Je m'éveillais doucement dans le lit de fortune que je m'était improvisé a l'aube de la veille. C'est a dire un cercueil dans salon de pompe funèbre. C'est un très bon endroit ou dormir, de plus, J'ai hypnotisé le propriétaire de cet endroit  pour qu'il me laisse cet endroit pendant que je dort. Je suis plutôt intelligent vous savez?

J’entreprends d'ouvrir le cercueil dans lequel je m'était blotti. Un cercueil en ébène avec une couche en velours cramoisi. La lit le plus confortable que j'ai depuis un bon moment déjà. Je me lève doucement tachant de ne faire aucun bruit et sort discrètement de la boutique après avoir mis mon chapeau et mes lunettes. Je déambule lentement dans les rues de Londres qui, a ce moment de la nuit, sont assez tranquilles sans êtres désertes. Je me dirige doucement vers un coté de la ville. Le mauvais coté. L'endroit ou les meurtres sont monnaie courante et ou une disparition ne se remarque pas et fait parti du quotidien.  Les prostitué, les drogués et les ans-abri ne manquent a personne. Je continue ma marche vers la mort, le sourire aux lèvres et les yeux brillants de folies, ceux-ci cachés sous mes lunettes de soleil.

Je repère une proie. Un homme d'age moyen, de taille moyenne et de corpulence moyenne. Le genre d'homme sans famille, sans argent, sans maison. Je le suis, discrètement me cachant dans l'ombre des toits.  Je marche a une bonne distance pour que personne ne me voit  ou ne remarque que je suis en train de le suivre.  Je n'ai pas envie de briser ma réputation... Je connais bien mon travail. Je remarque qu'il a une barre de métal dans la main. Rien de bien méchant quoi. Il ne me fait pas vraiment peur. Hahaha.

Soudain je me rend compte que ma proie s'est déjà fait attraper par un autre style de chasseur... Un jeune garçon, pas plus de 13 ou 14 ans les cheveux blanc comme neige avec de point de suture a chaque endroit visible de son corps si menu. Je ne voit pas ses yeux mais je gagerais toute mon éternités qu'ils sont aussi fou que les miens. Mon sourire s'étire de plus en plus a chaque torture qu'il inflige a l'homme. Il hurle et hurle mais personne ne l'entend. Je suis debout  dans l'ombre a quelque maitre et je regarde avec curiosité le jeune albinos s'amuser de diverses manière jusqu’à ce que plus aucuns sons ne sortent de sa gorge.

Je m'avance donc d'un pas léger vers le jeune garçon qui, prudent s'empresse de ramasser chaque couteau ensanglanté qui trainent sur le sol avant de se diriger dans un coin d'obscurité. Pas de chance pour lui, l'obscurité ne signifie rien pour moi. Je le regarde droit dans les yeux et me met a applaudir tout en continuant d'avancer d'un pas lent tandis que mon visage sort de l'ombre. Je cesse d’applaudir et retire mes lunettes dévoilant mes prunelles pourpres nimbées de folie.

- Je dois avouer, que tu a du talent pour l'assassinat, gamin.

Puis j’éclate de rire. Un rire malade qui sort d'un corps malade.  Je rie aux éclats me tordant en deux me tenant le ventre je ne peux plus m’arrêter. C'est tordant non? J'ai enfin trouvé une cible a ma hauteur.