Lucy commençait à bien connaitre les humains, mais il lui restait encore beaucoup de choses à découvrir. C'était le printemps, le soleil brillait mais il faisait encore un peu froid. Les arbres de la forêt s'étaient couverts de fleurs et le retours des beaux jours se faisait ressentir. Lucy n'aimait pas cette saison car tout semblait revenir à la vie, cela lui apparaissait comme quelque chose de trop facile, trop beau. Et en même temps elle aimait  cette saison car elle venait supprimer la désolation que l'on pouvait parfois ressentir en regardant les arbres en hiver, lorsque seule la neige les recouvraient. Comme bien souvent, la petite démone ressentait des sentiments très contradictoires... peut être même trop contradictoires.
C'est donc emmitoufflé dans un manteau de fourrure noire que la jeune duchesse se promenait dans cette forêt. Plus occupé à laisser ses pensées vagabonder comme des chiens que l'on aurait lâché librement pour une promenade, qu'à s'intéresser à ce qui l'entourait. Ses pas la guidaient au hasard à travers la forêt "rose" à cause de ses fleurs. Elle avait laissé son vieux manoir en ruine derrière elle... Elle ne savait pas quand elle y retournerait, mais au fond cela lui imporatait peu... Qui s'inquièterait de son absence pendant une heure ou deux ? Personne... c'etait du moins ce qu'elle pensait.
Elle était donc perdu dans ses rêveries quand des bruits de pas, peut discrets lui parvinrent. Elle se croyait seule dans cette forêt, mais ce n'était plus le cas. Elle s'interrompi dans ses réflexion et commença à scruter les environs... Elle ne pouvait pas encore discerner ceux qui étaient près d'elle amis d'ici quelques instant elle pourrai les voir. Elle s'immobilisa donc en attendant de voir arriver ce qui avait provoqué ces bruits.

Le ciel de nouveau clair après avoir rafraîchis le sol, la nature reprenais sa belle couleur émeraude. Les rayons de soleils pointant a travers les nuages ravissent le cœur des hommes dans un soupir d’extase. Les oiseaux tout droit sortis de leurs nids chantaient de doux son tout en virevoltant au dessus de arbres. c’est ainsi que la belle saison qu’était l’hiver s’achevait. La fraîcheur du vent soulevant ses cheveux , la douceur de la neige coulant sur sa peau fragile étaient des sensations qui ne seraient désormais plus de son quotidien pourtant si agréable. Peu ravie de ce soudain changement pourtant prévisible, Zalys courrait au travers des chemins, des bosquets, des broussailles et des branchages. ses cheveux dans le vent frais du matin, elle se demandais ce que cette journée allait lui réserver ; elle l’espérais cependant sans surprise. L’Ange traversa une clairière d’un vert si éclatant qu’elle dut plisser les yeux afin de voir ce qui se passait, puis tomba sur un chemin rosé quelle ne connaissais pas. Intriguée, elle décida de prendre de l’altitude afin de découvrir les mystères de ce lieu. Les ailes déployées, elle monta et percuta un oiseau qui avait eu la malchance de se retrouver sur la trajectoire d’une personne qui n’avais a son grand désespoir pas d’yeux dans le dos. Suite a ce petit incident avec le volatile, elle s’aperçu que le chemin rose qui l’avait précédemment intrigue n’était qu’une allée bordée d’arbres fleuris. La vue de tout ce rose, couleur symbolisant le romantisme lui donna une soudaine envie de vomir. Elle ressemblais probablement a une personne qui avait le vertige mais elle s’en moquait éperdument. Se concentrant un peu plus sur une silhouette familière a oppose du chemin, elle parvint a y distinguer sa grande sœur. S’approchant peu a peu, elle se demandais pourquoi elle était seule : fausser compagnie a ses domestiques ou fuguer n’était pas son genre mais plutôt celui de Zalys…

Le printemps, la saison où tout s’éveille, où les fleurs bougeonne, où les oiseaux chante, la rivière, pris de plein fouet par le soleil, se donne dans une danse telle une cascade de cristalle.

Le printemps, tant de vie ... Cela la dégoûter, a cette saison, tout semblaient la rejeter. La blancheur de sa peau juré avec le paysage, sont visage, si mélancolique, semblait endormie a côté de tout ses éveilles.

Le printemps, elle le destait et la saison qui suivait, durant ces deux saisons elle sortait en manteau long noir, empapuchonner, où dans ses moments là, même ses deux orde noir rester cacher, la seul chose que l'on pouvait voir, c'était deux longue mèche blanche de chaque côté de ça tête.

Le printemps, durant cette saison Londre lui même semblait sortir d'hibernation, la fouler ce réveille, les touristes viennent en masse, les couples sortent, main dans la main. L'amour dites vous? Il n'existe pas.

A cause de toute ses raisons, elle avait besoin de partir, de s'isoler, et pour cela, rien de mieux que la forêt. Elle s'y dirigea donc dans sont manteau noir, encapuchonner ces deux mèches sur le côté, ces yeux disparut dans l'ombre. A l'entré du bois elle s'arreta, examina avec attention les lieux et, d'un geste lent et gracile de sa main ganter fit tomber ça capuche.

Immobile, Lucy fixait ce qui avait interrompue ses réflexions avec beaucoup d'attention. Ses yeux étaient rouge foncé, presque brun. En quelques secondes elle reconnue sa soeur, Zalys, qui se rapprochait lentement d'elle. L'ange semblait perplexe... Mais la petite démone n'y prêta pas du tout attention, elle était trop heureuse de croiser sa soeur, même si depuis quelque temps elles avaient de nombreuses occasions de se voir.
Zalys ! Que fait tu ici ? Tu va bien ?
La mélancolie et la rêverie qui l'habitaient quelques instants plus tôt avaient laissées place à la joie. Elle s'élança rapidement vers sa soeur bien qu'elles ne soient séparé que par quelques mètres seulement... La petite démone avait parfois tendance à réagir avec excès, mais il lui arrivait aussi de ne pas réagir du tout.

Elle attendait que sa soeur lui réponde, mais elle n'était pas non plus complètement inatentive envers ce qui l'entourait. C'est ainsi qu'elle perçut la présence... Il y avait quelqu'un d'autre dans la forêt, près de là où elle se trouvait, en plus d'elle et de sa soeur. Ce n'était pas un ange... ni un démon car elle l'aurait tout de suite ressenti.. mais ça ne voulait pas dire non plus que c'était un humain (Lucy ne peut pas déceler la présence des shinigamis et autre créature "fantastiques"aussi facilement que celle des anges et des démons).
Tu as senti ? Nous ne sommes pas les seules à être ici...
Lucy ne pouvait pas encore voir ce qui se trouvait près d'elles... mais elle était persuadé que cette personne finirai par passé près d'elle et de sa soeur. De plus elle entendait ses pas...

Que faisait elle là ? Pourquoi était elle seule ? Tant de questions fusaient et auxquels elle n’avait de réponse. Le regard vide, elle battu des ailes et s’approcha doucement de sa sœur. Cette dernière sembla réjouie des retrouvailles ; ce n’est pas que Zalys fut désenchantée mais quelque chose la tracassait depuis sa sortie du manoir, ou plutôt son entrée dans la foret. La présence de sa sœur y était elle pour quelque chose ? Non, de toute évidence ce n’était pas le cas. Une autre présence plus oppressante que celle de sa sœur l’incommodait au plus haut point et lui donnait des nausées.
D’un air enthousiaste, Lucy pris parole :
"-Zalys ! Que fait tu ici ? Tu va bien ?"
Le visage souriant et apaisant de sa sœur l’avaient quelque peu rassurée. Cette présence rassurante courrait en sa direction comme si elle ne s’étaient vues depuis des lustres alors que ces derniers temps les réceptions auxquels elles étaient toutes deux conviés ne se faisait pas rare. Bien que rassurée que sa sœur allait bien, elle ne lui répondis pas. Un petit silence s’installa, le bruissement des jeunes feuilles, le doux chant des oiseaux, le délicat parfum de fleurs…tout autant de bruits et d’odeurs qui lui rappelais la saison. Puis a travers ce silence, Lucy quelque peu paniqués parvint a articuler quelques mots :
"-Tu as senti ? Nous ne sommes pas les seules à être ici..."
Déjà inquiète, elle s’approcha de sa sœur et la saisi par la taille avant de s’envoler vers (d’autre) les cieux…S’approchant de la source, elle découvris avec stupeur…

"Zalys ! Nous ne craignons que bien peu de chose par ici, alors pour l'amour du... de... "
"Zalys, ma place n'est pas dans les nuages, s'il te plait repose moi sur le sol !"
Konnichiwa.
-Bonjour mademoiselle, dit Lucy.

Volant a vive allure, elle portais sa soeur, se dirigeant rapidement sur leur cible: une silhouette blanche.
Lorsque sa soeur s'exclama
"Zalys ! Nous ne craignons que bien peu de chose par ici, alors pour l'amour du... de... "
Apres un court moment de silence, celle derniere repris:
"Zalys, ma place n'est pas dans les nuages, s'il te plait repose moi sur le sol !"
Demander a un ange de s'enfuir en l'emportant on de la protéger, il faillais s'attendre a ce genre de réaction: pour eux rien n'est plus pratique et agréable que de voles les ailes déployées. Elle jeta un oeil a sa soeur et voyant que cette dernière ne semblais a l'aise, redescendis doucement vers le sol. Cette foret, cette clairière le cadre était magnifique et aurais convenu a une réception mais les températures ne furent adaptées a cela. Cette petite pensée pour une réception n'avais sa place dans le contexte et Zalys la chassa rapidement de son esprit d'un hochement de tête.
« - Konnichiwa. »
Annonça dd'une voix fluette la Demoiselle Blanche en s'inclinant. Zalys ne comprenant ce qu'elle disais en déduisit que cela devais être une étrangère.Demoiselle Lucy ne semblais intriguée par cette langue et lui repondis amicalement:
-Bonjour mademoiselle
Elle se posèrent permettant ainsi a Demoiselle Lucy de reprendre contact avec le sol ce qui semblais la rassurer. Une jeune personne d'une vingtaine d'année dont la pâleur laissa penser qu'elle était une albinos. Comme sculptée dans la glace son visage impassible ne laissait rien paraître. Elle ne semblais être intriguée par les ailes de Zalys que cette dernière s'empressa de ranger afin de ne pas déranger la conversation. Imitant sa soeur elle s'inclina.
"-Bonjour Mademoiselle"
Et se réfugias le temps d'un battement de cil derrières des arbres un peu plus loin. Cette étrangère semblais pourtant fort aimable mais L'ange se sentait mal en sa présence et du s'en éloigner un peu