Kuroshitsuji Dynasty RPG
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 Alois Trancy

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MessageSujet: Alois Trancy   Alois Trancy Icon_minitimeMar 5 Juil - 10:49


•••Your Identity...



    Alois Trancy 16356610
    ❖ Nom : Trancy (anciennement McCain)
    ❖ Prénom : Alois (anciennement Jim)
    ❖ Age : 14
    ❖ Date d’anniversaire : 5 Novembre 1874
    ❖ Sexe : Masculin
    ❖ Orientation sexuelle : Homosexuel
    ❖ Race : Humain
    ❖ Rang : anciennement au plus bas même au dessous du bas échelon de la société mais devenu noble grâce au Comte Trancy dont il servait de joujou
    ❖ Nationalité : Anglaise



•••Who Are You ?



    ❖ Mental ( 6 lignes minimum ) :

    Caractériellement, Alois est un cas à part.
    Beaucoup plus complexe et profond par rapport à ce qu’il donne de son comportement.
    Certains trouvent qu’il serait mieux mort car pour on ne sait quelle raison, ils ne peuvent pas le squatter ; d’autres encore voient en lui en enfant pourri gâté pitoyable très faible d’esprit ; d’autres encore le voient comme un objet de plaisir bon que pour le sexe et pour souffrir ; d’autres encore le voient comme tellement bête qu’il ne se préoccupe que de son apparence sans rien de profond derrière. Certains, qui sont moins aveugles, voient en lui qu’un pervers psychopathe qui n’est là que pour embêter son monde.
    Enfin, ceux qui ont l’œil aiguisé, ne donnent pas leur avis, ne sachant pas quoi penser de l’adolescent, excepté qu’il est…bizarre.
    Les considérations de tantôt sont durs, car aux yeux des personnes qui lui jettent cela, c’est ce qu’il leur montre, c’est ce qu’il croit voir en lui. Parce qu’il est Alois Trancy, il ne peut qu’être une cible facile, un bouc-émissaire qui se laissera faire, qui acceptera sans broncher sans renier d’être « la pute des nobles » et « la plaie de la nation ».
    Après tout, ils ne peuvent pas avoir tord !
    Seulement, seuls les personnes ayant un œil aiguisé, qui sont troublés par le comportement d’Alois au premier abord se rapproche de la vérité complexe qu’est le concerné.
    La vérité qu’en réalité, l’adolescent est un illusionniste, un « tout à la fois ».

    « Un casseur d’illusions » tel qu’il se surnomme lui-même.
    Quand toutes ses apparences sont présentes, il est insondable, intouchable, imprenable.
    Il se dissimule tel un caméléon sous ces doublements de personnalités multiples qui se contredisent entre-elles.
    Par rapport à ses rejets, malgré un caractère très décalé vis-à-vis des autres, même s’il ne réagit pas sur son visage quand il se prend des coups dans la figure de façon morale, il n’est pas aveugle, et son cœur doit encaisser au fur et à mesure les coups.
    Parfois, Alois tiendra quelques temps avant de devenir absent pour supporter ses rejets.
    Ou d’autre fois, il fera comme si de rien n’était, avant de craquer d’un coup.
    Il trouvera toujours une excuse pour se voiler la face, bien que s’il vient à dire la vérité, il en aura tellement honte et essayera de vite faire passer ça.
    A ses yeux, c’est la fatalité de son existence, de son caractère infect, donc de ce fait, il le mérite. Bien qu’il soit à plaindre, bien qu’il tienne à son rêve, Alois trouve qu’il n’est pas à déplorer. Simplement parce qu’il est déjà mort intérieurement depuis longtemps, et que sa face de bon humain n’est qu’un moyen d’avoir la compassion des personnes qui l’entourent.
    Il ne s’en cachera jamais.
    Des comportements contradictoires qui poussent à la réflexion, le point premier d’Alois qui le caractérise. Il montre ce qu’il veut faire montrer de lui, il se contrôle entièrement, et avant même que vous en rendiez compte, il observe vos réactions afin de vous mener sur le chemin que lui veut. Il se cachera sous son égoïsme pour ne pas vous dire la vérité, pour ne pas murmurer d’un coup devant vous d’une voix davantage tremblante qu’il le fait pour se protéger, afin d’échapper à cette solitude meurtrière.
    Mais l’apparence vaux t’elle vraiment ce qu’elle montre ?
    Non, il faut creuser. Beaucoup creuser. Réussir à accéder à la porte du cœur de l’adolescent.
    Ouvrir cette porte, et tout accepter : le bien comme le mauvais.
    Alois le sait : il est précieux, comme une perle, comme une pierre précieuse.
    Il mériterait son trône dans le royaume des Dieux.
    Bien qu’il trouve tout cela cruellement ironique, tragique…

    L’adolescent, malgré ses airs, cohabite avec quatre déboulement de personnalité : la première, « l’être illusoire », est celle qu’il a forgé ; la deuxième, la partie gamine elle-même faisant partie de l’être illusoire, est son envie enfouie d’avoir une vraie enfance, d’être insouciant ; la troisième, la partie timbrée, est l’envers du décor mi-fausse mi-vraie façonnée par les souffrances qu’il a enduré; et la dernière, la partie brisée, est ce qu’il est au fond de lui. Ces quatre parties font Alois Trancy l’imprévisible, l’indécis.
    En dehors de la spécificité de chacune de ses parties, il reste des traits de caractère « préexistants », qui reste de façon assez constante dans chaque déboulement de personnalité la partie brisée non comprise. Ces traits de comportement déjà présents et régulier mettent en reflet un aspect rare des enfants habituels de son âge : Alois est consciencieux de tout ce qui l’entoure et de lui-même.

    - Alois est égocentrique.
    Un égocentrique qui trouve de l’amour en n’ayant aucune honte de ses défauts, et essayant de mettre en valeur ses qualités quand cela est possible.
    Alois s’aime, et raffole de le crier à tue-tête. Il est très fier d’en être un ainsi qu’un sans-gêne.
    Son regard assidu lui permet de vite deviner ce que pensent les personnes de lui, et en contrepartie, ces deux traits de comportement sont une force.
    Alois est un prêt-à-tout, un entêté dans ce qu’il désire. A un point où ça en devient capricieux.
    C’est peine perdu d’essayer de changer une décision qu’il a prise, c’est irréversible.
    Cela ne s’accorde pas seulement à des actes, aussi à des sentiments vis-à-vis d’une telle personne. Il prévient chaque personne qu’il rencontre sur ce point : la trahison n’est pas autorisée. Une promesse est une promesse comme il dit.
    La confiance est tout ce qu’il lui reste, tout ce qui donne un peu d’espoir à s’accrocher aux autres et d’essayer d’oublier son passé. Si la confiance est fissurée, tout est fissuré.
    N’attisez jamais sa rancune : il devient aussitôt radical, sans pitié, sans limite.
    Car par nature, il est détaché des autres, par nature, il n’a confiance en personne.

    - Alois est mâture.
    Imaginez que vous le rencontrez dans la rue.
    Curieux, si vous essayerez d’en savoir plus sur le dessous des illusions d’Alois, vous vous lamentez de noter un refus catégorique. Vous serez en fin de compte encore plus surprit de noter qu’Alois ne voit pas les choses comme vous.
    Réaliste, trop réaliste et extrêmement lucide vont être les qualités qui vont ressortir chez lui.
    Après un soupir triste, Alois vous dira qu’il a un lourd fardeau à porter, qui ne risquera pas de partir. Il vous avouera qu’il vit dans ce monde en sachant déjà ce que la vie lui réserve, et qu’il est obligé de se battre pour survivre. Alois lâchera quelques sifflements déplaisants vis-à-vis des nobles, et vous le scruterez dans un étonnement soudain.
    Si l’envie lui vient, il déballera sans honte ses suppositions sur le futur, avec thèse et preuve, avec un regard d’adulte. L’enfant de tantôt que vous aurez crut voir aura complètement disparut, faisant place à un adolescent vivant dans le monde des grandes personnes, avec de grandes responsabilités. Alois se sent vieux, trop vieux, ayant clairement la sensation d’aller vers la vieillesse alors qu’il aimerait retomber en enfance.

    - Alois est automne.
    Restons sur notre exemple de tantôt, et imaginons que vous avez réussi à lui soutirer par pur chance davantage d’informations.
    Vous découvrirez avec grande surprise qu’Alois est déjà autonome.
    Indépendant que par son rôle de gérant des coins que la famille Trancy contrôle : les titres de propriété, une partie de la mafia, des gangs…
    Si vous parvenez à creuser davantage d’informations, vous vous apercevrez que cela ne s’arrête guère à ce « rôle d’héritier ».
    Il vous dévoilera sans doute dans le feu de l’action, sur un coup de sentiments, qu’il sait se débrouillait seul. Nettoyer le manoir, faire les lits ; s’occuper des besognes qu’il donne habituellement à ses domestiques ; tous les fichiers administratifs qui le concerne : du titre de propriété de son manoir jusqu’à son testament vu que si cela n’est pas fait personnellement, ce sera les moyens idéaux pour les nobles de lui détruire son peu d’existence administrative et de la monter contre lui.
    Entre autre, il gère lui-même son marché trafic de nounours, et de son corps.
    Si vous avez encore plus de chance, il vous avouera que cette prise d’autonomie n’est point récente, et date depuis quelques années.

    - Alois est prévoyant.
    Vous verrez alors un autre trait de son comportement : sa prévoyance.
    Il vous le dira avec détresse : qu’il essaye de voir les conséquences de ses gestes futurs, de voir un grand nombre de possibilités envisageables avant d’agir, afin de se protéger.
    Il réfléchit toujours à ce qui lui arriver pour ne pas se retrouver devant le fait accomplit. Jamais il ne pense à rien, trop risqué.
    La prudence est d’ordre, bien que vous verrez un certain côté naïf malgré sa grande lucidité.
    Bien que pas facilement manipulable si vous êtres pas au même niveau que lui, quand cela le concerne personnellement, cela lui arrive de faire retomber sa méfiance, mais ne jamais s’en contenter.

    - Alois est observateur et très manipulateur
    Alois est un dominateur. Il aime le pouvoir et le garder, quitte à faire des conquêtes supplémentaire pour se faire entendre. Il déteste quand la balle n’est plus dans son camp.
    Alois est noyé dans la stratégie, mais dans une tactique particulière, une « stratégie du cœur », une « stratégie sincère ». Personne ne peut lui reprocher d’avoir mentit.
    C’est impossible, car il reste toujours franc dans ces gestes, dans ses paroles.
    Il ne joue pas avec le mensonge, mentir ne lui servirait à rien.
    Il se sert plutôt de la réalité, de la vérité sur les autres qu’il perçoit en sa faveur.
    C’est à la fois un bouclier car il s’en sert pour se faire sa propre barrière de protection par des vérités irréfutables et des alibis d’acier et une arme car à tout moment s’il en sait suffisamment sur la personne, comme un juge, il fait rappeler à la personne ses fautes qu’elle aura difficilement du mal à contredire.
    Cette stratégie sincère, il l’applique partout, chaque jour, sur tout le monde pour avoir le contrôle de tout. Excellent comédien, Alois peut faire mine d’être aveugle alors qu’en réalité, il est à l’affût, il prend en note le moindre geste, la moindre parole de son entourage.
    Il sait exactement quand la personne se contredit, se sent mal à l’aise, ment. Il le voit.
    Alois est suffisamment intelligent et malin, sans compter qu’il possède une grande mémoire dans laquelle il n’oublie jamais rien, pour se faire rapidement un portrait d’une personne et de ses ambitions du jour. Alois n’a qu’un geste à faire : regarder.
    Son esprit, sa personnalité fait le reste. Il met à nu toutes les illusions des autres.
    De cette façon d’agir, aucun cas, aussi impossible soit-il ne lui échappe.
    Comprendre les autres est un jeu d’enfant, les manipuler de même.
    Ces traits de comportement ironiquement découlent sur sa compréhension vis-à-vis des autres, sa tolérance, son respect envers toutes les espèces qu’ils seraient à même de rencontrer, et d’une certaine gentillesse.
    Alois ne perd jamais : tous ses plans sont calculés à la seconde près dans sa tête, dans les faits, il s’arrange toujours pour ne pas donner d’indices seulement des avants gardes.
    C’est un perfectionniste.


    - Alois est ferme
    C’est l’attrait le plus important du concerné. Alois est strict avec lui-même, plus qu’il est avec les autres qu’il fait changer de façon furtive pour que vivre avec lui ne soit pas un enfer.
    Alois est un sadomasochiste nymphomane, c’est un fait, il faut faire avec.
    C’est un homosexuel pédophile misogyne, idem.
    C’est quelqu’un de volage, faites avec, vous avez été prévenus si vous venez, vous, à le trahir.
    Une fermenté auquel Alois ne reviendra jamais dessus. Ce sont des faits établit, point.
    Mais en dehors de ce qu’il impose sans condition aux autres, qu’en est-il de lui-même ?
    Alois s’est ordonné lui-même d’être toujours franc, ce qu’il fait. Il ne cache jamais rien.
    Il est direct et continuellement sincère.
    Il s’oblige à s’autoriser que de la douleur physique dans son comportement sado.
    Toutefois cette droiture ne s’arrête pas uniquement à ces commandements.
    Il s’interdit de montrer ses faiblesses, de pleurer.
    Devant quelqu’un d’autre, il contrôle ses larmes, il essaye de rester connecté, il se retient de toutes ses forces pour ne pas acclamer qu’il se déteste.
    Alois ne veut pas que ses proches le voient dans un tel état de perdition, dans un état tellement sombre qu’il n’a à voir avec ce qu’il montre devant eux.
    Très souvent, Alois prends sa décision de lui-même d’aller se calmer : il s’enferme dans une partie de son monde à lui, y pleure, se déchaîne, s’enferme dans une longue réflexion qui finit par lui faire passer le choc.
    Son cœur reste brisé par ce qu’il s’est passé, mais à ses yeux, c’est douleur encaissé sachant qu’il n’oubliera pas et que cela reviendra le hanter profondément un jour ou l’autre.
    En détruisant, en tuant, il se venge sur son destin, non sur lui-même.
    Quand il se mutile, cela revient à la même chose, bien qu’il dévoile cette fois-ci un peu de sa haine contre lui-même, mais ne s’en venge pas.
    Il se pose lui-même des limites quand il est avec les autres.
    Il est prêt à s’oublier entièrement pour aider quelqu’un qui est cher à ses yeux.
    Voir la personne heureuse devient son but, mettant de côté tout comportement égoïste.
    Une façon habile, avouons le sans nous le cacher, de s’aimer à travers les autres.
    Une sorte de comportement malveillant, mais pas autant manipulateur que ça, vu qu’Alois est sincère dans ses mouvements, dans ses dires, dans sa tristesse quand il n’est pas assez fort ou suffisant pour permettre ce sourire. Bien que même dans de tels cas, il espère que rien ne lui sera reproché, qu’il ne sera pas descendu en public…entendre un « merci », avoir un geste d’affection si possible.
    Jamais il ne s’autorise à plaisanter.
    A travers du rire et au mise à l’écart d’un sujet sérieux, Alois sait faire croire aux autres qu’il bluffe alors qu’il est bel et bien appliqué.


    Ces traits de comportement préexistant mit en place, nous pouvons nous atteler sur les spécifiques uniques de chaque déboulement de personnalité.

    • « L’être illusoire » : tout ce qu’Alois montre de lui jusqu’à la dernière parcelle.
    Un amas de contradiction, où tout se mélange.
    Ses sourires, ses rires, son comportement tantôt enjoué tantôt psychopathe, tout est travaillé pour donner l’impression que c’est vraiment vrai. Fruit de nombreux entraînements, et d’entêtements qui ont été à un doigt de ne jamais donner de résultat tellement que l’échec lui faisait perdre le peu d’espoir qu’il avait.
    Alois sait qu’il joue qu’un « rôle » qu’il s’est lui-même prédéfini, sans savoir véritablement où aller. Il feigne d’être heureux en essayant d’y croire lui-même, il essaye de retrouver son insouciance sans y arriver. Tout est faux sans l’être.
    Alois est un insensible sans en être un.
    Il est vraiment fier. Il est vraiment égoïste. Il aime faire souffrir les autres.
    Il se fout bien des autres quand il s’écoute totalement, sachant que ce sera réciproque.
    Mais d’un autre côté, sa fierté est presque une excuse pour aimer ce qu’il est devenu ; son égoïsme est ce qu’il le tient debout et qui lui permet d’atteindre son idéal de bonheur.
    Il se cache aussi sur son amour du sang et du sadisme, sa façon à lui de se venger de son destin qu’il outragera quoi que cela lui en coûte moralement.
    Il s’aime tout en se détestant, sa haine contre lui-même étant tellement forte que s’arracher le cœur à mains nus ne ferait pas passer sa douleur.
    Cela lui arrive cependant d’être gentil, solidaire dans ses propres ambitions égoïstes.
    Bien qu’il sait qu’il soit gentil ou non, il se prendra toujours des coups bas, toujours une réputation minable, toujours de la haine sur son nom.
    De même qu’il est très rarement remercié pour ce qu’il fait quand il range son égoïsme de côté. Au contraire, très souvent, cela se retourne contre lui.
    Alois déteste être gentil pour cette raison là.
    S’il ouvre son cœur, ce n’est pas pour en payer le prix encore une fois.
    Il préfère rester « l’ordure » insensible, égoïste, fier, ne rien montrer de ces douleurs plutôt que d’être gentil et de s’en prendre « plein la gueule ».
    Toutefois, ces illusions ont une condition cruelle : Alois a ce besoin, cette drogue, des autres.
    Retirez-lui ce contact extérieur, il en mourra.
    Pas dupe ni aveugle, Alois quand les douleurs remontent un peu, toujours optimiste envers les autres, pessimiste dans son cas. Car ironie du sort, Alois s’est ancré dans le crâne qu’il ne pourrait jamais être heureux, et ce malgré tous ses efforts et ses combats, tout en espérant parvenir à son objectif d’être heureux un jour.
    Il ne pose plus la question de ce qu’il veut en dehors du bonheur, et de ce qu’il est.
    Il a tout laissé de côté, a tout oublié, cela n’ayant plus d’importance à ses yeux.

    • La partie timbrée : « l’envers du décor » comme il appelle autrement.
    Généré suite à ses nombreuses maltraitantes morales ou physique, elle est le déboulement de personnalité le plus dangereux et incontrôlable, d’où une certaine retenue de ces dernières.
    Reconnaissable généralement par les rires sadiques, les sourires narquois, le désintéressement total de ce qui se passe autour, Alois l’utilise comme un excellent moyen de se faire entendre et de faire peur tout en ayant avoir au mieux d’avoir le contrôle sur elle.
    Cela lui arrive de sortir sans avertissement, généralement, dans un désir masochiste concernant généralement le sexe ou des violences physiques. Elle se calme uniquement quand elle a ce qu’elle veut, et n’y va aucunement en finesse, prête à des pires horreurs pour arriver à ses fins. Cette personnalité démoniaque d’Alois ne se satisfait que de la douleur des autres qu’il savoure comme une jouissance, et dans le sang qu’il verse de ces propres mains.
    Il n’hésiterait pas à anéantir le monde si elle le pouvait, car elle ne s’en cache pas, elle hait tout le monde, l’univers entier, lui-même y comprit. Tout mérite de sombrer dans les ténèbres.
    Elle ne possède aucune tolérance, aucune considération pour la vie humaine ou les autres espèces les considérant comme des sous-fifres qu’ils doivent s’agenouiller devant leur roi, et est remplit de cruauté à la moindre chose qui lui plaît pas.
    Il est généralement très déconseiller de la sous-estimer vu qu’elle est tapissée dans la partie brisée et est, concrètement, son deuxième lui.

    • La partie brisée : le vrai Alois, dans lequel deux échelons sont répartit.
    Le premier échelon est un Alois désespéré, en perdition, réclamant de l’affection, d’être aimé tout fort, chose qu’il refuse de montrer avec ses illusions. Très pessimiste sur lui-même, moralement perdu, brisé, vide tout avenir, vide de tout désir.
    Il est vide de pensée, vide à l’intérieur, vide en sentiments, mais a encore la possibilité de parler. Très régulièrement, il parle de lui-même à la troisième personne.
    Le deuxième échelon est ce à quoi tous les autres déboulements de personnalité sont présents, la raison même des illusions : pour sauvegarder une poupée, qui comparé au premier échelon, ne parle pas, ne réagit pas. Inguérissable, sans tout ce qu’il a autour, elle dépérirait, attendant sans plus attendre que la mort l’emporte, ayant déjà tout perdu.

    Cela mit en place, nous pouvons donner quelques indices sur les goûts de l’adolescent, ainsi qu’un comportement en amour qui pourrait poser problème vu ses déboulements.
    Alois est à nouveau contradictoire dans ses goûts : il aime des choses simples mais aussi des choses farfelues. En goût simple, nous pouvons citer son goût culinaire assez poussé tel un cuisinier, d’avoir passé une bonne journée sans problèmes, d’avoir embêté pour le fun et sans arrière pensée son monde. Un câlin, un baiser, une preuve d’amour en fait partit aussi.
    Il aime les cerisiers, principalement en fleurs ; les papillons auxquels il se compare.
    C’est un gourmand, raffolant du chocolat et de toutes les choses sucrées.
    C’est un littéraire, malgré ses très mauvaises manières, il aime jouer avec les mots davantage soutenus, faire transmettre clairement un message dans ses rares écrits et poèmes dans une impression qui est propre à chaque œuvre.
    C’est un musicien, très strict dans ses goûts musicaux où cela doit être des musiques douces ou légèrement plus entraînés mais ayant la possibilité de le faire voyager, ce qu’il transcrit lui-même dans ses morceaux.
    C’est un artiste, afin de s’enfuir du monde cruel dont il habite, il s’envole à travers le dessin, mettant sur papier la réalité de façon la plus réaliste possible, étant très strict sur la ressemblance.
    C’est un débrouillard : pour tuer son ennui, il est prêt à faire n’importe quoi : la cuisine, la couture, la mécanique, l’essentiel, c’est que ça soit un divertissement qui lui rapporte quelque chose.
    En terme de goûts farfelus, excepté son goût du sang et du meurtre, c’est concentré essentiellement sur la perversité et l’espionnage : il aime tout savoir ce que font les autres, il aime violer, il aime draguer, il aime fantasmer, il aime essayer de trouver quelque chose en rapport avec le porno, il aime faire l’amour c’est sa deuxième drogue après l’alcool, il aime le sexe dans tous les sens du terme. Il aime ironiquement avoir raison sur les autres alors que parfois, il aimerait bien se tromper.
    Il aime qu’on lui obéisse, qu’il soit considéré comme un roi.
    Il aime par-dessus le marché montrer qu’il a une volonté à toute épreuve, car Alois a trop conscience à son goût de ses faiblesses.
    Il est autophobe donc il est impossible pour lui de rester seul sans devenir fou ; il est nyctophobe, il hurle dès qu’il se retrouve dans le noir, son esprit se perdant à nouveau.
    L’abandon rentre aussi en ligne de compte, son cœur est tellement fragilisé moralement qu’il deviendrait automatiquement suicidaire s’il vient à se faire abandonner.

    Enfin, en amour, Alois est déboussolé.
    Il ne sait pas aimer, personne ne l’a éduqué pour, et pour compléter le tableau, rares sont ceux qui l’aiment. Il a apprit de lui-même ce qu’est le vrai amour excepté dans le sexe en regardant les autres, d’où sa conclusion qu’il est en manque d’affection, qu’il a besoin de se sentir aimer. Même s’il le fait aux autres, il ne sait pas comment exprimer sans se sentir faible son manque, il ne sait pas si ce qu’il est fait est bien.
    Alois ne sait pas non plus pourquoi il aime telle ou telle personne par rapport à une autre, il sait juste que ces sentiments sont là, et qu’ils sont vrais, sachant faire la différence entre amours passagers et amours véritables.
    ❖ Physique ( 6 lignes minimum ) :
    La beauté d’Alois est un de ses arguments parmi tant d’autre, est aussi sa meilleure arme qui serait capable de faire chavirer le cœur de n’importe qui.
    Physiquement, il est angélique, parfait. Sans doute est-il un enfant caché d’Aphrodite.
    Alois est un jeune adolescent d’1m55, possédant un corps assez frêle. Ce dernier est tout doux comme un nounours, bien chaud comme un radiateur et très bien proportionné.
    Un tient pâle mais une peau parfaite, aucun détail ne souille la pureté de ce visage angélique.
    Ses bras et ses jambes sont fins et enlacés, ses mains longues et minces comme des pattes d’araignée. Il a des cheveux blonds éclatant comme l’or courts, lui retombant dans le cou, une frange tout près de son nez, le restant des mèches répartit à part de ses yeux.
    Des cheveux montrant à quel point l’égocentrisme du blondinet est là tellement qu’ils sont toujours très bien entretenus, jamais de nœuds, toujours soyeux, toujours aveuglant.
    Ses yeux azur sont similaires à ceux de l’océan, brillant toujours sous un soleil invisible, dans lequel nage de nombreux sentiments entremêlés, attachés visible à chaque coup d’œil.
    Généralement, c’est du sadisme, regardant avec envie ses proies, ou de la moquerie.
    Rares sont les fois où il ne sourit pas : toujours sourire sadique ou sourire taquin aux lèvres, et quand ce n’est pas le cas, c’est un petit sourire en coin rendant ses yeux bien perçants comme l’aigle montrant à quel point il se désintéresse de la chose en question.
    Il a son signe du pacte avec Claude sur la langue, qu’il prends avec un air plaisantin à tirer à tout va dès qu’il conteste qu’on n’aille pas dans son sens, comme un appel au secours pour qu’on regarde que lui.
    Alois ayant un visage androgyne, et davantage plus féminin que masculin, il en profite pour le faire dévoiler sans honte.

    En effet, les vêtements d’Alois montrent son originalité, sa marginalité, mais aussi en disent gros sur le moral de l’adolescent. Car oui, Alois aime se vêtir dans des vêtements collant à son comportement, des trompes l’œil aiguisé qui peuvent rendre fou tout aveugle.
    Ses habits du haut dévoilent son appartenance sans s’y tromper à son rang : à la noblesse.
    Il s’habille généralement toujours d’une même tenue, comme si c’était sa signature personnelle qu’il véhiculait, comme si c’était la tenue qui le caractériserait à lui seul : une grande et ample chemise blanche du style victorien où les manches dépassent la veste, un court gilet sans manche vert foncé et noir, un grand nœud noir attaché autour de son cou, et naturellement sa redingote pourpre.
    Le bas de son corps est l’expression même de son déclament par rapport aux autres.
    D’abord, un micro short noir, vêtement qu’il garde de façon continuelle.
    Mettre un pantalon, c’est impossible pour le blondinet, jamais il en mettra.
    Juste en dessous, des bas noirs qui font office de chaussettes vu que cela partent des pieds jusqu’au milieu des cuisses qu’il n’hésite pas à montrer à tous.
    Enfin, des grandes bottes cavalières marron foncé, aux longs lacets accompagnés par des nœuds pourpres accrochés au haut de ses bottes, et aussi étrange que cela puisse paraître pour un garçon, porter des talons d’au moins cinq centimètres lui semble complètement naturelle.

    Alois ne se contente pas simplement de cette tenue habituelle qu’il chérit comme la prunelle de ses yeux. Il aime aussi se vêtir de kimonos dont il en possède deux qui lui sont très précieux : un kimono rouge au nœud noir, ayant un petit contour blanc autour qui le rend très bien en valeur, un kimono bleu comme la couleur de ses yeux.
    De plus, Alois détient deux tenues : une noire prévue pour les enterrements bien étant un ensemble que tout homme doit avoir dans sa penderie accompagné par un petit nœud noir attaché autour de son cou ; une rouge dans le même style.
    Il possède aussi plusieurs tenues sexy voire de prostitution pour les occasions, ainsi que des tenues générales de quelques uns de ses connaissances afin de se faire passer pour eux car a les perruques assortit quand besoin est, ainsi que la tenue de boniche d’Hannah à sa taille et de nombreux déguisements : du samouraï et du paysan au roi mêlés à quelques déguisements fantaisistes.

    Bien que son visage ne possède aucune imperfection, le corps de l’adolescent est sillonné de blessures de guerre. Son torse généreux est recouvert de petites plaies sur toute la longueur, et ses poignets en sont aussi recouverts, marques qui sont les preuves de ses mutilations régulières. Idem pour ses bras sur toute leur largeur. Sur son poignet gauche au niveau des veines résident une marque assez profonde, faite quand Alois vait essayé de mettre à terme à ses jours dans son lointain passé.

    Ce qui rend Alois reconnaissable, c’est à travers le port de sa bague Trancy sur sa main droite sur son index. Même s’il n’est pas trop bijoux, il apporte une immense importance à celle dont il se pare, qui est la seule qu’il met.
    Il est ferme là-dessus : il entraînera les Trancy dans la tombe à sa mort.
    ❖ But : S'accapparer Ciel Phantomhive

    ❖ Armes :
aucune


•••Tell Me A Story !



    ❖ Histoire ( 8 lignes minimum ) :

    Alois Trancy n’a pas un passé glorieux.
    Il ne connaît pas ses parents, il ne garde qu’un souvenir de sa mère quand il était bébé mais ce souvenir n’est pas le sien, c’est un des souvenirs de son autre lui.
    Peu après sa naissance, il a été enlevé, personne ne sait par qui et personne sans doute le sera.
    Le début de sa vie à quatre ans se dévoile dans un village reculé aux alentours de Londres, vivant comme un esclave le jour et un vagabond la nuit. Ses parents adoptifs sont morts mais leur disparition ne l’a pas autant affecté que cela en vérité. Le père le traitait comme un moins que rien et crachait sur le nom de l’enfant qui était leur fils adoptif, la mère qui l’avait en quelque sorte recueillit ne lui exprimait que rarement de l’affection. Jim McCain tel est l’ancien prénom d’Alois humain qui avait ce prénom officiel pendant cette période de sa vie.
    Le temps passe, Jim vit dans sa misère parfaitement conscient de son sort futur qui l’attend.
    Personne au village ne l’apprécie, il est ignoré, trompé quand il loue ses bras pour aider des villageois. C’est dans le hasard de son existence qu’il le mène à Luka, un enfant qui a vécu dans les mêmes conditions que lui, ayant oublié son nom. Jim le sauve de violence de jeunes vivants dans de façon décente, ce qui engendre petit à petit une amitié qui devient fraternel.
    Jim consacre entièrement sa vie au bien-être de Luka, pour le faire sourire, le faire rire, lui donner à manger et trouver un toit pour dormir. Le vol, les insultes quotidiennes, la famine deviennent un quotidien qui ne changera jamais, mais l’entre-aide les fortifie.
    Jim est considéré comme un roi par le benjamin qu’il considère comme son frère.
    Quand l’adolescent blond acclame un désir, Luka lui répond avec respect en s’inclinant « Yes, you higtness » comme s’ils étaient des nobles de la haute société.
    Les deux enfants se font une promesse : ils mourront en même temps.

    Malheureusement, la belle vie que Jim vit s’effondre brusquement.
    Une nuit, ce dernier découvre le village en feu, les villageois qu’il détestait autant gisant au sol. Une liberté pour Jim qui pense être débarrassé de ses tourments, mais alors qu’il s’avance entre les différents corps, il découvre celui de Luka, lui aussi inanimé, comme si son âme avait été avalé. Cette découverte détruit le cœur de l’adolescent blond qui perd sa seule raison de vivre. Jim, l’être fendu erre, n’ayant pas pu se soumettre à enterrer son seul meilleur ami.
    Quand Jim atteint ses dix ans, il est vendu au Comte Trancy, réputé dans les bas milieux pour son trafic de garçons. Sa première rencontre avec le Comte n’est pas très fameuse, dévisageant celui-ci avec des yeux de haine dans des yeux vides, et ce malgré son corps amaigri et ses cheveux en bataille dévoilant sa profonde pauvreté.
    Ce qu’il lui vaut ses premiers coups avant d’être emmené chez ses confrères.
    Jim vit avec espoir et dérision son existence encore plus misérable : tous confinés dans un coin avec des femmes de chambre qui se contentent de faire ce que leur supérieur demande sans sentiments, très peu nourrit, etc.
    Il apprend par hasard l’existence d’une rumeur : une fée qui serait capable d’exaucer les vœux. Intéressé, il en demande plus, et le soir même, il fait un étrange rêve où il rencontre pour la première fois Claude. Le contrat qui lui propose l’intéresse, mais il ignore quel vœu formuler. Claude fait preuve de gratitude et le laisse réfléchir.
    Le temps passe, et la peste fait des ravages sur ses compagnons.
    Le Comte, contrarié, s’oblige à savoir ce que Jim lui réserve, étant préparé pour l’occasion, bien coiffé, dans un kimono rouge le mettant bien en valeur.
    Pour mettre toutes les chances de son côté, il se met dans la peau de son personnage, celui du nouveau « fils » du Comte Trancy, se faisant bien provocant. Le Comte fond.
    Jim est violé l’instant d’après, jusqu’à la fin de la nuit.
    Instant où souillé dans son corps, il accepte le contrat de Claude, en parfaite connaissance de cause mais il ne tient plus, au bord du gouffre, Jim se laisse tenter de donner son âme au diable afin de s’en sortir, rendant cet observateur qui le surveillait dans un coin visible à tous.

    Pourtant, son calvaire ne fait que commencer.
    Après ce « mini test » de la part du Comte, celui-ci en refait un deuxième, condamnant Jim à être enfermé pendant un mois dans sa chambre, considéré seulement comme son objet de loisir. Il reçoit très peu à manger, il est tabassé dès qu’il pleure ou tente de s’évader pour éviter d’être abusé. Délaissé dans ce sentiment d’objet qui semble naturel à ses agresseurs, l’adolescent se brise petit à petit à nouveau. Son acharnement à vouloir se débattre lui fallu de rester deux semaines complètement dénudé.
    La résistance de l’enfant paye cependant. Le deuxième test du Comte est positif.
    Officiellement, Jim McCain devient Alois Trancy, reçoit l’éducation d’un noble.
    Un prix à payer demeure : les abus du Comte qui ne cessent de continuer et qui sont réguliers, les erreurs d’Alois qui lui valent des punitions. Alois renie l’ancien lui qu’il était, devenant que pour lui un amas de souvenirs d’une existence antérieure. Il essaye de supporter sans broncher les avantages et les inconvénients de sa nouvelle vie.
    Il a Claude à ses côtés, sa nouvelle lumière, mais celle-ci se contente d’être impassible.
    Alois déchante plusieurs fois face à l’insensibilité de Claude quand il se fait tabasser par le Comte, se retrouve en sang ou se retrouve abusé sans qu’il bouge le petit doigt.
    Une réputation malsaine commence à se former autour de lui, le Comte n’ayant aucune pitié à vendre Alois à d’autres nobles pour un soir pour qu’il se fasse abuser par d’autres.
    De plus, la « chance » d’Alois procure plusieurs jalousies un peu partout.
    Les tourments du Comte continuent. Alois finit par craquer à nouveau, cherchant à bout à se tuer d’abord en essayant de se couper les veines où il est arrêté par le Comte, puis en ne se nourrissant plus. Le Comte comprenant le message se fait plus doux avec Alois, bien que cela dégénère assez vite, Alois découvrant un passage secret menant aux trafics qu’il possède.
    Le Comte oublie sa gentillesse et n’hésite plus à se montrer sans aucune pitié envers l’adolescent blond. Entre temps, Claude dévoile des informations qu’il a apparemment trouvé sur l’ancien village qu’il a trouvé : Sébastian Michaelis en serait le coupable, celui-ci ayant un récent maître, Ciel Phantomhive. Alois prends en note toutes ses informations.

    L’adolescent prend des mesures vertigineuses.
    Son entraînement depuis qu’il est devenu noble pour pouvoir faire croire à tous qu’il est heureux montre ses premiers résultats, et ayant marre des tortures du Comte, il se met en tête de l’anéantir de sa vie. Il s’exécute quelques semaines plus tard, s’arrangeant pour qu’on croie que ça soit la peste qui l’a tué. Dans le même temps, il détruit une bonne partie de la famille du Comte, tuant sans le moindre sentiment. Après une comédie exemplaire pour faire croire qu’il était attristé de la mort du Comte, Alois se concentre uniquement à son objectif : s’accaparer Ciel et faire souffrir Sébastian via son nouveau maître.
    Objectif qu’il s’occupe après avoir libéré tous les enfants plaisirs encore prisonniers par le Comte. Alois n’a non plus aucune pitié à faire brûler lui-même le manoir de Ciel qui va avoir dix ans, se moquant complètement de savoir si les dires de Claude sont véridiques ou non, faisant confiance à ce dernier. Pour faire passer la chose inaperçue, il parvient à manipuler la reine Victoria. Par la suite, Alois vit sa vie tranquillement, ayant modifié le manoir, se moquant complètement de la haine à son égard, se faisant très provocateur et montrant au grand jour toutes ses mauvaises manières. Alois échappe de peu à deux reprises à la mort, se vengeant en provocant une immense terreur et en mettant tous les nobles à sa botte.
    ❖ Famille : N'en a aucune.


•••You ! Behind The Screen ! Answer Me !



    ❖ Surnom : Fan'
    ❖ Age : 17
    ❖ Comment avez-vous découvert le forum ? : par pur hasard 8D
    ❖ Remarque : Forum très bien fait, fan de Ciel et d'Alois xD





Dernière édition par Alois Trancy le Mer 26 Oct - 18:13, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Alois Trancy   Alois Trancy Icon_minitimeMar 5 Juil - 13:23

Alors... sachant qu'on a déja un Alois, mais qu'il n'ets que très très peu actif, j'attends la confirmation de Light a ce sujet. En attendant:

mental: rien a redire, Alois est lunatique, et il y a tout.

Physique: ca va aussi.

arme: foutaise. Alois n' pas d'arme. Ciel a un flingue, mais Alois, nan. C'est juste un bon escrimeur (meilleur que Ciel), mais c'est tout.

Pour l'histoire est le but, tu as reprit le début de la saison deux, pas de probleme ;) mais l'histoire est un peu courte, et c'est bien dommage.

Enfin, je rappelle que la famille Trancy est surnommé "l'Araignée de la Reine", et fait partie de la jeune noblesse obscure que Ciel. je pense que tu pourrais écrire quelque chose a ce sujet, afin d'expliquer pourquoi Alois constituerait un danger pour les autres nobles :)
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MessageSujet: Re: Alois Trancy   Alois Trancy Icon_minitimeMar 5 Juil - 15:48

Merci Rindo ^^
Je vais changer les détails qu'il faut en espérant que je serais confirmée ^^'
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MessageSujet: Re: Alois Trancy   Alois Trancy Icon_minitimeMar 5 Juil - 18:02

oui^^

rt n'oublie pas le plus important: l'avatar
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MessageSujet: Re: Alois Trancy   Alois Trancy Icon_minitimeMar 5 Juil - 18:43

Changement d'avatar effectué ^^
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MessageSujet: Re: Alois Trancy   Alois Trancy Icon_minitimeMar 5 Juil - 18:45

okay, je te valide^^
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MessageSujet: Re: Alois Trancy   Alois Trancy Icon_minitime

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Alois Trancy

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