse, elle était douce gentille mais elle ne se laissait pas forcement marché sur les pied surtout maintenant qu'elle était loin de cette âme qui lui avait fait la misère si longtemps .

HorsRP: J'espère que RP avec moi vous conviens ^^
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMer 6 Juil - 21:22

Alois s’étonna de sa réponse, découvrant qu’elle pouvait lire dans son esprit, du moins dans son regard.
Il eut une expression très étonnée, baissant la tête voyant qu’il avait été découvert.
Il releva par la suite son visage, concluant tout calmement :

- Ravi de vous connaître, Niji Obuto. Je suis désolé pour vous que vous soyez une domestique au chômage. Navré d’être un noble menteur, je devine par votre conclusion que vous avez vécue votre vie dans le mensonge suffisamment longtemps pour le lire dans le regard des autres. Si je puis me permettre une objection, être avec un noble menteur est mieux que d’être seule perdu dans ses péchés et ses douleurs.

Il ne mentait pas. De toute façon, en fonction de chaque situation, Alois savait s’adapter afin de s’entretenir avec les autres quand il faisait l’effort de politesse au départ.
Dans le fond, il n’était pas méchant. Afin de pouvoir conserver seule avec la demoiselle sans se faire trop espionner par Claude dont le regard le gênait, il fit :

- Claude, retourne au manoir d’une quelconque façon et reviens me chercher dans trois heures. Ne t’avise surtout pas d’être en retard.

Sa voix était brute, froide, mais son impassible majordome ne tira aucun commentaire à part un « yes, your higtness » avant de s’éclipser, faisant légèrement trembler le Comte qui ne se sentait pas vraiment bien sans son majordome à ses côtés.

Alois se retourna vers Niji, qu’il ne pu regarder à nouveau.
Sans doute elle avait vécue le même calvaire d’Hannah et désormais, cela en était le résultat.
Notant son manque de politesse qui était toujours réfléchit, il s’excusa :

- Je vous prie de m’excuser de mon impolitesse. Je crains malheureusement que ce que la présentation de ma personne va vous faire fuir, et je comprendrais naturellement que vous ne désirez point de moi, ni de près ni de loin. Je m’appelle Alois Trancy, confirmant d’être un noble. Celui que j’ai congédié est mon majordome Claude. Il ne se peut que vous ayez entendu parler de cette famille lorsque vous étiez avec votre maître, ainsi que les rumeurs qui circulaient quand je suis devenu noble alors que l’ancien Comte était encore en vie.

L’adolescent blond avait usé de son intelligence pour tourner la situation à son avantage, décrochant un petit sourire triste s’attendant à une forte réaction de sa part.
Il tremblait toujours un peu mais essayait avec mal de cacher le fait qu’il ne supportait pas la solitude, l’éloignement avec son majordome qui était tout ce qui le retenait.
S’étant fait repérer dans ses mensonges, les continuer n’allaient pas lui procurer le bénéfique qu’il désirait, mais malgré cela, il ne voulait pas non plus ressasser à son passé.
L’étrangeté de la jeune fille l’intriguait.
A un point qu'il avait rangé un peu son côté misogyne, bien que son envie restait.
Pauvre humain qu’il était, il allait de surprises en surprises dans le terme bizarroïde.
Sans doute était-ce la chance qui s’offrait à lui d’avoir un devenir différent de celui dont il était enchaîné, ou à l’inverse, était-ce la malchance qui le condamnerait.
Aux yeux du jeune Comte, il serait incompris à jamais. Juste oublié une fois mort, rien de plus. Son existence n’avait pas grande importance, sa famille dont il avait été hérité le nom était maudite. Il était dévêtu de tout avenir prometteur, dévêtu de tout bonheur réel n’ayant que connu la pauvreté et des malheurs successifs.
Son comportement extérieur en avait gardé des traces, mais personne ne saurait jamais ce qu’il y aurait à l’intérieur.
« Si seulement le monde pouvait faire plus attention aux malheurs des autres…» Pensa t’il tristement, ne pouvant se le permettre de le dire à voix haute.



HorsRP: très bien 8D
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMer 6 Juil - 22:28

Elle le regardait fixement ses petite lèvre pincée d'une manière enfantine sans rien dire, simplement perdu dans des pensées profonde. Il ne semblait pas calme au fur et a mesure de ses paroles ne se rendant pas compte de ce qu'il disait, il parlait en prenant soin de choisir ses mots comme un noble, il ne se laissait pads aller comme les rayons du soleil qui touche la peau ou comme le vent qui fait bruissait les feuilles, il parler pas non plus en se lâchant comme en hiver les flocon qui tombe du ciel, il parlait comme un noble et Niji les nobles elle les aimait pas trop, sa lui rappelais trop de souvenir, sa lui rappelait les coup, sa lui rappelait des choses qui font mal, mais sa ce n'est rien d'autre que les fantômes du passé et ce jeune homme tandis qu'il congedia son majordome elle le vit trembler legerement . Mais pourquoi diable caché ses faiblesses ? Et pourquoi pensé ça quand elle même le faisait-elle ? Poussant un soupir, elle pris partie de s'asseoir sur le banc en pierre froide et lisse comme sa peau mais a la couleur grise, ni blanc ni noir, juste gris . Bien en face du bosquet de rose blanche et rouge .

Alois Trancy n'est-ce pas ? Jamais entendu parler, en même temps, elle n'avait entendu parler de rien, elle était souvent enfermé dans le manoir et c'est là que vous vous demandez comment elle en est sortie ? Je vous le direz pas, demandez lui, peut être le dira t'elle ou pas. Poussant un soupir a nouveau et pour ne pas le vexer elle ne répondis rien, resta silencieuse contentant ces yeux de se perdre dans le vide, dans le vague comptenplant simplement les roses humant leur odeur. A nouveau elle leva les yeux vers lui, le voyant tremboltant, pour quelqu'un qui n'avait pas l'habitude cela aurait était ... cela serais passé inaperçut, mais pour d'autre tel qu'elle on pouvait tout voir, tout sentir, de la tristesse dans un regard a un spasme, elle vivait dans la rue, nombre de gens pleurer, nombre de gens s'envoyait en l'air, loin de leur parent, nombre de gens mourrait .

Se relevant elle alla vers lui et le fit s'asseoir delicatement se posant a ses côter et puis, sa petite voix grâcile et douce, cette fois calme et poser tel les pétale de rose frolant la peau elle dit .

- Ne paniquez pas ainsi dans le monde extérieur, les gens sont étrange mais indifférent, au malheurs ou au bonheur, il ferme les yeux sur ce qui passe, celle les fou tue et les malheureus ... viole
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMer 6 Juil - 22:57

Alois remarqua dans une voix assez légère en détournant du regard, ne voulant pas non plus revenir dans son douloureux passé :

- Le monde extérieur ne me fait pas aussi peur, bien que ça soit mensonger. Je n’ai pas envie d’en parler. Si vous saviez le quart de mon passé, vous saurez pourquoi je suis autant mal à l’aise seul. Je consens bien que les gens sont étranges, et de ce que j’en ai vu, égoïste, orgueilleux, dévêtus de solidarité, méprisant, insensible. On m’a assez traité comme un chien pour me le faire comprendre…

Alois porta sa main sur sa bouche, avant de se foutre une bonne raclée, emportée dans ses émotions de désespoir, se prononçant à lui-même :

- Imbécile !

Il la regarda par la suite. Cette fille qui était installée à ses côtés, avec un air enfantin, une voix toute douce, semblant à moitié perdue dans ses pensées, tout à fait mystérieuse.
Il avait noté qu’elle n’appréciait pas trop ses allures nobles, vu qu’il se devait de choisir ses mots pour faire la bonne figure alors qu’il ne rêvait de dévoiler son véritable vocabulaire.
De plus, elle n’avait pas réagit à son nom, ce qui voulait tout dire.
Elle avait soupiré, et n’avait osé rien dire pour ne pas le vexer. Personnellement, il n’en aurait pas voulu et il lisait bien que son regard vide signifiait un certain ennui.
Cette fille devant lui aurait été démunie du monde extérieur ?
Cacherait-elle aussi ses faiblesses comme il le faisait ?

- Je présume que tu n’es pas habituée à voir l’extérieur sur un angle assez joyeux. Vu que tu ne connais pas ma réputation, cela veut dire qu’on a supprimé ta liberté pendant longtemps.

Alois avait envoyé balader ses habitues nobles, et on voyait bien que ça lui était très naturel de parler ainsi malgré son rang, voulant lui dire qu’elle n’avait pas affaire avec un noble « brut » comme il adorait les appeler.
Il eut un petit soupir, ne s’attendant pas vraiment à grand-chose de sa part, essayant de calmer ses tremblements qui commençaient à l’énerver.
Ses yeux étaient devenus triste bien qu’il essayait de se contrôler, ne voulant pas montrer au plein jour sa dépendance à son majordome. Il montrait aussi par ses yeux qu’il s’était bien dévoilé sur son passé, mais qu’il ne voulait pas s’y étendre parce qu’on l’avait bien rabaissé et souillé sans aucun remord.
Lui laissant le temps de répondre, il dévoila par la suite :

- Je ne sais pas si tu vas prendre cela bien, mais j’aimerais t’engager comme domestique. Je te rassure, je ne te jetterais pas à la rue, et tu ne seras pas condamnée à être enfermée dans mon immense manoir. Tu ne sembles avoir plus de chez toi, et je te dois bien ça…de plus, cela te permettra de voir le monde extérieur sous un angle différent de celui de la pauvreté. L’ambiance au manoir n’est pas très gaie, mais tu ne recevras rien, rien en terme de punition.
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMar 26 Juil - 1:13

Haussant un sourcils elle regarda éberluer le jeune homme, c'est pas possible de deviner comme ça, de demander quelque chose comme ça . Rapprochant son visage du siens elle regarda ses grands se bleu . Le pire, c'est qu'il ne mentait pas, il devait surement l'apprecier si il lui demander ainisi a moin qu'il ne ce foutait de sa tête . Pesant le pour est le contre elle réfléchit .

Pour: Elle ne serait plus dehors toute seule, elle ne passerait pas son temps a dormir dans des feuilles morte et elle serait a l'abris de la pluie, elle ne verrait pas a nouveau ce démon, elle ne verrait plus tout ses gens souffrir, elle serait avec quelqu'un de ... "gentil" ou du moins comme elle, parce qu'elle était sur qu'il avait souffert lui aussi. Et puis si elle acceptait elle pourrait a nouveau faire ce qui lui plaît, soit la cuisine et la mécanique, et puis elle ne serait pas frapper . Au pire, si cela allait mal, elle pourrait toujours se défendre, elle a un sabre des dague et un revolver .

Contre ; Peut-on faire confiance a quelqu'un qu'on ne connait pas ?

Poussant un soupir elle posa son coude contre son genoux et mit la tête dans sa main, les doigts déplier cachant une partie de son visage et un de ses yeux, bleu, qui perdu dans le néant, en un point imaginaire pesait le pour et le contre . Certes du côté pour il y avait beaucoup, beaucoup d'argument convaincant, mais du côté contre il y en avait un, et un seule qui pouvait parfaitement la dissuader de ne pas y aller et puis, son majordome avait la même aura que ce '' sebastian '' qu'elle avait rencontré, il était toute aussi étrange.

Lui montré, la partie joyeuse des choses, c'était une grande chose, une grande question, un grand défis, parce que en soit, Niji elle même était une personne joyeuse, mais pour ce qui était de ses pensé ~~ Poussant un soupir elle finti par passé la main qui metenait sa tête dans ses cheveux, enlevant une feuille morte et écouta son ventre grognait, cela voulait tout dire .

- Si vous êtes sur de vous, j'accepte
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMar 26 Juil - 18:53

Alois sourit grandement en voyant sa réponse positive.
Son expression s’illumina dans une grande joie, ce qui fit scintiller ses yeux bleus qui pouvaient mentir et dire la vérité aussi facilement que de tourner la page d’un ouvrage.

- J’en suis heureux.

Son ton était très enjoué, véritablement sincère. Bien que pour le concerné, cela concluait qu’il allait devoir forcer sur son comportement misogyne, de se retenir d’insulter et de maltraiter cette pauvre Niji qui n’avait pas eut autant de chances que lui. Pari risqué s’il essayait avec de faibles probabilités de réussites. Alois en gagnait plus à être le « gentil maître », même si cela ne faisait aucunement partit de ses habitudes. Il lui restait Hannah, c’était déjà ça. Hannah resterait son bouc émissaire, et il avait aussi Claude sur lequel il pouvait se déchaîner sans avoir de grands revers.
Ne pouvant pas se voiler la face, Alois lui révéla :

- Je suis misogyne, mais je ferais un effort pour toi. Vu que c’est la première fois depuis longtemps que je rencontre quelqu’un ayant vécu une existence similaire à la mienne…

Luka…toujours et encore Luka…le premier être cher d’Alois, l’être qui l’avait fait avancer dans sa petite enfance, l’ange qui le rendait heureux dans la pauvreté où il était.
L’expression d’Alois s’assombrit, devint plus triste en se rappelant de tous ses bons souvenirs où ils gambadaient, jouaient ensemble. Rejetés, détestés, mais heureux. Des instants où on dirait qu’ils seraient liés pour toujours, où l’éternité serait leur refuge. Une éternité brisée, le lien découpé quand il avait retrouvé Luka sans vie. Ces instants de bonheur s’étaient anéantit d’un coup, et cela avait été une descente en enfer progressive.
Alois décrocha un petit sourire triste. Il l’avait oublié, il était déjà mort. Depuis bien longtemps…
Mais ce n’était plus le problème, ça ne serait plus jamais un problème…
Il retrouva son expression normale, pour les apparences, pour les illusions, pour Luka…
Il devait continuer de vivre.
Alois regarda Niji, cette fille tellement étrange qu’il avait accepté de rester à se côtés.
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMar 1 Nov - 18:43

- Je n'ai pas besoin d'être devin pour lire une sincérité a ses mots mais une grande peine.

Elle sourit et lui tapota l'épaule. Qui elle était ? Une domestique a présent. Une domestique, encore, pour un jeune garçon au passé, triste, mais c'était ainsi, c'était sa place, sa place a elle a nul personne d'autre . Mais pourquoi ça faisait si mal, comme une une piqûre de rose. Sans savoir pourquoi elle se mit a pleurer, comme le ciel qui s'assombrit, comme la pluie qui commençait a lentement tombé. Les gens se mettait a courir, a rentré, le temps, avait changé si vite, si vite que personne l'avait remarqué et lentement, les larmes salé se mélangèrent a l'eau de la pluie tombant sur son visage. Les gouttelette d'eau froide tombé une a une sur son corps rendant son haut blanc, son haut de maillot de bain blanc transparent laissant apparaître ses courbes. Puis sa mini jupe, moulant ses cuisses et ses formes généreuse, mais ni trop grosse ni trop maigre. Mouillant ses cheveux rose, collant les mèches sur son visage.

- Les gens passe et vous regarde avec mépris ou vous ignore. Il ne connaisse ni la misère ni la souffrance, seul ceux qui souffre comprennent ceux qui souffre.

Ces yeux bleu eux, avait perdu leur éclat brillant qui faisait d'elle une personne souffrante ou joyeuse elle était là, les yeux vide, les yeux mort. Avait elle toujours le droit de vivre. A quoi bon ? Sans but, sans ami, sans amour. Elle avait un cœur d'artichaut aussi, elle aimait les hommes et les hommes l'aimaient, alors. Qui était-elle ?

Un corps Luxuriant .

Sans but, sans vie, les souffrances ne servent pas, ils faut en apprendre des choses. Et si on en apprend rien, alors, il faut mourir.

Combien de fois y avait-elle pensait non ? Tout les jours depuis sa vente, depuis, si longtemps, mais pourtant elle était là, assise sur son banc, a côté de son nouveau maître.

- Vous allez attrapez froid jeune maître rentré vite.

A son cou pendait son pendentif, un cadeau, seul cadeau de son père une chaîne, en argent fine, avec en son bout, un simple pendentif, d'une araignée. Elle n'avait jamais aimé ce cadeau, pourtant en ce jour il prenait tout son sens. Mettant les mains autour de sa nuque elle le défis lentement, avec une passion, une grâce et une sympathie étrange. Qui était elle alors ? Lentement, sans geste brusque elle se pencha vers lui, vers Alois Trancy et lui passa autour du cou avec un sourire.

- Vous êtes tel une araignée au yeux clair, les yeux d'une lune pleine qui se reflète dans l'eau et des cheveux a l'or doux. Vous êtes plus piquant qu'une araignées mais vous êtes bien ainsi. Je vous l'offre, il vous ira a ravir.
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeMer 2 Nov - 12:19


- Je n'ai pas besoin d'être devin pour lire une sincérité à ses mots mais une grande peine.

La franchise, la spontanéité, les deux traits de comportements qui ressortaient de cette jeune fille. Une franchise qui été lié au fait à sa liberté de parole qui se faisait sans réflexion, comme un vent qui ne cessait d’avancer. Une force qui la rendait vulnérable.
Son regard devient hésitant, ignorant s’il devait demeurer impassible, être joyeux ou se montrer froid. Quand elle lui sourit et lui tapa l’épaule, un large sourire de joie se façonna sur son visage. Bien qu’il sentit sans vraiment savoir pourquoi, le fait qu’elle était devenue à son service lui faisait mal, il le perçut dans une fraction de seconde uniquement dans son regard perdu. En fin de compte, aussi étrange que cela puisse paraître, il s’était prit en compassion pour une jeune fille similaire à ses malheurs. Aucunement par pitié.

A quoi la pitié lui servirait t’il ?
Les personnes qui en ressentaient envers lui le dénigraient, et aimeraient lui donner le coup de grâce afin de « l’aider ». Non, c’était d’être faible de faire preuve de pitié, mais être compatissant était différent. Mais cela signifiait qu’il ne s’en moquait pas autant que ça de cette jeune fille ? Peut-être. Dans un certain sens, il se considérait comme étant trop maudit pour être sauvé, emprisonné tel qu’il était, il ne pouvait que s’anéantir.
Alors que les autres, eux, avaient toujours une porte de sortie quelque part, une porte qu’il arriverait à trouver pour eux avec ses yeux de faucon qui percevait les choses comme s’il lisait l’avenir. Un don qui lui avait sauvé la vie, mais un don qui le condamnait à souffrir.
Un châtiment qu’il avait accepté.

Il augmenta davantage son sourire en repensant à la phrase de Niji.
De la sincérité, il en faisait usage avec le cœur et la stratégie, même quand ses mots n’étaient plus calculés au millimètre près dans les habitudes nobles. Sa tête mettait toujours des freins sur tel mot ou non, approuvait telle phrase qui pourrait lui permettre de dire tel autre, et ainsi de suite. Son cœur était une véritable bombe à sentiments, prête à exploser qui pouvait engendrer deux conséquences opposés : soit il se mettrait à déballer tout ce qu’il pense d’une chose en s’y étalant avec tous ses avis contradictoires, soit il en deviendrait muet.
De plus, il n’était pas éternellement franc. Parfois, dans un jeu illusoire, il venait mine d’aller bien afin de le dire en parole, alors qu’à l’intérieur, il avait mal.
De la peine…il n’était que composé de cela. C’était tout ce qu’il lui restait.
Il eut un fin sourire triste qui partit aussitôt quand les tapotements de la main de Niji se sentirent sur son épaule.

Désormais, il avait une promesse à tenir : garder cette jeune fille comme domestique, et éviter de la traiter comme Hannah. Il ne pouvait pas se permettre de l’enfreindre sans aucun prétexte sinon elle ne lui ferait plus confiance. Il lui avait promit de lui montrer le monde, un univers différent de celui des ténèbres, un pari fou que c’était donné l’adolescent qui lui-même n’avait jamais vraiment vu le monde de la lumière.
Son évasion se stoppa en sentant des goulettes de pluie sur son visage, prenant alors conscience que Niji pleurait, ironiquement, en harmonie parfaite avec le temps qui se dégradait. Les personnes autour de lui s’en allaient, sans se soucier des deux adolescents assit sur ce banc, Alois indifférent à la pluie qui mouillait ses habits, trempait ses habits à elle faisant percevoir petit à petit ses sous-vêtements. Un léger œil coquin posa le regard, après tout, elle était une fille qui avait parlé à un psychopathe bien adorateur des enfants, de préférence masculin, mais le gémissement féminin était une musique mélodieuse à son oreille, comme un ehru.

- Les gens passe et vous regarde avec mépris ou vous ignore. Il ne connaisse ni la misère ni la souffrance, seul ceux qui souffre comprennent ceux qui souffre.

Tragédie de l’existence, la première phrase, il en avait bien conscience.
Pourtant, il avait cessé d’en souffrir, seulement dans un silence quand la solitude s’emparait de lui et glaçait les moindres particules de son esprit qui le tenait encore debout.
Ces personnes là étaient idiotes, aveugles, enfermés dans un égoïsme qui leur mènerait à leur perte, tel était la contre-attaque farouche et prétentieuse de l’adolescent blond qui n’hésitait aucunement à narguer ceux qui se croyaient puissants à leur jeter cela à la figure.
Alois s’en amusait, tellement que les réactions des personnes qui s’alarmaient commençaient à se sentir dépassé par ce « gamin », les trahissant, lui donnant davantage raison.
Concernant l’ignorance, il s’y était habitué. A un point tel que se détacher des autres, surtout ceux qui lui avaient causés des misères, devenaient naturels. Restant impassible à leur tentative de le blesser de nouveau, impassible aux pics qui lui jetait, impassible à tout.
Temps qu’il pouvait égoïstement en tirer quelque chose, ce que la personne pouvait représenter n’avait aucune valeur, excepté d’être son jouet qui avait intérêt à être dans ses cordes si elle ne voulait pas finir dans sa collection de cendre.
Il avait l’habitude que personne vienne lui parler, que personne ne s’intéresse à lui, que personne ne désirait l’inviter au restaurant.
Malgré son égocentrisme, Alois n’avait qu’une idée négative de lui-même, il s’y était résigné.
Tout en apprenant vivre sa vie seul, en façonnant des traces par ci par là afin de marquer sa marque même avec la mort tentant de les sauvegarder au mieux dans un moyen durable.
Sachant pertinemment qui se ferait solidaire, attentionné dès qu’une main lui serait tendue.
Continuant à demi-voix ces appels aux secours….

Sur la deuxième phrase, sur ce point, Alois était un Dieu.
Même s’il ne croyait point à toutes ses idioties, il avait tellement souffert qu’aucun cas ne lui paraissait impossible à comprendre. Il pouvait même juger par rapport à lui le point de douleur que ça a causé, faire le point sur les multiples conséquences et les soins qu’il faut afin de retrouver une vie « normale et joyeuse, dans l’insouciance ».
Il était de toute façon le cas pire de tout l’univers, car il n’était qu’un mort-vivant sur place.
Il en riait intérieurement quand on lui disait qu’il vivait. Ce n’était que de la foutaise.
Qu’une attache aux apparences que ça en devait amusant.
Elle n’avait guère tord, il en était une nouvelle fois la preuve vivante.
Ceux qui vivaient une vie vraiment paisible sans soucis ne pouvaient pas les comprendre.
Mais s’il croyait que l’insouciance allait durer éperdument, ils étaient aveugles de leur futur.
Des malheurs arrivaient toujours, chacun doit avoir un dosage pour s’endurcir.
Certains sont épargnés temporairement pour très longtemps, d’autres recevaient tout à l’instant de leur vie et devait se battre afin d’avoir leur insouciance.
Point élogieux, mais un fait irréfutable.

La pluie continuait de tomber sans répit, Alois levant mécaniquement quelques minutes plus tard se coupant à nouveau dans ses songes intérieur, les yeux au ciel.
Sombre, froid, comme son cœur à l’intérieur. Il tira la langue pour avaler une goulette, dans une indifférence totale, l’expression et le regard n’exprimant rien en particulier.

- Vous allez attrapez froid jeune maître rentrez vite.

Il n’eut aucune réaction à cette phrase, zappant en même temps qui l’avait prononcé.
Claude, Niji ? Pas d’importance.
Il remit sa tête dans sa position initiale en sentant des doigts lui passer un pendentif autour de cou, qu’il regarda, toujours expressif : une chaîne en argent fine, avec au bout, une forme d’araignée en pendentif, plutôt très bien détaillé d’après ce qu’il inspecta.
Tout en ordonnant un geste de main à Claude pour leur mettre un parapluie sur leur tête, pas véritablement pour lui mais pour Niji qui était complètement trempée, faisant percevoir tous ses habits, afin de ne pas se laisser tenter, il l’écouta :

- Vous êtes telle une araignée aux yeux clairs, les yeux d'une lune pleine qui se reflète dans l'eau et des cheveux à l'or doux. Vous êtes plus piquant qu'une araignée mais vous êtes bien ainsi. Je vous l'offre, il vous ira à ravir.

L’adolescent regarda le pendentif à nouveau, ayant un fin rire amusé, les mots s’emportant en même temps dans ce rire :

- Je suis très flatté. C’est bien la première fois qu’une fille me complimente ! L’araignée est piquante mais elle sait ne pas sortir son venin ni sa toile d’araignée !

Tout en exclamant sa dernière phrase, il lui tira gaiement les joues tout en l’imposant indirectement à le regarder dans les yeux.
Une araignée…non, il n’était pas une araignée, il n’était pas un Trancy.
Il détestait sa famille, il la haïssait parce que cela lui avait fermé toutes les portes.
Il ne comprenait pas comment certains étaient fiers d’avoir les Trancy comme alliés alors que c’était la dernière famille que tout le monde aimerait voir disparaître, vu que les papotages dans la boue ne les suffisaient pas. Du point de vue éthique sociétal, les nobles n’avaient pas tord, mais du point de vue éthique sociable et humanisme, c’était une honte.
Car il était une exception : un Trancy non pas le sang mais par les conditions.
On ne lui avait donné aucune faveur.
L’araignée, c’était le symbole de cette famille maudite. Pas à titre personnel.
Surtout qu’ironiquement, le démon auquel il avait pactisé était lié à cet animal.
Froid, sombre comme le ciel qui tombait, sans attache, attiré que par ses proies qu’il empoissait, l’image de Claude qui essayait de transformer, d’en faire un papillon et non une araignée. Lui qui était déjà ce papillon blessé accroché à cette toile, voulant rendre son prédateur qui guettait comme lui afin de se sortir de là.
Il était ce papillon dont il avait déchiré une aile, et qui était mort plus tard dans sa cage, avant de finir brûler tout en brûlant une bonne partie de son terrain…oui, il faisait que sa mort fasse une conséquence similaire. Qu’il soit regretté éternellement.
Qu’il soit la pierre précieuse la plus rare, la plus imprenable, la plus admirée et respectée du monde.

Tout en continuant de lui tirer les joues, il déclara d’une voix joyeuse, ayant perdu sa face impassible pour retrouver son côté joyeux :

- Oui, rentrons. Je te ferais un bon thé chaud en rentrant. Concernant ta phrase de tantôt sur les gens, je suis bien d’accord, bien que c’est tragique. Mais que sais-je, sans doute, cela changera un jour.

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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeSam 11 Fév - 17:51

Il paraît que le temps guéris les blessures les plus profonde, qu'il aide avec la vie, qu'il nous fait avancer, il paraît aussi qu'avec le temps, le monde avance dans un incroyable ressentiment d'évolution, que tout le monde, garde la tête haute, qu'on grandis, qu'on mûrit, il paraît que le temps est la solution a toute chose. Mais le temps, sur elle n'avait aucun effet. Depuis ses douze ans elle n'avait pas du prendre un centimètre, restant a son misérable petit un mètre cinquante cinq. Ses cheveux avait poussé, gardant cette étrange couleur rose qui l'as rendait tellement diffèrent des autres, elle était ce que personne ne comprendrait jamais. Une de ses personne incompréhensible et distante, qui gardait le sourire pour vivre . Parce que voilà après tout, on ne lui laissa pas le choix.

Lentement elle leva les yeux, ses yeux bleu océan, bleu ciel qui la rendait si profonde, ces yeux qui brillait d'un éclat surnaturel et surtout, triste. Elle incarnait le néant, la tristesse et la vengeance. Peut être pas autant que Murasaki Kuroichi qu'elle avait un jour croisait dans une ruelle sombre. C'était un jour comme celui-la un jour simple, un jour de pluie. Elle n'avait rien pour ce couvrir et les jours de pluie elle, elle pleurait, elle pleurait sur sa vie, elle pleurait sur tout les gens qu'elle avait aidé, et qui eux, ne l'avait jamais aidé et sa la rendait malade . Elle était assise là, sur le sol, mouillant ses pauvre vêtement, essayant de se raisonné sur le sens de sa vie. A quoi bon vivre si c'est pour tout simplement vouloir mourir ? Cette question ce jour là, avait était posé a elle même, a voix haute comme une question rhétorique. Personne ne voudrait jamais d'elle et c'est pour ça, peut être que quand elle lever les yeux vers cette femme au long cheveux blanc, alors qu'elle était aussi trempé qu'elle, alors qu'elle lui avait mis son sabre sous la gorge, qu'elle n'avait rien dit . Niji, la petite fille au cheveux rose ne comptait pas se défendre. Mais, le regard remplie de haine, de vengeance, de rage et d'envie de vivre la remit sur pied. Qui était elle, elle cette gamine qui avait fuis pour vivre pour ce sentir aussi triste, tant de personne devait avoir mal. Peut être, devait elle continuait a sourire. Ainsi, depuis cette rencontre, elle souriait et les jours de pluie, restait dans un coin, tranquille sans rien dire, regardant simplement les gouttes d'eau tombait, tandis qu'elle se voyait mouillé.

Ses vêtements, lui collait a la peau, son haut de maillot de bain blanc, dévoilée ses formes, sans répit, avec instance, traçant le contour de ses boutons de chair, sa mini jupe la moulait, remontant sur ses cuisses, laissant ses longue jambes a la peau pâle ressortir, ses bottes remontait jusqu'à ses genoux, avec un gros talon compensé. Elle était là, seul, susceptible de se faire attaqué, toujours son sabre dans le dos. Elle restait là, assise, ses yeux bleu refusant depuis longtemps de versé des larmes et elle leva les yeux vers le jeune homme au cheveux blond, il semblait tellement fragile, sur le points de ce brisé, le collier faisait ressortir sa peau pâle, ses vêtements lui collait, tout comme elle, mais il était de loin le plus couvert, tout ses mots, la toucha, atteignant un point de son cœur qu'elle avait couvert de glace . Elle avait peur. Peur de vivre, peur de disparaître, peur de mourir. Elle avait peur de la peur elle même et, elle ne savait pas ce qu'elle devait faire. Lui, il l'avait vu, il avait parlé, l'avait consolé et maintenant il avait pris avec elle en tant que domestique, il était un ange au ailes noir, qui l'aiderait la protégerait alors que elle, depuis longtemps, avait coupé ses ailes et c'était caché derrière des sourires .

_ Un thé ? Souffle t-elle plus pour elle même que pour lui .

Un thé . Elle n'avait jamais bu de thé, ca lui était interdit, elle n'était qu'une domestique et bien que son thé soit le meilleur thé de tout Londres -sans ce vanté- et bien, elle n'en buvait pas, le thé était une boissons noble, le thé montré la marque sociale, elle n'en avait pas le droit, elle devait, malgré le faite qu'elle avait envie de ce jeter dans ses bras, malgré les sentiments qui la saisissait, elle devait ce contenir, elle était a présent, a juste titre, une domestique de la famille Trancy . Et elle avait envie de pleurer, parce que lui, il la considérait plus comme une amie, et cela faisait combien de temps, 10 minute 1 heure qu'il parlait ? Le temps était une chose insaisissable, incompréhensible comme les sentiments qui anime un être humain, quelque chose d’indéfinissable et qui met les hommes, les gens, les femmes dans un état d'embarras profond, un trouble et qui vous plonge dans des pensées profonde, pourquoi le monde était il ainsi fait ? Personne ne le sera jamais. C'est ainsi .

Détachant ses yeux du blondinet elle leva les yeux vers le ciel une dernière fois, doucement, elle observait le soleil se couchait. Le paysage était magnifique, doux et triste, les nuages gris, alors que l'Astre solaire commençais sa course se tintèrent d'une couleur rose orangé, le tout était calme, les gens était partie, avait quitté ce lieux ou il pleuvait, ou tout ne pouvait être que désespoir. Les arbres bougèrent avec le vent et un derniers rayon de lumière éclaira son pauvre petit visage pâle et sale. Depuis le temps ou elle avait quitté son maître elle avait maigris. Atteignant les Quarante cinq kilos. Lentement elle se leva et vint a tituber, elle avait froid, elle avait faim, elle avait un vertige

Son sang ne fit qu'un tour et son souffle se figea elle ferme les yeux, de toute façon sa vue se troublait et ses cheveux collait sur son front et son dos laissa apparaître celui-ci et bien sur, bien qu'Izume son sabre blanc était posé dans son dos, il laissa paraître une longue cicatrice partant de son épaules droite a sa hanche gauche disparaissant au devant de son corps, sous sa mini-jupe mais si on observait, on voyait un morceau sur sa cuisse.

Elle soupira durement alors qu'elle sentait son corps tombait vers l'avant puis, alors qu'elle finissait sa chute elle se cogna le front contre le rebord en béton du banc ou elle était assise avant . Sombrant dans la triste inconscience, elle se remémora sa vie. Sa triste vie, avant aujourd'hui.
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeVen 17 Fév - 22:31


Quelle étrange sensation est-ce, n’est-ce pas, de donner la liberté à quelqu’un ?
Un sentiment traversant l’organisme, qui donne des ailes, remplissant d’une joie intense un cœur anéantit par les ténèbres de l’esclavage, de l’exploitation brute.
Cet esclavage qui dénaturait l’homme, en faisant outil d’autres, sans un soupçon de sentiment, l’homme exploité ne devant qu’un vase pour l’exploiteur, facile à briser, plus difficile à réparer, facile à jeter. Ce vase qui était fissuré sur un sol froid, répartit en divers morceaux, il y avait une colle qui était capable de lier les bouts, aussi péniblement soit il : l’amour. L’amour pour l’être qui était esclave, pour l’être enchaîné, pour ce vase de milles couleurs qui avait perdu son éclat. C’était un amour inespéré, la reconnaissance même de l’être humain pour ce qu’il était dans son intégralité, pour son cœur, pour son comportement.

Il lui avait donné ce sentiment, ces ailes qui rendait merveilleux tout ce qui pouvait être crasseux, une main, un sourire, une joie, un regard vers le monde intérieur dans le cœur d’autrui tout simplement. La fin pour elle de la douleur des meurtres, d’être qu’un corps profitable, d’être un corps souillé par les coups et par des pulsions malsaines.
Une main donnée par le diable lui-même, avec un sourire généreux, avait décidé de sauver une âme à la dérive comme était la sienne… par compassion.
Touché pat la détresse de cette jeune fille, touché par son intérêt qu’elle avait pour lui.

Niji leva les yeux, ses yeux bleus qui dansaient comme l’océan, comme l’adolescent à côté de lui, un bleu clair qui semblait pur, cristallin, angélique, ayant une lueur d’étrangeté à cet instant ainsi qu’un profond chagrin. Une réminiscence l’emporta dans son royaume, Alois le su dans son regard vacillant, la brume de l’esprit aimait la nostalgie.

La pluie continuait de tomber, l’air se gelait petit à petit, leurs habits en supportaient les conséquences, faisant percevoir leurs formes respectivement, Alois donnant l’impression d’y être habitué, comme si tout ceci n’était qu’un rêve éveillé, que cette pluie monotone avec une signification de désespoir, représentant toutes ses larmes qu’il ne pourrait jamais exprimer. Un regard se tournant vers lui, son sauveur, un conquérant sauvant une colonie, qui permettait à une jeune fille de se reconstruire, bien que lui, toujours aussi fragile, resterait ce vase brisé. Il n’existait pas de colle pour le guérir, cette colle s’était envolée, retirée de son être, la remplaçant par un substitut. Alois était conscient de ceci, cependant, en passait outre.

_ Un thé ? Souffle t-elle plus pour elle même que pour lui.

En tant que domestique, ce plaisir lui était prohibé, mais chaque personne auquel s’était prit de passion l’adolescent avait droit à une contingence de sa part.
Plus aucune classe sociale.
Aucune discrimination. Il redevenait un grand frère protecteur, l’amant adolescent aux grandes ailes blanches s’illuminant doucement par l’éclat des rayons de soleil qui les entouraient. Peu de temps lui avait suffit, cela ne l’étonnait point : l’habitude.

Elle détacha son fixement du sien, les tournant vers le ciel, un regard comme dernier remerciement, un regard comme acceptation de ce nouveau maître libérateur.
Alois joignit ce fixement, pouvant apercevoir les nuages gris, tout aussi gros que les poignards qui enserraient son cœur. Un paysage délabrant, sinistre.
Le soleil disparaissait au loin, le long du crépuscule, déclarant la fin de la journée.
L’heure pour Alois de rentrer, des tremblements commençant à apparaître, la nuit, sa phobie, ses ténèbres à lui, sa peur la plus profonde.
Il regarda autour de lui, quittant cette fin de soleil.
Seuls, tout le monde était partit. Seuls, tout était devenu silencieux.
Uniquement la pluie.

Niji se leva, doucement, délicatement. Il l’observa.
Sa fée, sa fée magnifique qu’il protégerait.
L’adolescente tituba, prise par le froid et apparemment la faim, lui provoquant un vertige, Alois prit d’un sursaut se relevant brusquement…Mais c’était trop tard, elle avait fermée les yeux, et son corps s’écroula contre le rebord du béton, Alois pouvant apercevoir sa blessure qui s’étendait sur son dos, allant de son épaule jusqu’à la cuisse, qui fit lâcher un sourire triste à l’adolescent.
Alois la prit affectueusement dans ses bras, caressant le visage de sa nouvelle petite sœur, se mettant dans le rayon du soleil qui illuminait son visage.
Désormais dans la solitude, Alois était certain qu’une chose : elle pouvait oublier son ancienne vie à partir de maintenant. Effacé à jamais, oublié pour toujours.
Elle, elle le pouvait. Lui de son côté exaucerait leur promesse.

-Rentrons, ma fée, murmura sensuellement l’adolescent tout en portant davantage Niji contre lui, avant de partir dans un pas silencieux, la recouvrant précédemment de sa veste, se mettant en quête d’un cochet ayant la gratitude de le ramener chez lui en échange d’une compensation financière à la hauteur de ce service.
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeSam 14 Avr - 22:53

Il y a des choses a laquelle on ne peux pas répondre, ou l'on ne peux pas pensé, ni même regarder en face, la gentillesse humaine ou tout simplement la beauté. C'était quelque chose que le dictionnaire n'avait pas de définition et peut importe le nombre de fois qu'on le pensait la réponse ce verrait surement différente en fonction a qui et comment on ce la pose. C'est comme une pauvre dépressive, attendant la mort toute en savourant chaque minute de son existence. Pouvions-nous la poser la question qui brulent les lèvres ? Non. Ah moins de vouloir faire dépérir la personne dans l'heure. Niji était un de ses être là. Seul égarer quelque part dans des ténèbres trop profond pour être atteint. Comme un profond, très profond puis ou elle était recroqueviller sur elle même, son menton fin posé délicatement sur ses genoux replié sur sa poitrine. Puis ses bras autours d'elle serrant son petit corps pour esperer un peu de chaleur. Si elle levait la tête elle pouvait voir, le soleil en haut. Il était tellement haut, haut, l'espoir. C'était, comme la boite de pandore. Elle avait voulu ouvrir, pour voir ce qu'elle pourrait y gagné, et, tout les maux de la terre était sortie, ainsi, quand elle avait refermé la boite pour moins de catastrophe, elle avait perdu l'espoir, ou plutôt, son maître lui avait repris, son anciens maître plutôt.

Chaque cicatrice avait une histoire. La petite sur son épaule gauche, c'était son premiers coup, sa peau était aussi fragile que celle d'un bébé, elle avait cassé la tasse a thé de son maître, sans faire attention. Étant maladroite de nature elle n'avait pas fait exprès, elle avait essayer de faire bien pourtant. Celle sous sa cuisse gauche, c'était une blessure qu'elle c'était faite, oh, bien sur, Terrance Obuto – Le noms de son maître – l'avait un peu aidé tout de même. Cette fois, c'est son assiette qui était tombé, toute en reversant la nourriture sur lui. Il l'avait fait exprès aussi. Il lui avait fait un croche pied. A cause de ça. Une fois l'assiette au sol, cassé. Il la soulevait par les cheveux lui crachant au visage, avait de la poussé violemment au sol. Elle était tombé sur les morceaux de verre s'ouvrant la cuisse. Oh bien sur, elle avait pas hurlé, elle n'avait pas le droit mais elle était partie en boitillement, mettant une mains sur sa blessure dégoulinade de sang. Puis la dernière celle qui avait la plus grande importante celle qui parcourait son dos. C'était parce que … Elle ne voulait pas y pensait, mais les souvenirs l'envahissait ne lui demandait pas son avis, les souvenirs venait en vrac. Elle se souvint. Elle était amoureuse, d'un homme. L'homme qui lui donnait des cours. Il était gentil, beau, attentionné, il lui donnait ce qu'on lui avait jamais donné, de l'amour, et finalement, elle c'était donné a lui. En remerciement. Pour connaître un plus grand sentiment de paix. Et lui aussi lui avait dit. Lui avait dit qu'il l'aimait et qu'il la protégerait de tout. Oui. Elle y avait crus. Jusqu'à ce qu'un jour, son maître débarque et lui tire une balle dans sa tête et commence a la battre avec cette étrange arme. Sur le coup, elle était certaine, il voulait la tuée, la blesser, détruire son être. Quand il a vu que les coups ne suffisait plus. Il lui a arraché ses vêtements, les déchirants, les réduisant en lambo, et la pris, la viola, enfonça sa ( pardon mon langage va être crus ) Sa bite profondément, d'abord dans sa bouche, puis sa chatte et son cul. Maltraité, réduit a un jouet qu'on exhibe.

Elle secoua la tête perdu dans les ténèbres et une voix la fit vibrait lentement. '' Petite fée '' dit d'une manière tellement douce et innocente. Elle avait envie d'y croire et rien que pour ça elle se mit a serrer la veste délicate et d'une couleur mauve posé sur elle. Lentement, dans les bras de son maître, de son petit et jeune maître elle se blottie un peu plus. Était-elle vraiment une fée, modèle de douceur & de pureté ? Lui qui lui avait tendu une mains dans ses ténèbres, la tirant sur la réalité du monde. Elle avait les yeux fermé encore, fermé sur l'horreur du monde, le soleil aveuglant ses yeux d'une belle couleur océan triste et profond. Qui pouvait la comprendre mieux que lui ? Il semblait, tellement diffèrent de tout ses gens. Comme elle et diffèrent en même temps. Il pouvait … Non, pouvait-il vraiment prendre toute sa peine a elle, sur lui. Sur son corps si frêle si petit si fragile. Il était tellement beau. Si elle, elle était une fée, alors lui, il était un ange au aile noir. Un ange déchus qui cherchait justice lui même, pour son propre bien. Cette pensée lui étira un triste sourire

Elle fut délicatement posé dans un fiacre et elle s'assit a ses côtés, gardant sa tête posé sur son épaules, sa mèche de cheveux rose, cachant ses yeux fermé, alors qu'elle partait dans des délires tardif sur un monde qui serait bientôt aussi le siens. Alors elle tourna la tête vers l'extèrieur, ces yeux ouvert. Le monde defilait dans une vitesse lente, lui laissant le temps de tout voir. Elle se le devait, pour son sauveur. Oui. Voilà.

- Merci .

Il n'y avait aucun mot qui pouvait dire plus que ce qu'elle venait de murmuré a son tour dans son oreille de façon tendre et sensuelle comme lui avant. Non, elle ne mettait pas a son compte son charme naturelle, juste que, voilà elle n'avait pas pu empecher les mots de sortir ainsi de ca bouche. Alors, elle se mordit les lèvres, d'une certaine façon pour arrêter les larmes qui emplissait ses yeux et qui menacer de couler le long de ses joues pâle ou d'ancien sillont se promenait déjà, tout comme son corps tremblotant contre celui du blond qui lui même était humide de l'eau de pluie froide qui leurs étaient tombé dessus avec un acharnement certain, comme un echos a leurs sentiments. Comme un sabre. Car, un sabre, lui aussi fait échos au sentiments de son propriètaire. Comme le siens. Comme Izume. Il était d'un blanc pure pasifiscte elle ne s'en servait que rarement. Oui, son maître d'arme lui avait dit '' Un homme ne devient fort, que si il a quelque chose a protègeait. Bats-toi qu'en derniers recours ''

Un nouveau sourire s'étira sur ses lèvres pâlotte alors que son regard se posa sur le visage androgyne d'Alois il était beau. Terriblement beau. Elle était charmé par ce visage et ses yeux triste. Un océan déchainer. Un ciel ombrageau. Rien ne pourrait le décrire. Maintenant, elle en était certaine, elle avait trouvait quelque chose a protégeait, elle pourrait, oui, elle pourrait être quelqu'un de puissant. Allant au bout de ses convictions pour les choses a laquelle elle crois.

Elle baissa le regard sur ses mains et elle se rendit compte, qu'inconsciemment elle avait porté la mains au manche de son sabre, comme pour se rassuré, comme chaque soir quand elle s'installe dans un parc, comme pour se rassuré d'une chose. Que ce soir serait diffèrent. Elle serait seul. Pas de contrôle de papier. Pas de vieux plouc bourré, pas de SDF pour l'arrêter. Elle soupira de soulagement.

Sortie de son puis, elle ouvrit les yeux et tendis la mains devant elle. Dans la réalité, elle eu simplement un sourire éclatant et pris la mains enfantine, comme la sienne de son jeune maître Alois.

- Dit Alois, sais-tu ce qui rend un homme bon & fort ?

Elle tourna les yeux vers lui et sourit.

- C'est d'avoir quelqu'un a protéger.
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MessageSujet: Re: [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]   [Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy] Icon_minitimeDim 30 Sep - 13:43

[Voici la réponse où tu as dû attendre bien longtemps. Nouveau style d'écriture beaucoup plus court, mais davantage détaillé :D ]


Les secousses du carrosse sonnaient comme un voyage familier qu’il refaisait inlassablement à la quête du sentiment qui lui ferait perdre ce sentiment armer de l’ennui…c’était couramment ce que je pensait l’adolescent à aller de temps à autre, par pulsion, dans ce parc, où il regardait dames et messieurs passer avec critique. Cette délicatesse malsaine lui avait rapporté ce jour là, ce moment là, cette décision là, cet effort là, beaucoup plus de lumière.
Il s’était éprit d’une jeune fille dans une même condition que lui, voir pire…il l’avait écouté, il avait fait cet effort de ne plus se voiler dans sa face égoïste, et en bon nature désespéré, il l’avait aidé. Pouvait-il renaître comme il l’avait toujours espéré de son côté ? Non.

Cette idée l’avait poursuivit dans cette rencontre inattendue. Mais y passer outre était la meilleure option. L’adolescent devait se rendre à l’évidence que certaines choses à penser lui étaient interdites, sous peine de s’enterrer dans un élan de désespoir encore plus grand. Cette gentillesse qui transmettait l’avait antérieurement brisée ; les sentiments purs lui faisaient peur car attirait son plus grand vice : vivre à travers les autres et pour les autres. Vicieuse situation l’enfermant dans un cercle sans fin, néanmoins, qui l’obligeait à ne plus regarder avec envie l’enfance qu’il n’avait jamais eut, le monstre qu’il était devenu. Le casse-tête de sa personnalité était un remue-ménage sans fond, où la profondeur du gouffre deviendrait infranchissable pour chaque main des races qu’il pourrait côtoyer. C’était une conséquence de son malheur qu’il devait assumer.

- Merci

Un remerciement qui valait toutes les éloges du monde, qui aurait atténué tout regret qu’il aurait pu ressentir. Il y avait un moment où il fallait avancer, où il fallait se donner la possibilité de s’arrêter de souffrir…il avait horriblement besoin d’aide pour y arriver, par la force, par quelque chose qui l’obligerait à le faire…Peut-être que la vérité suffirait à elle seule ? La vérité que son instinct lui indiquait quelles étaient les très mauvaises personnes dont ces vieux amants en faisaient partit, désormais reléguées officiellement en termes de non-existence. Qu’il était véritablement chanceux dans son malheur, qu’il était parvenu à être quelqu’un de vraiment unique ? S’il vivait pour les autres, cela signifiait qu’en retour, leur sourire serait une victoire pour lui, par delà toute aspiration égoïste.

La sentant trembler sous l’émotion de ses mots, instinctivement, il la décoiffa tout tendrement en signe d’affection. Un sourire se façonna sur le visage de sa petite fée qui virolait sous le poids du sentiment d’avoir trouvé une main qui ne briserait pas davantage ses ailes. Un échange de regard, les yeux couleur topaze bleue dans une rétine lapis lazulli de l’adolescent s’illuminant gaiement.
Alois nota sans y faire attention qu’en baisant son regard elle avait porté sa main à son arme, mais dont ceci ne l’alarma pas davantage au premier instant, sentant par la suite la main de sa petite fée serrer la sienne. Son esprit vagabondant dans l’autocritique intérieur prit fin.

- Dit Alois, sais-tu ce qui rend un homme bon & fort ?

Un instant de silence, un sourire tout en se tournant vers son visage pour répondre à la question dont l’émettrice avait elle-même posée :

- C'est d'avoir quelqu'un à protéger.

Un fin sourire alla se griffer sur le visage de l’adolescent, qui nuança gentiment dans une voix mélodieuse :

- Tout ne se résume pas à ce terme. « Protéger » ? N’est-ce pas légèrement trop minimalisme ? En amour, les pires horreurs peuvent être excusées par ce terme. Non, ce qui rend un homme fort et bon, c’est sa volonté propre. Nul ne peut la dénier, nul ne peut aller contre celle-ci sans se porter sentence soi-même. La volonté, c’est ce qui fait franchir les obstacles, c’est ce qui nous force à nous remettre en question. Sans volonté, personne n’est capable de rien faire, ce n’est même pas une question de fainéantise, c’est du laisser aller pur et simple ~ C’est le vouloir qui rend possible le pouvoir, l’adolescent se mit à rire joyeusement en pointillant de nouveau sa phrase, ça reste mon point de vue personnel. Je consens qu’avoir quelque chose à protéger aide, mais si tu venais à la perdre, les regrets en seraient plus désastreux, et toute la tristesse que tu avais pu t’affranchir reviendra en masse pour te consumer, te détruisant tous tes espoirs. Dans ce mot « protéger » se dessine le mot « remord ». Dans la « volonté », l’ « impossible à surmonter » y est inscrit.

L’adolescent tourna son regard vers la petite fée qu’il appréciait, lui caressant tout doucement la joue, dans un large sourire enfantin, serrant la main de cette jeune fille dans un symbolisme de signature de leur pacte respectif.
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Pendant un moment, la jeune fille ne dit rien, cherchant dans sa tête, chacun des arguments qu'il présentait. Il était certes vrai, chacun, tous même, véridique. Mais, un homme avec un bonne volonté ne se bat pas, si on lui donne quelque chose, qu'on le menace avec cette même chose alors, il se défend, ça vie, ne peux forcement se résumer a ça. Mais elle y croyait, elle y croyait parce que si un jour on menaçait son être aimait, alors elle le défendrais, plus que si on la menaçais elle.

Pouvait-elle dire qu'elle l'aimait alors que quoi, elle le connaissait si peu. Il lui caressa les cheveux, gentiment, tendrement et elle ferma les yeux, elle se sentait tellement a l'aise c’était vraiment si ismple de faire confiance et d'aimer ? Elle aurait voulu, pendant un instant que toute ca vie fut ainsi que ses parent la garde pres d'elle qu'elle ne fut jamais revendu, qu'elle soit aimer chéris, quelle eu put etre elle. Et a cette pensée, elle pleura, chacune de ses larmes de son corps, chacune de sa vie, chacune était un souvenir qui avait laissé une marque au fer rouge sur elle. Elle avait aquerris tout ce qu'elle avait toujours voulu et aujourd'hui plus que jamais elle savait que demain serait un jour sans pluie un jour ou l'arc-en-ciel brillerait dans un ciel sans nuage, parce que la pluie aurait finit de tomber.

Aujourd'hui, elle savait qu'elle était heureuse, et c'était aussi un peu pour ca qu'elle pleurait, parce que plus que jamais elle était bien. Bien dans les bras d'un homme d'un garçon aussi vieux qu'elle quel pouvait appeler Ami, mais que aussi, elle appellerait maître.

Elle ferma les yeux, la tête posait sur son épaule. Bien. Et elle laissa toute les larmes tombait, chacune. Sans se lasser, elle en avait besoin, et elle se laissa berçait par la cacophonie de la rue et le doux bercement qui agitais la voiture.

Elle s'endormit. Peut etre que la vie serait plus simple maintenant.

Spoiler:
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[Parc] Tous les moyens de tuer l'ennui sont à prendre [PV: Niji Obuto & Alois Trancy]

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