Présentation de

Dani Mega O'Malley

VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE

Nom : O’Malley. Prénom : Danielle. Surnom : Dani. Date de naissance : 20 Février. Lieu de Naissance : Dublin. Age : 16 ans. Statut : Célibataire, Orpheline. Métier : Vendeuse de journaux, et créatrice du "Dani Daily". Groupe : Humain et Civil. Poste Vacant : Non.

Feat. Nom prénom de la personnalité (C) Copyright

Les apparences sont trompeuses

A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?

Etre Dani c’est tout un art. Ouai, Dani, c’est moi. On peut dire ce qu’on veut, je suis tout de même fière de ma chevelure rousse, et de mes belles boucles, au moins quelque chose que j’aime bien. Après, quand on détaille ma silhouette, enfin si on la détaille, bah oui, qui se retournerait pour moi ? Bref, quand on me regarde, après mes cheveux bouclés, d’une teinte de feu, on voit mes yeux. Des yeux normaux, pas trop petits, pas trop gros, et surtout, pas en amande. Ils sont verts. Un drôle de vert, mais un vert tout de même. On m’a dit qu’ils étaient piquetés d’or, alors c’est que c’est vrai, j’ai pas été vérifié, après tout, c’est que des yeux, non ? En descendant un peu, on voit mon nez. Un nez droit, assez fin, sans grande particularité, puis ma bouche. De fines lèvres, d’une teinte plus cerise que rosée. Après, les épaules, là encore, je suis plutôt fine, pas d’épaules carrées, ni de silhouette imposante, à me voir, on pourrait encore croire que je ne suis qu’une gamine, mais non je suis grande, j’ai seize ans. Je ne suis pas grosse, et pour cause, je suis toujours en mouvement, c’est plus fort que moi, il faut que je bouge ! Je ne suis pas hyperactive, mais c’est comme ça, enfin, sinon, que dire de plus ? Globalement, je suis fine, pas très grande, mais pas petite pour autant, mais du haut de mon 1m68, je vois à peine les trottoirs quand ils sont bondés, avec tout ces chapeaux, impossible de voir devant soit ! Mes cheveux m’arrivent presque au coude, depuis peu, je les coupes plus souvent, allez savoir pourquoi ! Ah si, pour les frais d’entretiens et du reste. Je suis agile, assez forte, quand même, mais par exemple, lors d’un combat, ce qui peut m’aider, c’est ma rapidité et mes sens, qui sont amplifiés. Si vous voyez une tornade rousse, maintenant, vous serez surement que c’est la Mega !

A la découverte de votre esprit

QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ? Ange ou démon ?

Je pourrais simplement dire que je suis moi, Dani. La Mega. Mais non, il va falloir que j’étoffe, évidemment.. Alors, qu’est-ce qui se cache derrière ces yeux verts ? Une jeune femme charismatique, pleine de talents, mais non, désolé de vous décevoir, mais ça, c’est pas du tout moi ! En faite, je suis plutôt simple, sans trop de chichis. J’essaie d’avoir l’air cool, car, si quelqu’un est cool, c’est qu’il est sympa, non ? Je déteste pleurer. La seule fois ou je l’ai fais, c’était quand ma.. Ah non, même pas. Bah en faite, je crois bien que j’ai jamais vraiment pleurer. De toute façon, c’est pas mon genre. Je suis pas comme ça. Oui, quelque part, c’est sur, je manque de confiance en moi, j’essaie d’avoir l’air détaché, de montré que je ne fais pas attention aux choses, que je suis comme ça, mais je suis surement plus fragile, plus sentimentale. Non, pas sentimentale dans le genre pleurnicheuse, je déteste ça ! Mais.. Plutôt attentive, les petites choses, les petits gestes quoi.. Me montrer que j’existe, que je ne suis pas « une môme ». Oui, bon, d’accord, je suis très attentive aux comportements des autres vis-à-vis de moi, et je me fais vite des idées, ou du moins, mon cœur peut s’emballer vite, mais je suis grande, je peux faire des choix et me débrouiller toute seule. J’adore utiliser mon épée, avec elle, je me sens complète, réelle, j’ai l’impression d’agir, d’être enfin moi. A force d’être toujours avec ou de m’en servir, quand je ne l’ai pas, je sers souvent le poing droit sur le vide, là où elle devrait être.

My life before come the Apocalypse

MA VIE AVANT QUE TOUT BASCULE...

Et oui, même moi, j’ai une histoire. Même La Mega a son lot de morts.. Tout commence il y a.. Neuve ans. Oui, à l’époque, je n’avais que sept ans. Pourtant cette scène, ce jour-là, est encore dans ma mémoire, marqué au fer blanc ou à autre chose, ce n’est pas ça le principal, mais bref, il reste. Ce souvenir est celui qui m’a le plus marqué, je crois bien, de toute ma vie. Ce jour-là, il pleuvait, comme toujours, à Dublin. Mais cette ville, je l’aimais bien, avec son crachin continuel et ses grandes rues, avec ces nuages noirs et gris et sa foule habituelle. Et pourtant, maintenant, je ne sais pas si j’arriverais à y vivre, avec ces images ancrés dans le crane.. J’étais avec ma mère, une femme grande, toute aussi rousse que moi, avec de grands yeux marron, elle portait sa robe préférée, une longue robe violine, avec une ceinturette grise, un beau gris perle, qui s’accordait parfaitement avec les nuances du ciel. Elle s’affairait dans la boutique en chantonnant, elle était toujours souriante, toujours heureuse, même du peu que nous avions, toute les deux. Je ne connais pas mon père, enfin peut être que si, mais dans ce cas, j’ai oublié. Je n’ai aucun souvenir d’une quelconque figure paternelle. Ma mère et moi, on s’adorait. Du moins je crois, ou plutôt, j’espère, car moi, je l’adorais. C’était mon pilier, ma protectrice, mon héroïne, celle qui m’endormait chaque soir, celle qui nous maintenait en vie, nous nourrissait. Notre boutique, bien que modeste et pas très grande, avait pour moi des allures de château, de palais oriental tout de dorures et de marbrures. Evidemment, il n’en était rien, mais je me plaisais à le voir ainsi. Ma mère, que je ne peux nommer autrement, ayant complètement oublié son prénom, oui, je m’en veux, mais que voulez-vous ? Je ne sais plus que son caractère et son physique, et encore, je m’en estime heureuse, comment me serais-je sentie, si j’avais oublié ses traits ? Que je n’avais ni nom ni visage à lui donner ? Je ne sais pas, mais je ne veux pas le savoir. Penser tout ça me rend déjà.. Malade.
Bref, ce jour-là, rien ne signalait ce qui se passerait plus tard. L’après midi était déjà bien entamé, et moi, assise sur la chaise haute, dans le coin de payement, je jouais à m’inventer mile et une histoire, avec pour base celle qu’on me racontait, que ma génitrice me créait et me narrait. Elle, elle mettait en place, balayait la boutique, tout en chantonnant une des comptines qu’elle adorait. D’ailleurs, elle m’en avait offert un recueil, il y a peu. Je me souviens que, peu avant quatorze heures, une migraine atroce me saisit, et j’en étais presque malade, de sorte que je m’étais couchée sur une petite banquette, toujours dans la même zone. Un client entra, notre ingénieux système de sonnerie, (sur le même principe qu’un carillon, fait des grelots et de ficelles) se fit entendre, ma mère se détourna donc de son ménage et leva la tête vers la personne qui venait d’entrer. Ses yeux s’écarquillèrent, et bientôt, une expression que je ne lui connaissais pas marqua son visage, elle avait peur. Sans ouvrir la bouche, elle me jeta un rapide regard qui vouait tout dire ; Dani, sauve-toi.
Je m’étais alors levé, sans bruits, avant de rejoindre l’arrière boutique, pendant que ma mère parlait avec un homme, et vite, la conversation s’envenima, ils parlaient tout deux plus fort et semblaient se quereller, un étrange bruit sourd fit cesser tout ça, et un silence étrange emplit la boutique, tandis que les grelots tintaient de nouveau. En descendant avec mon sac d’affaire, un sac que maman me faisait faire et refaire, au cas où, me disait-elle, je tombais sur son corps, inanimé. Pas un cri ne sortit de ma gorge, trop serré pour que je puisse articuler le moindre son. Une vieille dame du quartier accourra, je la connaissais, et elle m’hébergea, me mettant dans son pensionnat. A quatorze ans, je le quittais, ne supportant plus la vieille femme, une certaine Rowena. Je lui empruntais une épée. Une épée très ancienne et pourtant en parfait état, elle blessait tout. Toute sorte de personne ou d’animal, elle était puissante et, avec les dons que je me découvrais durant ces sept années de formation, où l’on nous apprenait à nous défendre, ainsi qu’a lire, écrire, et tout le reste, elle me fut bien utile. Depuis, je me débrouille seule, cachant mon épée, évidemment, une jeune femme seule avec une arme étant bien trop voyante. Depuis, j’écris et vends des journaux, de temps en temps, j’en écris moi-même, le « Dani Daily ». Pour gagner plus d’argent et quitter les rues pleines de souvenir de Dublin, j’ai été jusqu’à Londres, maintenant, je l’espère, une nouvelle vie commence. D’ailleurs, la traque commence. L’assassin de ma mère est surement ici. Son visage, je ne l’oublierais jamais.

Dani Mega O'Malley (Ou plutôt Danielle Megan O'Malley, de son nom complet) est un personnage des Chroniques de MacKayla Lane de Karen Marie Moning. Elle peut avoir des pressentiments", bons ou mauvais sur ce qui va se passer, mais c'est plus rare. Elle possède "l’hyper-vitesse" et ses sens sont plus développés que la plupart des personnes.

En dehors du forum

QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo : Poisse ou Nuage Ephémère.
Age : 14 ans.
Comment avez vous découvert le forum ? Grace à MacKayla Lane ^^ (Eru).
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Votre présence sur le forum ? Une fois (au moins) par jours la plupart du temps.
Code du règlement ? " Je m'extasie devant les papillons ! "